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Jusqu’à présent, le lanceur du programme BeDesk réservait systématiquement 512Mo de mémoire vive pour permettre l’utilisation du programme dans un espace de mémoire vive suffisant (en tenant compte des petites configurations sur lesquelles le programme pouvait être démarré).

Toutefois, ce garde-fou n’a plus de raison d’être car, même une configuration très légère comporte au minimum 1Go de mémoire vive.

L’allocation au démarrage peut donc être supprimée au profit d’une méthode directement déduite des capacités de l’ordinateur sur lequel le programme est démarré.

Les options pas défaut de Java 7 préconise une allocation maximum de 75% de la mémoire vive disponible. Toutefois, seulement un espace de 384Mo est réservé au départ. Si le programme nécessite plus de mémoire vive par la suite, celle-ci peut être allouée à condition de na pas dépasser 75% de la quantité de mémoire vive disponible.

Ce changement implique donc que le logiciel nécessite un ordinateur équipé d’au moins 1Go de RAM (ce qui est plus que largement le cas).

De plus, ce changement peut aussi être considéré comme une optimisation (moins de ressources allouées au départ et possibilité de requérir plus de mémoire au fur et à mesure de l’utilisation).

Cette optimisation pose plusieurs problèmes difficiles à résoudre dans l’immédiat sur Windows et Mac OS X.

En effet, par défaut c’est l’OpenJDK qui est installé sur Linux. L’option du lanceur Java « -server » est donc accessible sans souci.

Par contre, sur Windows et Mac OS X, c’est la JRE qui est installée et non le JDK. De ce fait, la mise en œuvre de cette optimisation nécessite l’ajout d’un Bundle du JRE associé au JDK des systèmes mentionnés.

Il convient donc de différer la mise en œuvre de cette optimisation à une révision ultérieure dans le but de ne pas bloquer la publication des mises à jour courantes et attendues.

Rectificatif : Seul la version Windows souffre du souci. En effet, la version de Java 7 installée sur Mac OS X est la version 64 bits. En réalité, seule la version 32 bits entraîne une limitation. Les versions de BeDesk pour OS X et Linux sont donc publiées avec l’option « -server » alors que la version pour Windows continue d’utiliser la réservation fixe : « -Xms256m -Xmx1024m » (augmenté toutefois à 1Go). Un correctif ultérieur rectifiera ce souci sur Windows uniquement.

Avec la gestion dynamique des tableaux de détails et d’articles, on peut supprimer les options de gestion statique de la mémoire.

Outre cela, ce changement constitue une véritable amélioration.

En effet, les paramètres de configuration supprimés étaient jugés critiques depuis longtemps.

Tout changement nécessitaient le redémarrage du programme pour pouvoir être appliqué.

De plus, si l’utilisateur établissait des limites trop importantes (par inadvertance ou par erreur), des mauvaises valeurs pouvaient empêcher le programme de démarrer correctement, vois même pas du tout.

Avec cette amélioration, le logiciel est plus stable et présente moins de risques pour l’utilisateur distrait.

De plus, cela signifie aussi qu’il n’y a plus de limites à la longueur des documents.

Enfin, si un utilisateur souhaite réaliser un document contenant 1000 ou 10000 articles, il n’est plus nécessaire d’adapter la configuration du logiciel. La taille est adaptée au niveau du document pour chaque mode TVA individuellement et non plus au niveau de l’ensemble des documents de la base de données.

Ce dernier point implique également une économie de mémoire qui peut être considérable en fonction des situation.

Le moteur d’impression utilisé jusqu’à présent date de quelques années et a atteint ses limites quant à la vitesse de rendu et à l’utilisation des ressources.

Le développement d’un nouveau moteur d’impression (générateur de rapports) doit être sérieusement envisagé.

Le nouveau moteur doit être plus rapide, plus puissant et moins gourmand en terme de ressources.

Ceci peut être planifié pour la version 19.

Il n’est plus nécessaire de réaliser un fichier de sauvegarde, pour le restaurer dans la nouvelle version du logiciel.

BeDesk 15 s’occupe d’importer automatiquement les anciens fichiers.

Pour assurer la sécurité des données, l’importation est réalisée par copie uniquement. On travaille donc toujours avec une copie des fichiers originaux et non pas avec les originaux directement.

