BeDesk-Express

Correction automatique de la taille des polices dans les documents.

La tailles des petites et grandes polices doit être ajustée par un facteur 1,66666667.

La taille des caractères de l’adresse du destinataire sur les documents n’est pas à la même échelle que celle des caractères de l’en-tête.

Il est possible que ce soit les caractères de l’en-tête qui ne sont pas adaptés correctement par rapport au reste du document.

La différence est minime de l’ordre d’un pt.

Recherche nécessaire.

Les tailles utilisées dans les versions précédentes du logiciel nécessitaient des corrections. Or, il n’est plus nécessaire de corriger les tailles de polices avec le nouveau générateur de documents.

Retrait d’anciens champs de fusion désuets et incompatibles avec Rx.

Il faut aussi actualiser la référence de la révision dans les copies de contrats dans les paquets d’installation.

• Windows : ok.

La taille minimum de la mémoire physique nécessaire pour utiliser le logiciel est portée à 4 Go.

Le paquetage BeDesk Express 19.0 pour Windows est livré avec une copie non modifiée de l’OpenJDK 11.0.1 pour Windows 10 x64.

OpenJDK est simplement appelé par ligne de commande pour assurer l’exécution du code exécutable Java du logiciel BeDesk.

Il est tout à fait possible d’exécuter le logiciel BeDesk à l’aide d’un autre JDK ou JRE dont la version est supérieure ou égale celle de l’OpenJDK 11.

Il est évident que si l’utilisateur utilise Windows 10, son système d’exploitation est sensé être à jour. Cela réduit considérablement les risque de bogues et d’incompatibilités.

Aussi, par mesure de précaution, le niveau de mise à jour de Windows 10 est porté à 1703 “Creative Update” (05/04/2017).

L’application sur macOS et sur Windows est capable de prendre ne charge les évènements système et plus particulièrement les notifications système de mise en veille, d’arrêt ou de redémarrage du système ainsi que la fermeture ou la désactivation de la session de l’utilisateur.

Ces évènement doivent tous donner lieur à l’arrêt du serveur de base de données et à la réalisation d’une sauvegarde de sécurité.

Le service d’arrière plan StayAwakeDaemon nécessite une autorisation d’accès aux ressources d’accessibilité sur macOS 10.14, 10.12.6 et 10.13.6.

Les utilisateurs n’ont pas toujours suffisamment de compétences sur macOS pour savoir comment paramétrer leur système.

Ce service est retiré au profit de la la prise en charge des évènements système ( FS#2190 ).

Le nouveau système de protection de macOS bloque par défaut les services d’accessibilité.

Pour en bénéficier, il faut absolument autoriser ces services pour l’application dan les préférences système / Sécurité / Accessibilité de macOS.

Il n’existe aucun moyen d’établir ce paramètre via le logiciel BeDesk lui-même.

Les services d’accessibilité concernés sont :

1. La classe Robot de Java.

(1) La classe Robot est utilisée par le service d’arrière plan “StayAwakeDaemon”. Ce service empêche l’ordinateur d’entrer en mode veuille par lui-même.

La mise en veille peut entraîner des problèmes dus au fait que certains utilisateurs laisse la session de leur logiciel ouverte de façon indéfinie. Cela bloque le système de sauvegarde de sécurité et empêche la maintenance des fichiers.

Il existait une différence entre l’ordre des champs attendu par l’outil d’importation de clients et l’ordre de sortie des champs de l’outil Rapports quant à l’exportation au format CSV.

Cette différence est rectifiée.

Le BeDeskLauncher doit s’assurer de ne démarrer qu’une seule instance du serveur BeDesk sur l’ordinateur.

Pour cela, il utilise un petit fichier in-use.lock.

Cependant, lors de la mise à jour de l’heure de la mise à jour de ce verrou, l’accès au fichier est réalisé dans le contexte d’un daemon.

Un daemon peut être arrêté net à n’importe quel moment. Il peut donc être arrêté alors qu’une écriture sur le disque se produit.

Pour éviter cela, les mise à jour sont dorénavant réalisée dans un thread dédié.

De plus, pour fermer le daemon, on n’utilise plus une interruption mais simplement un drapeau. Le daemon s’arrête donc de lui-même et un thread attend son arrêt avant de supprimer le fichier lock lui-même.

Actualisation du contrat de licence disponible sur le site web.

Mise à niveau du contrat de licence au niveau du logiciel.

Les notifications par le logiciel commençait plus tôt (à 60 jours) par mesure de sécurité.

Cette mesure n’est plus nécessaire.

On passe à une période de préavis de 30 jours.

Lorsqu’on clique sur un Widget de licence, le navigateur web est automatiquement ouvert sur la page de connexion.

Puis, après vérification des coordonnées de l’utilisateur, ce dernier peut procéder au paiement de la prolongation.

Ceci réduit considérablement le nombre d’opérations nécessaire pour prolonger un contrat existant.

En plus de cela, l’application affiche à l’écran un guide d’utilisation pour aider l’utilisateur dans cette procédure simple.

Une page de connexion rapide doit être ajoutée au site pour faciliter la procédure de prolongation à partir du logiciel.

Création d’un Widget pour chaque licence.

En fonction de l’échéance, ce Widget apparaît et fourni un lien direct vers le site BeDesk-Express.com pour prolonger le contrat en question en un minimum d’opérations.

Widget : ok.

Lien vers BeDesk-Express.com : ok.

BeDesk Express 19.0 est à présent capable de réparer automatiquement la piste d’audit de la base de données si elle est corrompue.

Ceci est rendu possible par la mise en place de points de restauration à partir de sessions antérieures journalisées ( FS#2102 ).

En cas d’erreur de somme d’auto-contrôle des données, BeDesk Express 19.0 a la capacité de réparer automatiquement les fichier de la base de données.

Ceci est rendu possible par la mise en place de points de restauration à partir de sessions antérieures journalisées ( FS#2102 ).

BeDesk Express 19.0 a la capacité de réparer automatique les fichiers de données s’il y a un souci lors de l’ouverture de la base de données.

Ceci est rendu possible par la mise en place de points de restauration à partir de sessions antérieures journalisées ( FS#2102 ).

Actualiser le contrat de licence en fonction du nouveau niveau de rétro-compatibilité : 18.0.250.

Le niveau minimum de rétro-compatibilité est fixé à la version 18.0-250, c-à-d la première version certifiée du logiciel.

Les utilisateurs qui utilisent toujours une révision antérieures peuvent faire appel au support technique pour bénéficier d’un service de conversion et de certification des fichiers.

Il pourrait être utile de pouvoir filtrer les articles d’une liste de prix sur base de la catégorie.

On peut donc ajouter un filtre ‘LIKE’.

Un utilisateur avait modifié le paramètre du code ISO de sont pays en remplaçant le code “FR” par “F”.

L’utilisation d’un paramètre ISO-3166-1 erroné débraille la reconnaissance des numéros de TVA des assujettis à la TVA du pays courant (celui du profil et du même coup de l’utilisateur).

Le logiciel est accompagné de 4 profils prédéfinis:

1. Belgique
2. France
3. Luxembourg
4. Suisse

Le code ISO ne devrait donc faire partie de l’ensemble suivant: BE, FR, LU ou CH.

Cependant, il était possible de personnaliser ce code si on modifie un profil pour correspondre à un autre pays.

La modification du code ISO ne change pas le calcul de la TVA sur les documents.

Il devrait donc être possible de mettre en place un garde-fou qui rattache le code ISO erroné à un des 4 pays supportés.

Attention!!! Il ne faut pas chercher à rectifier un code ISO s’il correspond à un code ISO correct.

NOTE

Le code ISO fournis par les profils initiaux ne peuvent plus être personnalisés depuis la version 18.0.

Si un code ISO a été modifié, cela ne peut se produire que suite à l’importation d’une ancienne base de données utilisées préalablement à partir d’une version antérieure du logiciel (avant janvier 2018).

On peut donc envisager la correction automatique de ce paramètre pour les éventuels utilisateurs qui auraient modifier ce paramètre AVANT de migrer vers la version 18.0 certifiée.

Garde-fou : ok.

La barre de défilement horizontale s’affiche en permanence sur la vue “Contacts”.

Cela est dû au calcul de la largeur ajustée du contenu.

En réduisant la largeur du contenu d’une marge minime, cette barre disparaît.

Le souci est résolu.

L’aperçu est généré à la demande.

Lorsqu’on venait, des panneaux “Commentaires” ou “Notes”, la requête de rendu de l’aperçu n’était pas envoyée.

Ce problème est à présent rectifié.

En ne résolvant pas directement les champs de fusion, l’utilisateur à une vue abstraite de la composition de la zone commentaires.

En outre, la suppression de la résolution des champs de fusion dans la zone Commentaires permet d’accélérer le rendu et la réactivité de l’UI dans le cas où l’utilisateur y a inséré un rapport (qui nécessite une composition et donc du temps).

Le composant d’en-tête classique n’a pas beaucoup évolué depuis de nombreuses années. Le souci consiste à conserver la compatibilité avec le rendu initial.

Cependant, il est possible de rectifier un bug qui empêche la prise en compte de la marge interne.

Ce changement permet d’aligner le logo et le texte des intitulés avec le contenu du document.

La suppression de l’image de fond des document entraîne une exception.

Un enregistrement “tombstone” remplace la suppression qui produit l’exception en mode réplication.

Le problème est résolu.

Il convient d’appliquer l’implémentation Rx à la génération des documents.

Quelques petites différences inévitables pourront apparaître.

Toutefois, la résolution des problèmes d’alignement et de césure seront éliminés.

—

A NOTER:

La mise en forme des documents sera simplifiée et uniformisée. Certains paramètres n’ayant que très peu d’utilité, ceux-ci seront supprimés au profit d’une mise en forme plus cohérente même si l’utilisateur à introduit des paramètres qui ne sont pas idéaux.

1. Taille de la police des zones “Commentaires” et “Conditions” seront héritées directement du modèle de base et non plus fixés séparément.
   • Suppression de la taille et du choix de la police spécifique aux commentaires (c’est la même que celle du document).
2. Suppression de la taille de police moyenne dans les documents (il reste uniquement la “grande” et la “petite” taille).
3. Décalage minimum à partir de l’en-tête dans les paramètres de grille → Hauteur minimum du cartouche.
4. Nombre de positions du cartouche réduit. Il ne reste que ces 3 positions:
   1. Verticale
   2. Horizontale en haut.
   3. Horizontale en bas.
5. Tous les montants significatifs sont alignés à droite dans une colonne dont la largeur est uniformisée à 12% de la largeur de la zone d’impression.
6. La marge interne des cellules passe de 4pt à 3pt pour un meilleur usage de l’espace disponible.
7. Ajout de la prise en charge de la marge interne de l’en-tête et du pied de page.
8. “Sur-magination” → “Espace de séparation par rapport au corps” (du document).

Déplacement de la classe StrmapFile vers le module bedesk.lib.io.

Optimisation de RecString et déplacement dans le module bedesk.lib.utils.

Déplacement de l’objet Null vers le module bedesk.lib.utils.

Optimisation de QIndex et déplacement dans bedesk.lib.utils.

Une bonne prise ne compte des opérations de gestion courante permet de réduire un peu le nombre d’opérations enregistrées dans la piste d’audit.

En effet, si une opération est du type “Gestion courante”, elle n’a aucun intérêt en cas de contrôle. Il peut s’agir par exemple d’une opération qui ne modifie pas l’état ni le contenu d’une facture. Il peut par exemple s’agir du placement d’un signet.

Remplacement de:

1. Classe DocIndex –> DocList.
2. Classe CltIndex –> ClientList.

Suppression de:

1. Classe Compressor : supprimée.
2. Classe CycleGlassButon : supprimée.
3. Classe GlassPanel : supprimée.
4. Classe GotoPanel : supprimée.
5. Classe GlassButton : supprimée.
6. Classe GlassButtonGroup : supprimée.
7. Classe TitledGlassPanel : supprimée.
8. Classe IdGenerator : supprimée.
9. Classe ImageDocCache : supprimée.
10. Classe MyAntialiasEditorPane : supprimée.
11. Classe MyBorderPane : supprimée.
12. Classe MyCardLayout : supprimée.
13. Classe MyImageFilter : supprimée.
14. Classe MyImageFilterUtils : supprimée.
15. Classe MyTxtCsvFilter : supprimée.
16. Classe MyTxtCsvFilterUtils : supprimée.
17. Classe OvalLabel : supprimée.
18. Classe PctFlowlayout : supprimée.
19. Classe QRecString : supprimée.
20. Classe ShinyButton : Supprimée.
21. Classe ShinyPanel : supprimée.
22. Classe Translucylabel : supprimée.
23. Classe ToolsPopupMenu : supprimée.

Gestion interne des listes de clients sous la forme de flux.

Refactorisation des composants d’objets du genre xFacture en xDoc de manière à généraliser les API.

Les objets du style xFacture sont nommé ainsi depuis la version 1.0 et il est temps de changer ce style de noms en quelque chose de plus général car il ne s’agit pas nécessairement de factures, mais de tous types de document. xDoc est donc un nom plus approprié.

Remplacement du composant DocIndex par DocList avec la gestion de flux.

Réduction significative du nombre de notifications:

• Réduction du nombre de notifications par e-mail : Déjà fait.
• Réduction du nombre de notifications sur le logiciel : Analyse.

—

On pourrait éventuellement remplacer les boîtes d’alerte au démarrage du logiciel par un widget sur le tableau de bord.

Ce widget ouvrirait un panneau indiquant le nombre de jours restants pour chaque licence.

Dès lors que la date d’échéance d’un module approche de son terme, le widget changerait de couleur pour passer du vert au rouge par exemple. En cliquant sur le widget, l’utilisateur pourrait ouvrir directement une page web du site BeDesk-Express.com pour effectuer son paiement ou gérer ses contrats.

—

Cela implique d’augmenter la fréquence de vérification des licences. Un daemon pourrait être affecté à cette tâche. Périodiquement, pendant la session, il effectuerait un check-up des licences. Ainsi, si l’utilisateur prolonge un contrat alors que la session est ouverte, la répercussion de ce changement ne nécessiterait plus le redémarrage du logiciel.

—

Un panneau Widget pourrait être ajouté pour fournir les fonctions requises à la gestion des contrats du poste. Un bouton de rafraîchissement pour forcer l’actualisation de l’état des contrats au niveau du logiciel. Un autre bouton pour se connecter au compte client et prolonger le contrat en question.

Cette idée est intéressante!...

—

Conformément aux statistiques proactives sur la plateforme, il est nécessaire de commencer à prévenir les utilisateurs 2 mois à l’avance.

En effet, de nombreux utilisateurs n’ouvre leur logiciel qu’une fois par mois, voir même une fois tous les 2 mois. On peut ignorer ceux qui n’ouvrent leur logiciel qu’une fois par trimestre. Le nombre de ces utilisateurs est très faible.

Par contre, beaucoup d’artisans et d’entrepreneurs n’effectue la facturation qu’une fois par mois, voir même une fois tous les mois et demi (d’où la prévention de 2 mois).

—

Que risquent les utilisateurs qui n’ouvrent leur logiciel que peu fréquemment ?

—

S’apercevoir de la désactivation de leur logiciel lors de l’ouverture de session. Ils devront par conséquent effectuer tout le processus d’achat et d’activation pour reprendre l’utilisation.

L’expérience montre que dans ce cas, de nombreux utilisateurs ont essayé pendant des semaines d’ajouter ou de modifier les données sans que cela ne puisse s’enregistrer via le service de réplication. Ceci a nécessité de nombreuses interventions du support gratuit. D’où la prévention.

Rappelons que si un contrat arrive à son terme, le logiciel revient en mode d’essais avec les limites dépassées. Cela signifie qu’il n’est plus possible d’ajouter des documents, mais que l’on peut encore les consulter et les modifier (exemple changer l’état “imprimé” pour l’imprimer).

—

En vertu du contrat de licence, le mode d’essais dépassé ne permet que la consultation. Aucune modification ne devrait être autorisée. Ainsi, si lors de la désactivation, un document n’était pas imprimé, une fois passé en mode d’essais (avec limites dépassées), l’impression peut tout à fait être inutilisable.

—

On peut donc envisager de durcir le contrôle du mode d’essais et se basé en partie sur ce verrouillage (hors limites) pour bloquer toutes modification des documents.

Si la limite d’utilisation en mode d’essais est dépassée, le verrouillage des modifications peut également s’étendre aux contacts et au stock. Sans aucune licence active, ces fonctionnalités peuvent aussi être limitées.

—

Certains rapports ne fournissent que le numéro des clients et fournisseurs.

Il serait utile d’ajouter les coordonnées complètes autant que cela soit possible.

Il est bien évident qu’il faut tenir compte de l’espace disponible et de l’agencement des tableaux.

—

Cela s’applique également aux données exportées. Il n’y a pas de difficulté particulière à masquer une partie des données. Par contre, la nécessité de générer 2 ou 3 états successifs pour les combiner par un logiciel tiers peut représenter une difficulté pour les utilisateurs.

—

Fort bien, mais aucun exemple concret n’a été fourni par les utilisateurs à l’origine de cette suggestion.

Il n’est pas judicieux de surcharger tous les rapports existants des coordonnées des clients. il faut tenir compte du but du rapport en question.

Ainsi, en conclusion, il y a 2 points importants à considérer avant d’envisager l’ajout de coordonnées des clients sur un rapport:

1. De nombreux rapports existent déjà avec les coordonnées des clients.
2. Avec la mise à jour Rx, plusieurs rapports ont déjà bénéficier de l’ajout des coordonnées des clients.
3. L’utilisateur connaît-il bien l’ensemble des 160 rapports pré-existants? Sa demande ne consiste t-elle pas à demander la création d’un doublon d’un rapport qui existe déjà mais qu’il ne connaît pas?

Cette tâche peut être suspendue ou terminée dans l’état actuel des choses.

—

Finalisée sur l’état “implémentation partielle”. On pourra éventuellement ouvrir une tâche dédiée ultérieurement.

1. (2) Corrections de fautes d’orthographe dans le message: “veuillez d’abord enregistré ou abandonné l’édition de votre document” → “veuillez d’abord enregistrer ou abandonner l’édition de votre document”.

Les icônes des pays n’apparaissent pas dans le menu MOSS lors de l’édition de clients.

La version 18 réalise déjà un point de restauration avec écrasement en cas où la session est désactivée. Dans ce cas, toute tentative d’altération des fichier est réduite à néant par écrasement au démarrage suivant. Cette option est un des moyens utilisés pour permettre de répondre aux exigences légales sur l’inaltérabilité des fichiers.

Cependant, dans sa forme actuelle, cette fonctionnalité ne permet pas d’auto-récupération de la session active en cas de fichiers corrompus. Il faut passer par la récupération à distance ou par le support lorsque la dernière sauvegarde à distance contient une capture des fichiers corrompus.

Une solution consisterait à conserver un certain nombre de points de restauration. Lorsqu’il y a un souci, le programme pourrait redémarrer en supprimant le dernier point de restauration et récupérer les fichiers à partir du précédent. Ce retour en arrière serait de toute façon compensé par la resynchronisation des enregistrements manquants via le service de réplication, de sorte qu’à la fin de la procédure, on disposerait des fichiers corrects sans aucune donnée perdue.

—

Un point de restauration correspondant à la précédente session est conservé.

Si la session est corrompue, la précédente est restaurée avant la fermeture de l’application pour permettre l’auto-réparation.

Remplacement du caractère de substitution ‘*’ utilisé jusqu’à présent dans les requêtes de rapports pour accepter toutes les références correspondantes par ‘%’.

De plus, conformément aux spécification de l’opérateur LIKE du langage SQL, le caractère ‘?’ permet d’accepter un caractère de substitution quelconque.

Lorsqu’un document est envoyé par mail à un client via courrier d’accompagnement, la case “envoyé” ne se coche pas.

—

Confirmé.

—

Correctif implémenté.

Tests nécessaire...

Dans certaines situations, le contenu de la boite de progression semble sautiller ou clignoter.

Cela provient de l’envoi de l’instruction de rafraîchissement du contenu plus fréquent que la durée du rafraîchissement lui-même. La précédente instruction étant alors abandonnée pour relancer la suivante. On peut alors voir un sautillement ou un clignotement du contenu de la boite.

—

En découplant le rafraîchissement de l’envoi de nouvelles instructions de rafraîchissement, on peut exécuter uniquement l’instruction en cours et ignorer les nouvelles instructions jusqu’à ce que la précédente soit effectivement terminée.

—

Correctif : ok.

Le nouveau générateur Rx permet de distinguer la sortie.

Si celle-ci est destinée à l’export PDF, le rendu du texte permet son extraction via une visionneuse ou un lecteur PDF.

Nous utilisons notamment le logiciel Adobe Acrobat Pro DC comme outil de référence: https://acrobat.adobe.com/fr/fr/acrobat.html.

Au niveau de l’interface, la plupart des distributions linux appliquent un patch pour corriger les problèmes de rendu des caractères sous OpenJDK.

Elle consiste par exemple à lancer l’OpenJDK avec les paramètres suivants:

-Dawt.useSystemAAFontSettings=on
-Dswing.aatext=true
-Dsun.java2d.xrender=true

Il sera probablement nécessaire de valider cette option au niveau de la ligne de commande de lancement.

Cependant, en dépit de cela, on peut constater des défauts de rendu persistant lorsque les fonts sont redimensionnées ou qu’un scale est appliqué dans Graphics2D.

Pour contrer cela, le nouveau générateur de document Rx devrait faire la distinction entre l’export PDF, et les autres sortie. Appliquant le rendu via la transformation Glyphs → Shape, on transforme les caractères en vecteurs. Dans ce cas, le rendu est toujours correct. En excluant l’export PDF et en conservant le rendu drawString() uniquement pour cette sortie, on permet l’extraction du texte dans le PDF résultant.

Il est très facile d’inclure dans la distribution le paquet inchangé de l’OpenJDK original pour Windows.

L’appel de la machine virtuelle Java se faisant par simple ligne de commande, on respecte le contrat GPL.

Les liaisons bénéficient de l’exception du classpath associé au contrat.

Pour remplacer l’OpenJDK, il suffit de modifier la ligne de commande de l’appel ou de remplacer le contenu du sous dossier jdk-11 tout simplement. L’application BeDesk pouvant tout à fait fonctionner avec une autre JVM, l’indépendance est conservée. le paquet de l’OpenJDK est utilisé pour la facilité de l’utilisateur final et celui-ci conserve tous les droits de la licence originale de l’OpenJDK.