BeDesk-Express

La zone de commentaire des documents reste grisée même s’il y a du contenu.

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Confirmé.

Si on double-clique dans la zone de commentaire d’un document, l’éditeur ne s’ouvre pas.

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Confirmé.

L’objet Database:Options ne doit plus être instancié.

Dorénavant, on y accède directement.

On remplace donc une expression du style:

(define 'Options BeDesk:Database:Options)
(define 'iso (let 'opts (Options) {opts:get "locale.vat.iso"}))

par:

(define 'Options BeDesk:Database:Options)
(define 'iso (Options:get "locale.vat.iso"))

Ajout du module BeDesk:Uitls:IOS3166:

• (ISO3166:valid? “iso”) : Vérifie la validité du code ISO3166.
• (ISO3166:country “iso”) : Retourne le nom du pays selon le code ISO3166. En cas d’erreur, retourne nothing.
• (ISO3166:iso “country”) : Retourne le code ISO3166 du pays dont le nom est fourni. Fait les meilleurs efforts pour trouver, sinon retourne nothing.

Ajout des méthodes:

• (Client:get-location-country-iso) : Retourne le code ISO-3166 du pays du contact.
• (Client:set-location-country-iso “ISO“) : Affecte le code ISO-3166 du pays au contact.
• (Client:get-delivery-country-iso) : Idem pour l’adresse de livraison.
• (Client:set-delivery-country-iso “ISO“) : Idem pour l’adresse de livraison.

Il faut momentanément suspendre le contrôle du nombre de contacts (non une obligation légale) pour permettre l’importation des données de BeDesk 16 dans BeDesk 17 et réussir l’activation.

Le contrôle sera rétabli ultérieurement lorsque la très grande majorité des utilisateurs seront passés à BeDesk 17.

Le paquetage BeDesk Express 19.0 pour Windows est livré avec une copie non modifiée de l’OpenJDK 11.0.1 pour Windows 10 x64.

OpenJDK est simplement appelé par ligne de commande pour assurer l’exécution du code exécutable Java du logiciel BeDesk.

Il est tout à fait possible d’exécuter le logiciel BeDesk à l’aide d’un autre JDK ou JRE dont la version est supérieure ou égale celle de l’OpenJDK 11.

Il est évident que si l’utilisateur utilise Windows 10, son système d’exploitation est sensé être à jour. Cela réduit considérablement les risque de bogues et d’incompatibilités.

Aussi, par mesure de précaution, le niveau de mise à jour de Windows 10 est porté à 1703 “Creative Update” (05/04/2017).

Le nombre maximum de documents afficher directement dans le widget de notification de documents dont l’abonnement est échéant est fixé à 10. par contre, le titre du widget affiche 10 même lorsqu’il y a plus de documents.

Rectifié en utilisant le masque de recherche de documents dont l’abonnement est échu à partir de DbFactures.

Le widget “Tous les documents” du tableau de bord (Accueil) ne fournit pas un montant exacte pour le solde restant dû.

Le calcul est basé sur le montant “A payer” des factures et non sur le solde (c-à-d, le grand total diminué de la somme des montants reçus).

Une méthode “solde restant” doit être implémentée. Celle-ci doit remplacer la méthode “montant à payer” dans ce cas.

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Confirmé.

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Méthode implémentée.

Verrouillage du numéro de TVA lors de l’enregistrement sur le site web.

Parfois certains utilisateurs change l’identité de leur compte en entraînant un changement de statuts sur la même fiche.

Ceci est limité par le verrouillage du numéro de TVA lorsqu’il est valide.

Dans les versions précédentes (BeDesk 16), les volets de fonctions étaient fermés par défaut.

Le but était de gagner de la place à l’écran.

Cependant, cela cause des problèmes a un certain nombre d’utilisateurs qui ne se rendent pas compte de la présence de la barre de déploiement des volets de fonctions.

Aussi, même si cela doit réduire l’espace de travail, il est préférable d’ouvrir par défaut ces volets.

l’utilisateur qui le souhaite, peut fermer les volets par la suite.

S’assurer que la gestion des montants Fiscaux particuliers sont bien pris en charge dans les rapports Clients en retard de paiements.

Devrait être remplacé par montant à payer.

Certains utilisateurs accèdent aux fichiers de travail sur le disque dur via l’explorateur de fichier ou un autre logiciel et modifie les noms des bases de données.

Cela entraîne de nombreux problèmes.

Pour éliminer ces problème, il faut vérifier les noms de base de données avant restauration, avant importation et même avant d’ajouter les bases de données dans la liste proposée par la BeDesk-Starter.

Parfois certains utilisateurs remplissent le formulaire d’enregistrement à la va vite.

Cependant, les informations de ce formulaire sont très importantes pour éventuellement fournir une attestation à l’utilisateur.

Il est donc important de s’assurer que le contenu est correct et les coordonnées exactes.

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Ok.

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Il est difficile de faire cette vérification d’une manière plus fine que simplement l’obligation de saisir une valeur non vide.

En effet, dès lors qu’il y a au moins une lettre, c’est une réponse possible.

Il est impératif à présent de s’assurer de travailler dès le départ avec des données correctes et cohérentes.

En cas de différences ou d’incohérences, celles-ci se retrouveront inscrites dans le journal d’audit.

Aussi, l’ensemble des données des documents est vérifié avant de commencer à s’en servir.

Une vérification du contrôle de l’OCC doit être réalisée par rapport à la situation d’un leader et par rapport à la situation d’un follower.

Aucun bug franc n’a été signalé, mais ce contrôle permettra peut-être de perfectionner la procédure.

Ceci est inclus dans le cadre de la maintenance du code.

Constatations

Jusqu’à présent la vérification s’effectue à chaque fois que les propriétés sont modifiées.

Cela peut générer des boucles s’il y a plusieurs modifications concurrentes.

En outre, cela alourdi inutilement le traitement des paramètres.

La vérification du type “Registrable” échoue lorsque l’on ouvre à nouveau la boîte d’activation des licences.

La requête est mal formatée et n’est donc pas acceptée pour revalidation.

La requête en cas de revalidation n’est pas traitée de la même manière qu’en cas de validation.

Ainsi, depuis la version 16.4, lorsqu’on ouvrait la boîte d’activation et qu’on avait un code Logistique déjà validé, la requête échouait.

Ce problème est résolu.

Vérification de la plateforme de gestion des activations (partie TOKEN).

On constate que certains utilisateurs voient leur logiciel se désactiver (selon les utilisateurs “intempestivement”).

De notre coté, en écartant les cas où le contenu d’une base de données à changé entre la dernière session et la nouvelle, il reste quelques cas où le TOKEN ne correspond pas.

Nous étudions donc le problème pour en trouver l’origine.

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Travaux sur l’infrastructure : Contrairement à ce qui était signalé au départ, certains accès dont le TOKEN était périmé arrivaient à passer. Ceci suite à un bug dans d’anciennes versions du logiciel. Suite à ce constat, nous avons modifier légèrement la procédure de renouvellement du TOKEN de manière à résorber cette faille.

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TOKEN issu d’une restauration de fichier externe : L’utilisateur peut en effet utiliser un système de sauvegarde externe indépendant du logiciel BeDesk et restaurer des fichiers dans un état antérieur. Bien entendu, le TOKEN ainsi restauré ne correspond pas à celui attendu par le système de vérification. Ceci n’est donc pas un bug, mais la preuve que le système de protection fonctionne correctement.

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Périodiquement le service VB4B crée une sauvegarde complète des bases de données. Dans l’intervalle, des sauvegardes incrémentales enregistrent uniquement les quelques différences depuis la précédente.

Jusqu’à présent, la sauvegarde complète était obtenue en téléchargeant, à partir du client, la totalité des fichiers.

A présent, cette sauvegarde complète est réalisée en local à partir des derniers fichiers du dépôt sans demander le téléchargement complet à partir du client.

Pour s’assurer de la fiabilité des données, une vérification approfondie des données est réalisée. A la moindre erreur, l’ensemble des fichiers sera téléchargé à partir du client. Dans le cas contraire, seul les différences sont demandées.

De plus, comme la vérification et la création du Full Backup peuvent être assez long, le servie retourne au client un contenu chuncké composé de remarques XML de manière à éviter une erreur de time-out.

Cette méthode permet d’améliorer considérablement la bande passante virtuelle et réduit le volume de données à télécharger.

La validation des documents devient obligatoire avant de pouvoir imprimer ou exporter un document.

Le but est de figer le document tel quel avant de pouvoir l”imprimer de manière à pouvoir le reproduire à l’identique ultérieurement.

La validation au aussi un effet sur la numérotation et la validation des acomptes déjà reçu au moment de la validation.

Caractéristiques de validation des documents.

Lorsqu’un document est validé, un certain nombre d’informations ne peuvent plus être modifiées:

• Date
• Client
• Numéro de série
• Montants
• Liste des articles
• Numéro de dossier

cette stratégie n’est pas obligatoire à condition de faire apparaître toutes les modifications apportées à un document dans le journal d’audit sécurisé.

Le cas échéant, une correction tout à fait légitime peut être envisagée à condition de la justifier par une explication.

Le logiciel propose donc automatiquement de fournir un justificatif de toute modification apportée à un document qui a été imprimé ou exporté en Pdf.

Notez que la validation est obligatoire tant que le document n’a pas reçu de numéro. BeDesk valide donc systématiquement les documents dés lors qu’ils sont enregistrés.

La validation est donc implicite lors de l’enregistrement du document.

Lorsqu’on revient sur la vue ‘A propos’ après avoir travaillé avec le logiciel, la quantité de mémoire vive consommée ne change pas.

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Confirmé.

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Le contenu n’est pas rafraîchi.

Il s’agit d’un bug hérité de BeDesk 16.

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Rectifié.

L’implémentation Java crée un fichier temporaire pour l’utilisation des polices TTF.

Une image des polices de caractères est embarquée dans la base de données. Il faut donc systématiquement créer un nouveau fichier temporaire pour chaque police de manière à les rendre accessibles au système de rendu Java.

Il est donc plus judicieux de créer automatiquement un fichier cache persistent avec le contenu de l’image de la police. De cette manière on évite l’étape consistant à extraire cette image dans un fichier temporaire non persistant à chaque redémarrage de l’application.

La gestion du cache permet de retrouver les données persistantes facilement et rapidement.

Avec le nouveau module d’impression, l’incorporation des images de fond et de logo se faisait au format PNG.

Il s’agit d’un format sans perte de qualité.

Toutefois, la taille des documents peut devenir assez importante si les images sont plus complexes et comportent moins d’aplats.

On peut sans trop de risque passer à une compression JPEG, cela ne devrait pas poser de problème majeur car le rendu reste identique.

Par contre, la taille des fichiers est considérablement différente, c-à-d beaucoup plus réduite pour le JPEG.

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Confirmé.

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En transmettant les évènements reçu via le bucket.listener (événements relatif aux modifications dans la collection des données) via Task.invokeSafe(), on utilise uniquement le Worker et AWT-Queue.

Lorsque la fenêtre de l’application est redimensionnée, il est nécessaire de répercuter les changements de taille ou de disposition dans le contenu affiché.

Notamment dans les composants ExtHTMLPane2 qui affiche une représentation interactive et riche du contenu.

Lors d’une précédente mise à jour, on avait constaté un risque de perte de l’évènement de redimensionnement. Cela conduisait le contenu à se voir inchangé lorsqu’on changeait la taille de la fenêtre. Un correctif a donc été appliqué pour ne perdre aucun évènement.

Cependant, a de très rare occasion, des évènements sont produits par le gestionnaire de fenêtre et ceux-ci agisse de façon intempestive. De ce fait, le logiciel essaye de ne pas perdre ces évènements mais du coup n’arrive pas à les purger.

A présent, un double comptage des chargements de contenu permet de purger les évènements intempestifs et de les écarter.

Une méthode complémentaire pour attendre la fin de la latence des accès sur disque consiste à utiliser le verrouillage en écriture exclusive du FileSystem.

Cette méthode complémente très bien la double vérification de manière à s’assurer que les fichiers sont bien fermés et que la dernière opération d’écriture à bien été finalisée.

L’openJDK est disponible en version binaire exécutable directement pour Linux, Windows et macOS.

L’application peut être simplement appelée par une ligne de commande.

Aucune modification de l’openJDK original n’est nécessaire.

Considérer la création des paquetages de déploiement pour:

• Linux :
• Windows :
• macOS :

Il convient d’utiliser l’identifiant interne des documents plutôt que les documents eux-mêmes de manière à permettre leur mise à jour jusqu’au dernier moment.

On considère l’atomicité de chaque opération.

On utilise l’identifiant des documents pour cette opération par lot.

Utiliser l’identifiant pour la sélection de manière à utiliser la dernière version du document et non celle utilisée au moment du lancement de la procédure de recherche.

A ce stade, pendant la recherche, on ne recharge pas les documents. On utilise ceux-ci tels qu’ils étaient au moment du départ de la recherche.

Sur Windows l’URI des propriétés est héritée du système de fichier avec des ‘\’ au lieu de ‘/’ pour définir l’arborescence.

Un garde-fou a du être implémenté pour uniformiser cette stratégie en la fixant définitivement avec des séparateurs ‘/’.

Upstream Abstrasy 2.0 rev 149

Une erreur lors de l’envoi des documents par lot via la messagerie e-mail peut bloquer le programme:

En fait, la boite de progression reste ouverte car le nombre de document prévus n’est pas envoyé.

Corriger dans BeDesk-Express v 17.0

Chaque base de données est liée à un seul et unique compte principal.

Cela évite les éventuelles “collisions” de clés en réduisant le domaine.

Depuis la protection de la référence de l’article dans le gestionnaire du stock, il n’est plus possible d’ouvrir en édition l’article pour copier la référence dans le presse-papier.

La suggestion consiste donc à trouver un moyen de pouvoir copier la référence dans le presse-papier.

Amélioration de l’UI en offrant le choix du type d’impression lorsqu’on clique sur “Imprimer”.

• Imrpimer
• Export PDF

Ajout de la fonction “Exporter en PDF” à partir du menu “Actions” du panneau aperçu de document (y compris dialogue “Aperçu de document”).

Lorsqu’on supprimer le dernier article d’un panneau TVA, l’interface rencontre des erreurs de pointeur NULL.

Confirmé.

Corrigé.

L’ajout d’un menu “Actions” sur le panneau “aperçu” du document permettrait de fournir la plupart des fonctions les plus utiles après visualisation d’un aperçu.

Ce menu offrirait un panel de raccourcis pratiques qui éviteront de devoir revenir sur le panneau “Synthèse” pour exporter en PDF par exemple.

Il y a de la place en bas du panneau “Aperçu” pour placer le bouton “Actions” et le menu de raccourcis.

Il reste à définir quels raccourcis seront les plus utiles à partir de cette vue.

Suggestions d’utilisateurs:

• Export PDF
• Imprimer
• Envoyer par mail
• Ouvrir avec le programme de courrier par défaut
• Ouvrir avec la visionneuse PDF par défaut

Implémentation partielle:

• Export PDF : ok.
• Autres ... Reportés.

Il est plus avantageux de transmettre les données des images (logo et image de fond) sous la forme intégrée que par la voie de fichiers liés.

De cette manière, il est également possible d’assurer la persistance du contexte d’impression (les images en faisant partie).

Il convient de traiter les opérations par lot non plus sur les documents eux-mêmes mais plutôt sur leurs identifiants internes.

De cette façon, on peut actualiser un document individuel sans problème jusqu’à ce que l’opération planifiée soit réalisée.

On procède dans un environnement de concurrence atomique.

Il faut traiter “Envoyé” par rapport à l’impression.

On ne peut envoyer un document sans l’imprimer.

Le texte des intitulés apparaît en noir sur fond bleu dans la liste des contacts.

Il faudrait que le texte des intitulés de l’élément sélectionné apparaisse en blanc sur fond bleu.

La procédure de maintenance automatique lors du démarrage doit inclure la vérification de la licence et la récupération des caractéristiques de l’application (fait en même temps - opérations indissociables) doivent être bloquantes car on en besoin pour s’assurer que la base de données n’a pas été altérée (notamment détecter s’il manque des documents).