Attention, aux points de synchronisation. Ceux-ci sont copiés au même titre que les fichiers locaux, par contre, les fichiers de synchronisation ne sont pas dupliqués. Il faut trouver une solution à ce niveau.

Le souci est résolu de cette manière : Les liens de synchronisation sont désactivés après importation et l’utilisateur est invité à en créer un nouveau (différent de celui des fichiers originaux).

Un utilisateur signale le problème suivant:

Lorsque qu’on génère un rapport de calcul de marge bénéficiaire sur le document courant (exemple, une facture de vente), le rapport ne tient compte que du prix d’achat des articles dans la gestion de stock et non pas des documents d’achat du dossier où figure le document de vente.

je n’arrive pas a faire une impression des marges bénéficiaires. Dans évaluation des frais il m’indique “pas de frais”.

Voici le chemin que je suis pour générer une liste des marges bénéficiaires.
Rapport → Factures → Marges réalisée... ou Rapport → document en cours → calcul de la marge bénéficiaire.

Reporter cette tâche à la maintenance 2015.

Réévaluation du niveau de priorité de la tâche (Haute).

Problème confirmé. La tâche doit êtres assignée.

Assigné.

Il semble qu’il y ait une confusion entre l’estimation de la “marge bénéficiaire” calculée sur base de la différence entre le prix d’achat des articles et leur prix de vente sur un document (par exemple, un devis qui n’a aucun impact sur la marge effective) et le calcul de la marge bénéficiaire effective calculée au niveau du dossier (montant total des documents de vente diminué du total des documents d’achat - qui représente le bénéfice réel obtenu).

Les rapports que l’utilisateur a choisi pour déduire une “marge bénéficiaire” ne concerne pas le dossier, mais bien les articles uniquement. Il s’agit donc d’une estimation par rapport à un document qui peut même n’avoir aucun impact sur le chiffre d’affaire effectif. De plus, après examen des articles choisis par l’utilisateur, ceux-ci ne sont pas pourvu d’un prix d’achat, ils disposent d’un prix de vente uniquement. De ce fait, il est normal que le calcul abouti à une marge maximale puisque de ce point de vue, il n’y a aucun frais.

Cependant, ceci attire notre attention sur la pauvreté de la version actuelle du logiciel au niveau des rapports relatifs aux dossiers.

Il serait donc judicieux de considérer cet aspect plutôt que de savoir s’il y a un bug ou non dans les rapports d’estimation que l’utilisateur à choisi. A priori, il n’y a pas de bug, mais bien un manque de certaines fonctionnalités.

Je suggère donc la création d’un sous-menu supplémentaire destiné à produire les rapports relatifs aux dossiers.

Dans le même ordre d’idée, le rapport «Facture → Marge bénéficiaire» serait obsolète et devrait être remplacé par le calcul de la marge bénéficiaire effective sur l’ensemble du dossier où figure la facture.

De plus, il serait judicieux de renommer le rapport «Document → Calcul de la marge bénéficiaire» en «Estimation de la marge bénéficiaire fictive sur les articles à référence».

Le type de la tâche est réévalué et passe de “Bug” à “Amélioration”.

Création d’un nouveau sous-menu “Dossier”.

Implémentation d’un nouveau rapport : “Récapitulatif et estimation de la marge”.

Ce rapport présente un récapitulatif de tous les documents d’un dossier, ventile les montants hors TVA, présente les différences éventuelles et propose une estimation de la marge bénéficiaire (en calculant la différence entre achats et ventes).

Modification des intitulés des entrées du menu “Rapports” en vue d’éliminer toute ambiguïté.

Finalisation du module de programmation Abstrasy Intégration.

Ce module permet de rendre l’application entièrement programmable et implémente un système d’interrogation via un langage de programmation.

Ce module est très important car il fera de BeDesk Express une application de gestion commerciale parmi les plus puissantes qui puissent exister.

Même si une fonction n’existe pas directement dans l’UI du logiciel, il sera possible de la créer sur mesures.

Afficher le message d’erreur renvoyé par le système dans le cas où il y aurait un souci lors de l’export PDF.

Avec Windows 8, l’utilisation de dispositifs tactiles se généralise. BeDesk 13 apporte d’ailleurs pas mal d’adaptations prévues pour une expérience tactile.

Il est toutefois possible d’améliorer cette expérience.

Suite à l’expérimentation dans des situations réelles, nous prévoyons plusieurs améliorations supplémentaires pour la version 8.1 de BeDesk 13. Ces améliorations seront disponibles au travers des mises à jour gratuites prévues dans les prochaines semaines.

Celles-ci seront particulièrement bienvenues pour ceux qui utilisent le logiciel sur des PC hybrides (tels que PCs «all-in-one» à écran tactile, netbooks et ultrabooks convertibles en tablettes).

Options disponibles

Barres de défilement

Ouverture automatique du clavier tactile

Ajustement du design des boutons pour mieux répondre aux exigences des systèmes tactiles

Passage automatique en mode plein écran

Disposition plus intuitive et adaptée pour une orientation portrait

Correctifs et adaptations divers

La maintenance 2014 de BeDesk apporte aussi des améliorations dans l’interface du tableau de bord.

Vous trouverez ci-dessous la liste des améliorations regroupées sous cette tâche:

La vue “Synthèse” des document dans BeDesk 13 était héritée de la vue “Synthèse” de BeDesk 12.

Avec BeDesk 14, cette vue est fortement améliorée et s’inspire directement de la vue “Contacts”.

La nouvelle vue “Synthèse” permet de voir rapidement quels sont les montants importants du document courant et offre une navigabilité nettement plus ergonomique.

L’utilisation avec la souris est maintenue et les éléments réagissent au survol du curseur de la souris. L’utilisateur peut donc voir immédiatement à l’écran réagir l’interface à ses mouvements et lui suggérer ainsi qu’il est possible d’effectuer telle ou telle opération.

Cette amélioration a aussi pour but d’uniformiser le style de l’interface du programme.

En outre, l’aménagement des éléments est meilleur. L’occupation est proportionnelle au contenu et à la taille de la fenêtre.

De plus, les éléments complémentaires en bas de la fenêtre sont à présent rétractables comme le sont déjà les fonctions placées sur le coté droit de la fenêtre principale. Ce changement permet de faciliter l’utilisation du logiciel sur des écran “wide” dont la résolution verticale est inférieure à 1080 (certains netbooks et la tablette Asus VivoTab sous Windows 8 et 8.1).

Il semble intéressant dans certains cas de pouvoir directement dupliquer un document sans devoir passer par l’enregistrement d’un modèle.

Par exemple, lorsqu’il s’agit de reproduire manuellement le même document pour le même client, mais à une date différente.

Dans la pratique, cette opération revient à reproduire un document planifié à zéro mois (donc au renouvellement immédiat).

Il ne s’agit donc pas d’une nouvelle fonction supplémentaire, mais un cas d’utilisation ou éventuellement un raccourci.

L’implémentation mérite réflexion.

Serait particulièrement utile s’il faut créer plusieurs variantes d’un même devis par exemple.

Comment présenter la fonction ? copier/coller ou dupliquer.

La fonction “Dupliquer le document” a été ajoutée dans le menu “Edition” du volet de fonctions latéral du panneau “Synthèse” des documents.

Une copie identique du document courant est réalisée et enregistrée à la date du jour. Les coordonnées du contact sont extraites à partir de sa fiche de contact. Ainsi, si ses coordonnées ont été mise à jour entre le moment de la création du document modèle et du nouveau document, ce dernier présentera les coordonnées à jour du contact.

Le logiciel dispose de nombreux formats de numérotation.

Cependant, on peut avantageusement compléter la liste des formats par quelques variantes intéressantes:

• {INDEXANNUEL:Z4} : Pour formater le numéro de série index annuel avec remplissage de zéros à 4 chiffres. Pour obtenir des numéros tels que : 0001, 0002, 0003, etc...
• {INDEXANNEUL:Z5} : Idem, mais pour un alignement à 5 chiffres. Donc pour obtenir une séquence du type 00001, 00002, 00003, etc...

Bien sûr, on pourrait alors combiner ces format avec d’autres champs de formatage existant comme par exemple {ANNEE:COURT}.

Ainsi, par exemple en 2014, le format «{ANNEE:COURT}{INDEXANNUEL:Z4}» donnerait la séquence: 140001, 140002, 14003, etc... Et en 2015, 150001, 150002, 150003, etc...

Correctif attendu pour Windows.

Cette amélioration est rendue possible par l’utilisation de la version 64 bits de Java pour Windows.

Tests en cours...

Question posée par un utilisateur:

Ma question est simple. Je souhaite voir apparaître dans chacun de mes documents (devis, bon de commande, factures, livraisons) un sous total de la quantité des produits indiqué sur mon document. Ou si vous voulez la somme des produits qui figurent dans le document.

Exemple: je facture :

_t shirt bleu (quantité: 10 pcs) x (Prix:10€) = 100`€

_t shirt rouge (quantité: 10 pcs) x (Prix:10€) = 100`€

_t shirt noir (quantité: 10 pcs) x (Prix:10€) = 100`€

Je veux faire apparaître dans mes documents,dans la colonne des articles si possible (si non même ailleurs), LA QUANTITE TOTALE.

Pour revenir à l’exemple:

_QUANTITE TOTALE = 30 PCS et la somme = 300€

Or, le champ de fusion {QUANTITE} ne permet pas de calculer la somme des quantités d’articles qui précède. Ce champ fournit la quantité de l’articles courant.

On propose donc l’ajout de 2 nouveaux champs de fusion :

• {QUANTSUM:RESET} : Réinitialise le compteur de quantité.
• {QUANTSUM} : Fournit la somme des quantités des articles inclus entre l’article courant et le premier article qui suit {QUANTSUM:RESET}.

Ces champs ne devraient pas être accessibles dans la zone commentaire des documents. Toutefois, même si leur usage se limite au tableaux d’articles des documents, cela répond à la demande. L’utilisateur peut très bien créer un petit encadre récapitulatif, voir même l’inclure comme un article à référence virtuel.

Suggestion acceptée.
Implémentation.

Le “Look & Feel” de Mac OS X 10.10 est fort différent des versions de OS X qui l’ont précédé.

A partir de 10.10, les fenêtres, boutons et icônes adopte un style plus “plat” et qui n’est plus photo-réaliste.

Cela est un grand avantage pour nous car BeDesk doit proposer une interface utilisateur qui s’intègre aussi bien dans Windows que Mac OS X.

Dans un certain sens, Apple se rapproche de Microsoft et cela nous permet de proposer une interface plus fraîche qui s’intègre mieux à la fois dans les 2 systèmes.

Le nouveau “Look & Feel” de BeDesk 15 proposera une interface plus plane qui s’intègre mieux à la fois dans Windows 8 et OS X 10.10.

Autre avantage et non des moindre, ce changement implique une simplification des fonctions de tracé (dessin) des boutons de l’interface. Celle-ci devient donc légèrement plus réactive.

Les méthodes de numérotation de série des documents nécessitent dans certains cas la réindexation des documents. C’est par exemple le cas des numérotations index annuelles qui doivent tenir compte de la date du document pour choisir l’exercice et donc l’index du document dans l’exercice.

Cela nécessite relativement peu de ressources. Cependant, lorsqu’il est nécessaire de produire des rapports basés sur un volume important de documents, ce faible coût peut devenir assez conséquent et impacter le temps nécessaire à la création des documents.

L’outil Rapports est déjà assez fortement optimisé pour assurer un rendu assez rapide même pour des documents de plusieurs dizaines de milliers d’entrées.

Il est donc nécessaire de résorber le goulot d’étranglement qu’occasionnent certains formats de numérotation.

Une nouvelle méthode d’interprétation des formats a été implémentée. Celle-ci réduit fortement le traitement nécessaire pour créer et formater les numéros de série.

Le gain est énorme. Les nouvelles fonctions sont jusque 10 fois plus rapides que les précédentes.

BeDesk 16 introduit un nouveau composant «lanceur de programme» appelé BeDeskLauncher.

Le BeDeskLauncher permet de faciliter le déploiement des fichiers exécutables du programme, de les charger en mémoire et des les démarrer.

Ces rôles étaient dévolus au BeDeskStarter dans les versions précédentes. Toutefois, le déplacement de ces rôles vers un composant externe permet d’étendre plus facilement les fonctionnalités de l’application à l’ensemble de ses composants.

De plus, la mise en place des différentes parties du logiciel et de ses bibliothèques est ainsi fortement améliorée.

La version 16 de BeDesk intègre dorénavant un client de sauvegarde en ligne qui permet de sauvegarder directement une copie de la base de données sur l’infrastructure sécurisée BeDesk.

Un algorithme très performant permet de réduire considérablement le temps de transmission et la bande passante nécessaire pour réaliser les sauvegardes.

A moins que l’utilisateur n’ait désactiver l’option de sauvegarde, le client est automatiquement activé lorsque l’utilisateur ferme sa session.

De cette manière, un historique des fichiers est disponible en cas de problèmes techniques, d’accidents ou de vols. L’utilisateur n’a rien de particulier à faire. Aucun configuration de sa part n’est requise. Cette nouvelle fonctionnalité est extrêmement simple et, à moins que l’utilisateur n’ait modifier le paramétrage par défaut du programme, le client fonctionne sans aucune intervention de l’utilisateur.

{IDUNIQUE} est un format de numérotation très ancien.

Au départ, il faut se rappeler que le logiciel BeDesk Facturation 1.0 ne gérait qu’un seul type de document, des factures. Pour créer et gérer des devis, il fallait utiliser un autre logiciel BeDesk Devis 1.0.

Ce n’est qu’à partir de BeDesk Express Facturation 1.3 qu’il a été d’abord possible de gérer les Factures et les devis dans le même programme et par la suite, ajouter les bons de commande, de livraison, etc...

Tant que l’utilisateur ne gère qu’un seul type de document, {IDUNIQUE} ne pose aucun problème.

Cependant, à moins d’être utilisé d’une manière complémentaire, il ne faut plus utiliser ce mode de numérotation seul pour déterminer le numéro de série des documents.

Au cours des mises à jour, il a été conseillé en son temps de modifier {IDUNIQUE} en {IDDOCUMENT}.

Bien sûr, l’utilisateur était libre de réaliser on non cette modification.

Selon un rapport du support technique, il reste encore quelques rares utilisateurs qui n’ont pas encore actualisés leur format de numérotation et cela peut entraîner des problèmes.

En vue de pouvoir fournir des solutions de contournement de problème, il serait intéressant de pouvoir commencer la série {IDUNIQUE} à partir de 0 au lieu de 1.

Ceci est lié au correctif  FS#419  qui visait à résoudre un conflit avec les séries actuelles.

Sur Mac OS X, la couleur de fond des lignes inoccupées des tableaux est blanche. Cela peut laisser croire à un utilisateur moins observateur que le tableau n’a plus aucune ligne disponible alors que c’est bien le cas.

Une ligne sur deux, la couleur de fond est le blanc. Sur Mac OS X par défaut, la couleur de fond d’un tableau étant aussi le blanc, cela pose un problème d’ergonomie.

Il suffirait de modifier la couleur de fond des tableaux pour faire apparaître la différence entre l’espace vide et les lignes disponibles.

Ce souci est typique à Mac OS X, les autres systèmes affichant une couleur grise pour la partie inutilisée.

Pour tous les système, on applique à présent la couleur de fond (gris foncé) de BeDesk.

Les éléments d’un tableau étant soit, blanc, bleu très clair ou gris clair, on voit bien où se situe les lignes éditables sur un fond gris foncé.

Demande d’utilisateur:

Le service achats souhaiterait pouvoir avoir les informations suivantes :
- le prix d’achat,
- la prix d’achat x les quantités en stock
- la quantité en stock
- le prix de vente
- le prix de vente x les quantités en stock.

Actuellement, les exports se font ainsi: c’est à dire sélection des “rapports”, “articles en stock”, “évaluer la valeur de vente du stock” puis “évaluer la valeur d’achats du stock”. Ensuite téléchargement en CSV/TXT, ouverture depuis Excel, et enfin rapprochement des fichiers avec une rechercheV. Cela est fastidieux, long, et source d’erreur.

Amélioration prise en compte : confirmée.
A planifier : voir ordre de priorité.

Jusqu’à présent, si on modifie un document avec X articles à référence, le stock est actualisé pour les X articles.

Idéalement, il serait possible de n’affecter que ceux dont la quantité change.

—

Une nouvelle méthode permet de retenir que ce qui change (uniquement les deltas relatives par articles.

Ainsi, si delta vaut 0, aucune modification n’est apportée.

De même, en fonction du document, chaque opérations étant relatives, l’inventaire fini toujours par être exact quelque soit l’ordre des transaction.

—

Le document est d’abord enregistré.

Ensuite, les deltas sont reportés dans le stock uniquement pour les articles affectés.

Le nouveau générateur Rx permet de distinguer la sortie.

Si celle-ci est destinée à l’export PDF, le rendu du texte permet son extraction via une visionneuse ou un lecteur PDF.

Nous utilisons notamment le logiciel Adobe Acrobat Pro DC comme outil de référence: https://acrobat.adobe.com/fr/fr/acrobat.html.

Refonte du widget “Dossiers” nécessaire.

L’ancien widget “Dossiers” présentait des chiffres basés sur une estimation du type “max” (recherche des montants maximums pour estimer la marge).

Ce mode d’estimation fonctionne dans la majorité des cas et fourni une approximation suffisante pour donner un ordre d’idée sur le bénéfice ou la perte réalisée sur un projet.

Malheureusement, cette estimation peut prêter à confusion et l’utilisateur peut prendre ces valeur pour des montants exactes. Or, l’objectif n’est pas de fournir la valeur exacte de la marge net. C’est impossible au niveau de la pré-comptabilité. La marge net ne peut être estimée avec exactitude que dans la comptabilité en tenant compte de toutes les caractéristiques de l’imposition.

Le widget a donc été refondu pour n’afficher que des valeurs “absolues”.

En l’occurrence, il s’agit du nombre de documents, des totaux de devis, bons de commandes de vente de d’achat ainsi que le total facturé. L’estimation de la marge est obtenue en déduisant simplement le total des bons de commande d’achat du total des bons de commande de vente.

Il est donc à présent nécessaire de disposer du module Logistique actif pour pouvoir estimer la marge.

Cette marge est toutefois “net” au niveau de la pré-comptabilité. On supprime ainsi l’ambiguïté à propos de la notion d’estimation “approximative”.

Les listes ordonnées par ordre chronologique et par ordre alphabétique doivent être améliorées.

Dans BeDesk 13, l’utilisateur doit pouvoir visualiser d’un simple coup d’œil l’activité d’un client qui mérite une attention particulière.

Ainsi, dans les listes de clients, des petits icônes symbolisant les différents types de documents apparaissent dans la liste en regard de chaque client avec le nombre de document pour lesquels une attention est requise.

Il est évident que la prise en charge des fournisseurs nécessite des adaptations dans la boîte de saisie des clients.

Une case à cocher permet de spécifier si un client est aussi un fournisseur.

BeDesk 13 version 8.1 introduit un nouvel écran de démarrage dont le style est inspiré de celui du tableau de bord.

Cette amélioration mineure a pour but d’uniformiser le style de l’application.

En outre, la disposition des éléments est revue pour tenir dans un écran dont la largeur est de 768px (la largeur d’un écran tactile 1366×768 orienté en mode portrait).

On assombri également l’écran pendant le démarrage. Ceci a un autre avantage, celui de diminuer légèrement la consommation d’énergie pendant le démarrage. Sur certains appareils, cela peut permettre au processeur de fonctionner légèrement plus vite (tout dépend de la gestion d’énergie du dispositif).

Une amélioration intéressante consiste à rendre le tableau de bord plus vivant.

Il est vrai que la comptabilité n’est pas spécialement un sujet réjouissant par nature.

Toutefois, en rendant le tableau de bord plus vivant, il est possible d’agrémenter certaines tâches dont la nature est assez austère.

Ainsi, les tuiles du tableau de bord réagissent maintenant au survole de la souris. Cette petite animation consiste simplement à augmenter légèrement la taille de la tuile survolée. De ce fait, l’utilisateur peut se concentrer d’avantage sur la rubrique choisie tout en améliorant son expérience d’utilisation générale.

Le moteur de rendu des rapport est le même que celui utilisé pour le rendu des documents.

Le correctif  FS#174  permet d’optimiser fortement la procédure de rendu.

Ainsi, à partir de la maintenance 2014, la procédure de rendu des rapports en 2 étapes permet de quasiment annulé le temps de traitement de la 2ième étape. Cette étape prend entre 25 et 30% du temps du traitement dans les versions antérieures. En conséquence, BeDesk 14 permet de produire des rapports “longs” d’une manière visiblement plus rapide.

Plusieurs améliorations importantes de l’interface du logiciel sont au rendez-vous.

Vous trouverez ci-dessous la liste des tâches liées aux améliorations de l’interface incluses dans la maintenance 2014:

BeDesk 13 améliorait déjà la prise en charge de la taille de l’écran pour s’adapter au mieux aux écrans d’ordinateur et de tablette.

Cette amélioration prenait particulièrement tout son sens avec l’utilisation des tablettes où l’orientation pouvait passer de paysage à portrait.

BeDesk 14 optimise cette prise en charge pour améliorer l’utilisation de l’espace disponible. Cela permet de placer correctement la fenêtre de l’application sur l’écran quelque soit sa taille pour que l’utilisation obtienne une vue plus agréable et ergonomique du contenu.

La largeur idéale de la fenêtre principale passe donc à 1180 pixels au lieu de 1080, si l’écran est suffisamment grand.

Si l’écran est de plus petite taille, la fenêtre passe automatiquement en mode plein écran pour utiliser au maximum l’espace visible à l’écran.

Avec la version 2013, les listes de documents pouvaient être utilisées sur un écran tactile à l’aide d’un TouchScroller placé sur la droite de la liste des documents.

Toutefois, le défilement restait assez saccadé du fait de l’implémentation initiale qui cherchait à éviter la nécessité de réaliser le rendu complet de la liste avant d’en proposer l’affichage.

Avec la maintenance 2014, les listes de documents bénéficient de la même fluidité que les listes de contacts.

L’orientation des composants étant maintenant encore plus influencée par l’intégration tactile.

La méthode nécessite un traitement légèrement plus important que celui de la version précédente, mais dans la pratique l’utilisateur ne devrait pas s’en rendre compte car les performances restent bien au rendez-vous.

Nous avons testé l’affichage d’une liste de 85000 documents sur notre poste de tests et l’ouverture du dialogue a pris moins d’une seconde.

Les boutons “Imprimer tous...”, “Envoyer tous...” et “Exporter tous...” de la version 2013 sont remplacés par un seul bouton nommé “Actions”.

Lorsqu’on clique sur ce bouton, un menu apparaît et il est possible de sélectionner une action à réaliser soit sur le document sélectionné ou sur l’ensemble des documents de la liste.

Il est donc ainsi possible d’augmenter le nombre d’actions possibles et d’offrir différentes variantes d’un même type d’action.

En outre, le menu action peut être plus ou moins étendu en fonction des actions possibles et du type de liste.

On peut donc, par exemple, exporter l’ensemble des documents d’un dossier dans un même fichier PDF ou les imprimer tous en un seul clic.

La méthode qui permet de lire et d’évaluer les dates est optimisée et offre une vitesse d’exécution plus importante (de l’ordre de 300%) par rapport à celle des versions précédentes.

La maintenance 2014 améliore les performances et la gestion de la mémoire du logiciel.

Vous trouverez ci-dessous une liste non exhaustive des optimisations apportées...

Vous trouverez ci-dessous une liste des améliorations techniques du logiciel.

En février 2014, nous passerons définitivement à SEPA.

La transition de BeDesk vers SEPA se passe en 2 étapes.

1. l’utilisateur est averti et peut placer le numéro de compte IBAN et le code BIC de sa banque dans le pied de page de ses documents comme dans le cas des utilisateurs d’autres pays comme la Belgique ou le Luxembourg.

2. Une nouvelle balise SEPA sera ajoutée au cours d’une mise à jour avant le mois de février pour permettre l’insertion d’un cartouche contenant les informations bancaires (IBAN et BIC).

Note : Le SEPA est beaucoup plus simple que le RIB. Le cartouche SEPA ne contiendra que le numéro IBAN du compte bancaire et le code BIC de la banque. C’est beaucoup moins d’informations que les anciens RIB.

Implémentation des cadres {SEPA} et {SEPA:COURT}.

Ajout de l’intitulé de l’en-tête dans les options.

Retrait des balises {RIB} et {RIB:COURT} des menus d’insertion des champs de fusion. Toutefois, ces balises restent efficace lors du rendu des documents (archivé).

Remontée de la mise à jour Abstrasy 2.0 beta-2 rev:6.0.

On peut à présent utiliser les balises {SEPA} et {SEPA:COURT} dans les rapports de courrier. Plus particulièrement les extraits de compte client.

Import de la révision beta-2.20 d’Abstrasy 2.0.

Ajouter l’option “Impression dans un fichier PDF” directement dans le menu “Actions” des listes de documents.

Cette fonctions marquerait les documents comme étant imprimés à la suite de l’enregistrement dans un fichier PDF.

Les besoins numériques augmentent et cette variante de l’impression peut s’avérer très utile.

Suite à la suggestion d’un utilisateur, nous avons étudié la possibilité de réduire la taille de la boîte de l’assistant d’aide de première ligne en bas de la fenêtre principale de l’application.

La hauteur de celle-ci est maintenant proportionnelle au contenu. Elle peut donc de réduire à une seule ligne lorsque le contenu de l’assistance est réduite.

Cela permet de gagner jusque 80 pixels sur l’espace disponible verticalement dans la fenêtre.

Ceci est particulièrement utile pour les ordinateurs dont la résolution verticale est particulièrement faible comme les MacBook Pro avec 800 pixels de haut, ou les MacBook Air dont la résolution verticale de l’écran est de 768 pixels.

Implémenté.

Amélioration de la lisibilité du texte de petite taille dans l’interface du logiciel.

Sur les écrans à haute densité la taille du texte des boutons (par exemple, des volets de fonctions) peut être assez réduite par la mise à l’échelle.

Cette amélioration augmente la taille du texte de 20%, le rendant ainsi plus lisible.

L’utilisateur peut choisir un fichier de grande taille comme logo des documents.

Toutefois, il est inutile d’utiliser des fichiers dont la taille dépasse 2Mo. Cela consomme de la mémoire et ralenti le traitement.

L’importation du logo s’efforce donc de réduire la taille du fichier pour ne conserver que les informations utiles et efficaces.

Ajout de 2 nouvelles actions:

1. Changer l’état des documents de la liste vers ‘Imprimé’.
2. Changer l’état des documents de la liste vers “Pas Imprimé’.

De cette manière, il est possible de modifier l’état d’impression d’un ensemble de documents sur base de critères de recherche.

Suggestion d’un utilisateur:

Pourquoi ne pas ajouter un encadre “Signature pour accord” comme sur les bons de livraison, aussi sur les bons de commande de vente?

Très bonne suggestion!

Cette amélioration sera disponible lors de la prochaine mise à jour du logiciel.

On peut aussi modifier la stratégie de l’encadre sur les bons de livraison pour permettre à la fois l’affichage des montants et de l’encadre “Signature pour accord“.

Dans certains rapports comme par exemple, les listes ventilés de TVA, il y a un grand nombre de colonnes. Ceci nécessite donc une largeur minimum par colonne.

Il est donc intéressant de disposer d’une taille de police plus petite pour ce type de rapport.

Amélioration du rendu visuel de l’outil Rapports.

La fenêtre est maintenant plus grande et de taille identique à celle de la fenêtre de l’application principale.

Le zoom sur le résultat est maintenant automatiquement adapté à la taille de la fenêtre (la base de 100%).

La hauteur de la boîte de dialogue de saisie n’était pas toujours correcte (un peu trop petite). Ce correctif mineur rectifie ce souci.

BeDesk 16 bénéficie d’une nouvelle interface utilisateur modernisée.

Celle-ci s’intègre donc mieux au style des interfaces des systèmes d’exploitation plus récents.

Plus simple, le nouveau «look» réduira considérablement la nécessité de disposer d’une carte graphique puissante. Tous les effets susceptibles de consommer beaucoup de ressources graphiques sont remplacés par effets plus simples, mais tout aussi agréables pour permettre une meilleure expérience d’utilisation.

La modernisation du style de l’interface est aussi liée à d’autres améliorations: