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IDProjetCatégorieTypeSévéritéPrioritéSystème d'exploitationRésuméÉtatBasée surDue pour la versionProgression
 43 BeDesk 13CoreSpécificationCritiqueTrès hauteTous Implémentation des spécifications Java 7 Fermée8.0
100%
Description de la tâche

Implémentation des spécifications de Java 7

Toutes les versions de BeDesk 13 sont prévue pour utiliser Java 7 minimum.

Ceci constitue une amélioration très importante, surtout lorsqu’on considère l’actualité technologique:

  • Arrêt du support de Java par Apple pour Mac OS X.
  • Nombreux correctifs uniquement disponibles dans Java 7 (versions supportées par Oracle).
 44 BeDesk 13CoreImplementationCritiqueTrès hauteTous Adaptations et réécriture du code source pour Java 7 Fermée8.0
100%
Description de la tâche

Il est nécessaire d’adapter le programme et même de réécrire des portions de celui-ci pour assurer un support complet de Java 7 (spécifications JSR336).

Cela inclut:

  • La correction de plus de 718 warnings dans le module principal et 49 dans le BeDesk Starter.
  • Des centaines d’optimisations mineures.
 104 BeDesk 13CoreSpécificationCritiqueTrès hauteTous Jeton de reconfiguration des comptes/licences BeDesk 13 Fermée8.0
100%
Description de la tâche

Avec la maintenance 2013, BeDesk dispose d’un nouveau système qui permet à l’utilisateur qui souhaite transférer sa licence d’un ordinateur vers un autre de pouvoir le faire sans avoir besoin de demander la prestation d’un service de reconfiguration de son compte/licence à l’assistance personnalisée.

Ceci est rendu possible par la mise en oeuvre d’une méthode hautement sécurisée où la certification de l’utilisateur est particulièrement forte.

Un dispositif automatique ne peut générer lui-même les codes nécessaires pour réaliser une telle opération. Elle se base en effet sur des informations confidentielles que seul l’utilisateur peut connaître et qu’aucun dispositif numérique ne peut prédire par un algorithme quelconque.

En outre, pour accéder à la procédure de reconfiguration, l’utilisateur doit disposer d’informations obtenue au travers de sources différentes non prévisibles. Il est donc très difficile de contourner le dispositif de protection du système de reconfiguration.

A moins que l’utilisateur ne confie ses informations personnelles confidentielles à un tiers, seul l’utilisateur est en mesure de disposer de toutes les informations nécessaires pour pouvoir réaliser la reconfiguration de son compte/licence. Cette procédure est donc une des plus sûr que l’on puisse envisager pour ce genre d’opération.

Cela dit, la procédure de reconfiguration d’un compte/licence de BeDesk 13 est donc totalement gratuite lorsqu’elle est réalisée par l’utilisateur.

Bien sûr, en cas de problème ou de perte de codes, l’utilisateur pourra toujours contacter le support technique pour recevoir l’assistance qui convient.

 124 BeDesk 13CoreLégislation et normesCritiqueTrès hauteTous Ajout de la note "auto-liquidation" aux mentions légale ...Fermée8.0
100%
Description de la tâche

Il y a des changements de législation en cours au niveau de la TVA sur le plan européen.

Ces changements ont déjà une répercussion importante sur les mode TVA cocontractant et intra-communautaire en Belgique.


Procédure de mise à jour automatique intégrée

Le programme propose, à partir de la rev:32065, de mettre à niveau les mentions dans la configuration du profil Belgique et, après confirmation de l’utilisateur, dans les clients et les documents à partir du 1/01/2013.

L’application de la nouvelle législation prend effet immédiatement à partir du 1ier janvier 2013.


source : Changements en vue des règles de facturation - Démarrez à temps !

Dans le contexte actuel, les administrations fiscales [belges et étrangères] se montrent extrêmement rigoureuses sur la régularité des factures. Il arrive ainsi très régulièrement qu’un contrôle TVA refuse la déduction de la TVA sur une facture au seul motif que ce document comporte quelques défauts formels [absence du numéro de TVA, description des biens et services insuffisante, devise utilisée, etc.].

Cette situation peut se révéler particulièrement douloureuse en cas de restitution de TVA que l’entreprise pensait légitimement pouvoir récupérer mais qui devient, par ce rejet de déduction, un coût final pour elle.

Dans moins d’un an (1/1/2013), une nouvelle directive européenne modifiera les règles de facturation en les harmonisant à l’échelle de l’ensemble des Etats membres. Le nouveau régime sera à la fois plus strict et plus souple selon la nature et le montant des opérations en cause.

Rien ne sert de courir : mieux vaut partir à temps !

Les changements vont affecter principalement les domaines suivants :

1. UN SEUL PAYS COMPETENT

A partir du 1er janvier 2013, un seul pays de l’UE pourra déterminer les obligations TVA gouvernant la facture dans le but d’assurer une meilleure sécurité juridique :

Par principe, la facture doit se conformer aux règles belges si l’opération est localisée en Belgique selon les règles de détermination du lieu d’imposition des livraisons de biens et prestations de services;

Par exception, la facture doit se conformer aux règles du pays où le fournisseur ou le prestataire est établi. C’est notamment le cas pour les services tombant dans la règle générale résiduaire « B2B » pour lesquels le redevable de la taxe locale est le client.

L’application de ces nouvelles règles aboutira dans certains cas à des situations ubuesques :

  • Un entrepreneur autrichien réalise des travaux de construction en Belgique pour le compte d’une entreprise belge. La facture de l’entrepreneur autrichien devra être établie conformément au droit autrichien.
  • Une entreprise française dispose d’un stock de marchandises en Belgique au départ duquel elle livre tant des entreprises belges que des entreprises étrangères. Elle devra établir des factures conformes au droit belge pour ses livraisons intracommunautaires au départ de la Belgique et des factures conformes au droit français pour ses livraisons locales sur le territoire belge.
  • