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La revalidation des codes doit être conservée, même si ceux-ci sont effectivement déjà validé.

Toutefois, il est utile de permettre à l’occasion un nouvel enregistrement des coordonnées.

Si une boîte de dialogue est ouverte en dehors de l’AWT-EventQueue, des exception NullPointer peuvent survenir.

On peut s’assurer que les boîtes sont ouvertes dans l’AWT-EventQueue à l’aide des Task et du Worker.

• MsgBox
• MainAppList

Le contrôle d’intégrité des données sur les postes clients était assurée par la gestion de Tokens. Il s’agissait plus particulièrement de sommes d’autocontrôle.

Pour pouvoir écrire sur le Track, il fallait fournir le Token précédent et un nouveau Token correspondant chacun à la somme d’autocontrôle des données.

Cette méthode est remplacée par le calcul de hash (SHA-256 plus précisément). Ce calcul concerne les données de tous les buckets pris en compte pour la réplication. On a ainsi un hash qui correspond à une signature unique (arbre de Merkle) de l’ensemble des données du poste client.

Sur le même principe, le client doit fournir non seulement le CASC (Compare And Swap Counter) et l’OCCL (Optimistic Concurrency Control Lock) du prochain enregistrement prévu dans le chaînage, mais également le hash correspondant à l’état des données après la dernière écriture.

Un client ne peut fournir ces informations que s’il contient bien l’ensemble des données prévues inaltérées et qu’il est devenu le leader du cluster.

Lorsque les données ont été importées à partir d’une ancienne révision, les anciens fichiers ont normalement été supprimés.

Or, il peut rester quelques fichiers de configuration qui ont pas été correctement supprimés lors de l’opération.

C’est plus particulièrement le cas des articles avec le le fichier de configuration résiduel “dba.cfg” de l’ancien moteur B5F.

Ce garde-fou veille à supprimer ce fichier s’il est toujours présent.

Jusqu’à présent, les paquetages Java nécessaires à l’application étaient déployés sur le disque de l’ordinateur avant d’être exécutés.

Cette amélioration supprime la nécessité de déployer les paquetages sur disque. L’application est 100% démarrée en mémoire vive et ne nécessite plus d’accès disque pour accéder à ses composants.

Cela augmente la réactivité de l’application. Il faut moins de temps pour répertorier les ressources et autres composants chargés dynamiquement.

Il est cependant toujours nécessaire de redémarrer l’instance Java pour appliquer les dernières mises à jour.

Dans certains cas, la procédure de démarrage ne se lance pas et le logiciel reste suspendu.

Il suffit de fermer l’application (arrêt forcé) et de relancer pour ne plus constater le problème.

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Ce problème ne semble affecter que Mac OS X. Aucun cas sur Windows n’a été signalé jusqu’à présent.

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La procédure est lancée sur évènement de l’interface UI. L’évènement semble ne pas toujours être capté.

Or, la procédure peut démarrer immédiatement. Ce n’est pas grave si la procédure est déjà lancée alors que le fenêtre apparaît à l’écran.

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On lance à présent la procédure par le composant StartupHub directement après avoir initialiser la fenêtre principale et sans attendre qu’elle soit affichée à l’écran.

Ceci permet d’accélérer en même temps le démarrage du module principal.

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Tests nécessaires.

On constate que certains utilisateur essayent de continuer d’utiliser une ancienne version du logiciel (le plus souvent BeDesk 16) en même temps que la version actuelle (BeDesk 17) à l’aide de la même licence.

Cela crée des problèmes de désactivations intempestives et entraîne la corruption du chaînage de session dans la version plus récente du logiciel.

Le service d’activations devrait donc refuser l’activation d’une ancienne version du logiciel avec une licence qui a été utilisée avec une version plus récente du logiciel.

En d’autres terme, il faut interdire la rétro-activation.

Le temps de réponse des services en ligne dépend fortement de la latence occasionnée par le délai de connexion et la redistribution de charge sur internet et à travers l’infrastructure.

Notre frontend situé en Hollande nécessite un temps de connexion double par rapport à notre frontend situé en France. Il serait donc plus judicieux de mieux utiliser la partie française que celle située en Hollande.

Il n’est pas directement question d’abandonner la partie hollandaise. Mais plutôt de privilégier la partie située en France pour réduire la latence.

Pour pouvoir ajouter un nouveau bloc à la chaîne de blocs gérée par un serveur Track, le réplicateur doit devenir le leader et non plus un follower. Pour cela, il doit fournir une valeur de CAS correct. Si le réplicateur a un CAS inférieur au dernier CAS fourni au serveur Track, le réplicateur est un follower. Si son CAS est celui attendu du prochain leader, il peut ajouter un nouveau bloc à la chaîne.

Dans le cas de figure ou son CAS serait supérieur au celui attendu du leader, le serveur Track refuse l’ajout. Par contre, le réplicateur n’enregistre pas l’erreur et une boucle sans fin se met en place où le réplicateur essaye de faire passer son CAS incorrect de façon indéfinie.

Pour éviter cela, si le CAS du réplicateur est supérieur à celui du Track, une erreur de CAS devrait être déclenchée. Et le réplicateur devrait s’arrêter puisque la chaîne locale (les fichiers LogView locaux) est corrompue.

Il ne doit plus être possible de simplement cocher la case “payé” pour stipuler que le document est payé.

L’utilisateur est obligé d’apurer correctement ses documents en indiquant la liste des paiements reçus.

Le logiciel détermine automatiquement si le document est payé ou non en fonction de la somme des montants reçus.

Si cette sommes est égale au Grand Total de la facture, celle-ci est payée, sinon, ce n’est pas le cas.

ATTENTION!... VERIFIER LA LOGIQUE DE LA GESTION DES PAIEMENT AVEC LES MODES MDA ET AGESSA.*

Il faut d’abord enregistrer la totalité des paiements reçus de sorte que la facture soit payée pour pouvoir éventullement cocher “Pour acquit”.

Il semble que certains utilisateurs coche d’abord “pour acquit” alors qu’aucun articles n’a été facturé.

Le document passe donc pour payer alors qu’il ne l’est pas en réalité.

Ensuite, ils modifient le contenu ce qui en finalité génère un document portant la mention “pour acquit” mais qui n’est pas payé.

Ceci doit être détecté et interdit par l’interface utilisateur.

Ce bug touche toutes les révisions de la version 17.

Le nom de la base de données n’étant pas encore reconnu au moment de l’exécution de l’assistant du premier démarrage, la sauvegarde des options dans le bucket ‘properties’ est désactivé.

Le nom de la base de données doit être reconnu directement au début du lancement.

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Par défaut retourne le nom obtenu par le module PZ. Le test de correspondance est effectué ultérieurement. De cette manière, si le nom change, on peut le détecter également.

Cependant, ainsi, le nom de la base de données physique est déjà disponible dès le lancement.

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On supprime aussi des garde-fous relatifs à la compatibilité avec BeDesk 11, largement désuets à présent.

Le fichier TrueType de la police par défaut ne peut être trouvé sur le disque de l’ordinateur. Il en résulte l’erreur interne suivante:

HTMLDOC *** AutoCheckFontSize patching font size 8 -> 10 ***
HTMLDOC *** AutoCheckFontSize patching font size 6 -> 7 ***
<#> Report length : 10449
<#> Report created in 29ms...
TRACE 0:00:38.190  kit.reading...
CREATE PageClassicHeaderImage : javax.swing.ImageIcon@52fc87c4
TRACE 0:00:38.271  kit.reading done.
TRACE 0:00:38.285  kit.reading...
TRACE 0:00:38.292  kit.reading done.
TRACE 0:00:38.317  kit.reading...
TRACE 0:00:38.384  kit.reading done.
BeDeskLauncher->AppInUseDaemon : Buzz @ 2018-01-29T11:05:44.086110Z
export PDF...
2 PAGES...
java.io.IOException: Open Sans.ttf not found as file or resource.
	at com.lowagie.text.pdf.RandomAccessFileOrArray.(RandomAccessFileOrArray.java:106)
	at com.lowagie.text.pdf.TrueTypeFont.process(TrueTypeFont.java:633)
	at com.lowagie.text.pdf.TrueTypeFontUnicode.(TrueTypeFontUnicode.java:99)
	at com.lowagie.text.pdf.BaseFont.createFont(BaseFont.java:685)
	at com.lowagie.text.pdf.BaseFont.createFont(BaseFont.java:603)
	at com.lowagie.text.pdf.BaseFont.createFont(BaseFont.java:546)
	at bedesk.font_tk.FontTk.DefaultBaseFont(FontTk.java:584)
	at bedesk.font_tk.FontTk$1.awtToPdf(FontTk.java:142)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.getCachedBaseFont(PdfGraphics2D.java:1006)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.setFont(PdfGraphics2D.java:999)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.(PdfGraphics2D.java:209)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfContentByte.createGraphics(PdfContentByte.java:2903)
	at bedesk.printing.MyPDFWriter.writePrintable(MyPDFWriter.java:167)
	at bedesk.printing.Imprimer$1PDFThread.run(Imprimer.java:1056)
Exception in thread "Thread-25" java.lang.NullPointerException
	at bedesk.font_tk.FontTk$1.awtToPdf(FontTk.java:143)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.getCachedBaseFont(PdfGraphics2D.java:1006)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.setFont(PdfGraphics2D.java:999)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.(PdfGraphics2D.java:209)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfContentByte.createGraphics(PdfContentByte.java:2903)
	at bedesk.printing.MyPDFWriter.writePrintable(MyPDFWriter.java:167)
	at bedesk.printing.Imprimer$1PDFThread.run(Imprimer.java:1056)

Variante du problème sur un autre poste:

export PDF...
TRACE 0:00:48.986 <bedesk.trk4b._Trk4b_Tk._resync0> _Trk4b_Tk._resync(Thread[AWT-EventQueue-0,6,main],false) [ RSYNC ]
keylistdb.storage.logviewengine.replicationagent.KeyChainedReplicationAgentLogViewEngine.consume_loop [   GET LINE   ] 428
1 PAGES...
java.io.IOException: Open Sans.ttf not found as file or resource.
	at com.lowagie.text.pdf.RandomAccessFileOrArray.<init>(RandomAccessFileOrArray.java:106)
	at com.lowagie.text.pdf.TrueTypeFont.process(TrueTypeFont.java:633)
	at com.lowagie.text.pdf.TrueTypeFontUnicode.<init>(TrueTypeFontUnicode.java:99)
	at com.lowagie.text.pdf.BaseFont.createFont(BaseFont.java:685)
	at com.lowagie.text.pdf.BaseFont.createFont(BaseFont.java:603)
	at com.lowagie.text.pdf.BaseFont.createFont(BaseFont.java:546)
	at bedesk.font_tk.FontTk.DefaultBaseFont(FontTk.java:584)
	at bedesk.font_tk.FontTk$1.awtToPdf(FontTk.java:142)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.getCachedBaseFont(PdfGraphics2D.java:1006)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.setFont(PdfGraphics2D.java:999)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.<init>(PdfGraphics2D.java:209)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfContentByte.createGraphics(PdfContentByte.java:2903)
	at bedesk.printing.MyPDFWriter.writePrintable(MyPDFWriter.java:167)
	at bedesk.printing.Imprimer$1PDFThread.run(Imprimer.java:1056)
Exception in thread "Thread-42" java.lang.NullPointerException
	at bedesk.font_tk.FontTk$1.awtToPdf(FontTk.java:143)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.getCachedBaseFont(PdfGraphics2D.java:1006)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.setFont(PdfGraphics2D.java:999)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfGraphics2D.<init>(PdfGraphics2D.java:209)
	at com.lowagie.text.pdf.PdfContentByte.createGraphics(PdfContentByte.java:2903)
	at bedesk.printing.MyPDFWriter.writePrintable(MyPDFWriter.java:167)
	at bedesk.printing.Imprimer$1PDFThread.run(Imprimer.java:1056)

Ce problème ne devrait pas se produire car la police utilisée par défaut est ‘Open Sans’, une police intégrée et fournie avec le logiciel.

Donc, à moins qu’il n’y ait une erreur sur le disque, la police est bien là.

Note : Ce problème se manifeste uniquement sur macOS. Aucun rapport correspondant n’a été fourni sur des machines équipées de Windows.

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Lors du déploiement, les polices intégrées sont ajoutées dans le dossier ‘ressources’ du cache de la base de données. Il sont donc présents et accessibles.

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Pour contourner le souci, on peut faire 2 choses :

1. Utiliser un lien de ressource interne menant directement dans le paquetage (ClassLoader). En remplacement de la recherche du fichier dans le cache.
2. Si on ne trouve pas de fichier source, utiliser une autre police, même si celle-ci ne peut être embarquée car aucun texte ne sera imprimé avec cette police. Le moteur d’impression utilise ses propres polices. C’est pour prendre en charge les polices par défaut manquantes qu’il faut ajouter soi-même une police par défaut supplémentaire. Toutefois, celle-ci n’est pas utilisée pour l’export du document.

En procédant à cela, le type de tâche doit être requalifié de ‘bug’ à ‘garde-fou’.

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ok pour moi.

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Pour éviter le blocage du Worker sur l’attente d’une notification envoyée prématurément, on fixe le délai maximum d’attente à 100 ms. Après ce délai, une vérification est faite. Si rien n’est à prendre en compte, le Worker est mis en attente à nouveau pour 100 ms maximum.

C’est ainsi dans les boucles d’attente d’évènements aussi bien dans le Worker que dans les Task.

En cas d’InterruptException, l’attente de la fin d’une tâche invoquée est arrêtée et retourne un code Task.status.ERROR.

On ajoute une vérification supplémentaire de la piste d’audit avant le lancement de la sauvegarde de sécurité à distance.

L’objectif étant d’éviter de sauver des données corrompues et de préserver le dernier point de restauration en l’état.

Suppression du contrôle OCC pour les opérations “follower”.

L’OCC n’est contrôlé qu’au moment du commit (par le leader lors de la réplication).

Réduction de la complexité de l’application en fusionnant les modules starter.* et bedesk.*

Le nouveau paquetage résultant est bedesk.starter.*.

L’API REST utilisée par le logiciel interroge le service BeDesk-Express.com à l’aide des coordonnées du compte client pour retrouver la liste des sauvegardes à distance disponibles.

Lors de la récupération cette API récupère le contenu de la sauvegarde sur la plateforme VB4B. Cependant, il existe une limitation de mémoire pour les scripts PHP ainsi exécuté. Elle est limitée à 8 Mo. Si la sauvegarde est plus grande, le script s’arrêtait.

A présent, on utilise un stream pour récupérer un flux. De cette manière on n’a plus besoin d’autant de mémoire.

De plus, la conversion en Base64 peut être réalisée au fur et à mesure.

La fenêtre de l’assistant du premier démarrage n’a pas toujours tous les champs complétés ou se fige.

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Il y a un interblocage dans l’AWT-Queue.

En forçant chaque appel du StartupDialogX.browser dans une tâche du Worker, on évite ce problème.

Des optimisations importantes du générateur de documents peuvent être implémentées pour améliorer les performances de préparation et de rendu des documents.

Les optimisations sont plus particulièrement attendue en ce qui concerne la préparation des rapports longs (plusieurs milliers de lignes).

Une régression est signalée : Elle consiste à afficher de façon systématique les lignes de séparation des rangs dans les documents.

Ceci même si l’option de ligne de séparation est désactivée.

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Problème confirmé.

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Analyse en cours...

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Cause : Occurrences de l’ancien attribut “hidden-border” non remplacés par le nouveau “xhb” dans la classe Row du module bedesk.rapportsforge.

Intégration du RGPD:

Intégration du RGPD au niveau du logiciel.

• Remplacement du lien menant à la police de protection de la vie privée.
• Actualisation des conditions du contrat de licence.

Il n’y a pas grand chose à faire à ce niveau. La très grande majorité des conditions sont déjà d’application.

• Actualiser la copie du contrat de licence en ligne.
• Actualiser le lien vers la police de protection de la vie privée.

Amélioration du contrôle du montant de l’acompte en tenant compte de la formule:

( |ACOMPTE| <= |TOTAL| ) AND ( SGN(ACOMPTE)==0 OR SGN(ACOMPTE)==SGN(TOTAL) )

Il semble que certains utilisateurs saisissent des échéances sans montant par anticipation dans l’application “Échéancier fournisseurs”.

Normalement, il ne peuvent pas saisir un montant vide, alors leur astuce consiste à saisir un caractère d’espace.

Or, ce caractère d’espace ne peut pas être converti en nombre. Du coup, cela entraîne des erreurs internes qui peuvent amener l’application a devenir instable.

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Une vérification supplémentaire lors de la conversion de la chaîne de caractères en nombre serait utile pour supprimer le cas où, après avoir supprimé tous les caractères non numériques, il ne reste rien.

Cela doit être effectué dans le module Compta.

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Une vérification supplémentaire du montant saisi devrait être effectuée dans l’application “Échéancier fournisseurs” pour valider la saisie.

Il est très facile d’inclure dans la distribution le paquet inchangé de l’OpenJDK original pour Windows.

L’appel de la machine virtuelle Java se faisant par simple ligne de commande, on respecte le contrat GPL.

Les liaisons bénéficient de l’exception du classpath associé au contrat.

Pour remplacer l’OpenJDK, il suffit de modifier la ligne de commande de l’appel ou de remplacer le contenu du sous dossier jdk-11 tout simplement. L’application BeDesk pouvant tout à fait fonctionner avec une autre JVM, l’indépendance est conservée. le paquet de l’OpenJDK est utilisé pour la facilité de l’utilisateur final et celui-ci conserve tous les droits de la licence originale de l’OpenJDK.

La suppression de l’image de fond des document entraîne une exception.

Un enregistrement “tombstone” remplace la suppression qui produit l’exception en mode réplication.

Le problème est résolu.

Actualiser le contrat de licence en fonction du nouveau niveau de rétro-compatibilité : 18.0.250.

La taille de police utilisée pour les courriers d’accompagnement ou les relances est celle des titres et non celle du corps des documents.

Problème confirmé.

Recherche nécessaire : Priorité élevée.

Correctif: ok.

Nous utilisons depuis de nombreuses années la dernière version sous licence LGPL de iText pour la production et le traitement PDF.

PDFBox offre de nombreux avantages tout en étant sous licence Apache.

Pré-implémentation disponible en phase de tests.

Nous produisons des documents PDF/A-3 valides.

De plus, la boite à outils PDF est actualisée en conséquence.

Adaptation du module FontTk : ok.

Prise en charge des données structurées : Nécessite une tâche dédiée.

Lorsqu’on exporte les contacts à l’aide du rapport “export de contacts”, l’adresse e-mail est placée dans la colonne “tel1”.

Confirmé.

On peut contourner ce problème en intervertissant les colonne dans un tableur. Toutefois, un correctif est nécessaire pour corriger ce problème au niveau du logiciel.

Rectification de l’ordre des éléments dans le fichier d’export.

Corrigé.

Ajout d’une couche OCR lors de l’export PDF.

BeDesk Express produit des fichiers PDF/A3 de haute qualité et protégé contre l’altération du contenu.

A l’impression, les documents sont toujours rendus de la même manière quelque soit le terminal ou l’imprimante utilisée.

Cependant, cela implique que le texte visible est constitué de Glyphes vectorisés.

Ces glyphes ne sont malheureusement pas lisible par les systèmes OCR (bien qu’ils soient parfaitement lisibles via une système ICR).

Pour résoudre ce problème, BeDesk Express ajoute une couche de texte OCR transparente, donc non visible, mais qui peut être extraite par un système OCR de base.

Le papier de fond ne semble pas s’imprimer complètement (hors marges) lorsqu’on effectue une impression via le système d’impression natif.

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Confirmé : échantillon disponible et problème reproductible.

Problème uniquement à impression physique.

Pas de souci dans l’aperçu ni via l’export PDF.

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Il faut vérifier si le système d’exploitation ou le pilote de l’imprimante n’ajoute pas de marges avec découpe après la création de l’image du document par le logiciel BeDesk Express.

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De toute évidence, le logiciel BeDesk Express établi correctement les marges. Le système d’impression semble ajouter des marges après-coup et découpe/masque le contenu hors marges.

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Le système d’exploitation et ou le pilote d’impression de l’imprimante ajoute des marges et coupe les parties hors marges.

Il est certainement temps d’abandonner le système d’impression natif/Java et de passer tout simplement le flux de sortie PDF vers le logiciel d’impression PDF par défaut du système d’exploitation.

Seul problème, c’est que contrairement à Linux et à macOS, Windows est dépourvu d’un outil d’impression par défaut du système d’exploitation pour l’impression des fichiers PDF. Lorsqu’on appelle l’impression PDF du système, Windows ouvre une visionneuse pour afficher à l’écran (soit Adobe ou le navigateur Edge).

On peut en ajouter un lors de l’installation sur Windows.

L’installateur peut embarquer un outil d’impression tiers sous licence libre qui sera simplement appelé par ligne de commande. L’impression par ligne de commande existe déjà dans BeDesk Express. Il suffit de couplé cela à la sortie via l’application PDF par défaut du système.

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Nécessité de vérifier la licence de l’outil d’impression tiers. S’assurer que l’outil peut être embarqué sans altération et appelé via ligne de commande sans infraction à la licence.

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A ce sujet, voici ce que l’on peut lire sur https://www.gnu.org/licenses/gpl-faq.fr.html#MereAggregation :

Si les modules sont inclus dans un même fichier exécutable, ils sont indéniablement combinés dans un seul programme. Si les modules sont conçus pour être exécutés en liaison l’un avec l’autre dans un espace d’adressage partagé, cela signifie presque à coup sûr une combinaison en un seul programme.

En revanche, les tubes, sockets et autres arguments de ligne de commande sont des mécanismes de communication utilisés normalement entre deux programmes séparés. Aussi, tant que ces mécanismes ne servent qu’à communiquer, les modules sont normalement des programmes séparés.

La licence GPL n’interdit pas l’agrégat. De plus, puisqu’il s’agit simplement d’un appel par ligne de commande sans plus, il n’y a pas d’infraction à la licence si un outil comme SumatraPDF est ajouté au paquet d’installation pour Windows.

Il est toutefois nécessaire de signaler l’accord de licence dans les informations de licences tiers du logiciel.

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Correctif implémenté.

Nécessite des tests.

Ok.

Lorsque le paramètre de sélection du bac d’alimentation de l’imprimante est utilisé, l’impression peut être extrêmement lente et nécessiter beaucoup de mémoire sur Windows.

Impression via SumatraPDF “bin=media”.

Lorsque le paramètre de sélection du bac d’alimentation est omis, l’impression se poursuit correctement.

En outre, lors du choix des paramètres dans la boite de dialogue, le bac d’alimentation est grisé.

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Confirmé.

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Déploiement de la révision :

Avec la prise en charge des services-packs, il est possible de personnaliser le fonctionnement du logiciel et d’assurer la persistance de ces changements.

Un service-pack est un programme “compagnon” du logiciel principal et qui en étend les fonctionnalités en réagissant à certains évènements.

Un script de service-pack comprend tout le code nécessaire.

Un script modèle service-pack permet de définir les fonctionnalités, de les tester et de les installer.

Lorsqu’il est installé, le script du service-pack est démarré automatiquement à la fin de la séquence de démarrage du programme.

Mise à niveau du paquet Abstrasy.

Nombreuses corrections de bugs et passage en version stable.

La section “Boundary” est considérée comme trop longue par certains serveurs de mails.

Un warning est donc envoyé.

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Confirmé!

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Correctif simple : réduire un peut la longueur à la taille max de 70 caractères.

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Correction faite.

Mise à jour de l’OpenJDK 11 attendue pour le 20 avril 2021.

Applique les corrections suivantes: https://foojay.io/java-11/?tab=allissues&version=11.0.11

Mise à jour upstream de l’outil de création d’exécutable Launch4j vers la version 3.14.

Corrige quelques bugs : http://launch4j.sourceforge.net/changelog.html

Même si on refuse la production d’un courrier d’accompagnement lorsqu’on produit un extrait de compte client, le courrier est malgré tout ajouté.

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Confirmé: oui.

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Il n’existe pas de moyen de contournement directement à l’aide du logiciel. Il faut systématiquement produire la lettre d’accompagnement, puis extraire la page contenant le tableau sans le texte d’accompagnement. Cela ne peut se faire qu’à l’aide d’un outil externe.

Priorité: basse → haute.

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Mise à jour upstream de l’OpenJDK 11 pour l’amener à la version 11.0.13.

Afficher le message d’erreur renvoyé par le système dans le cas où il y aurait un souci lors de l’export PDF.

Lorsqu’on indique le nom du pays en toutes lettres dans le champ du pays, la sélection automatique ne fonctionne pas.

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Confirmé.

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Analyse en cours.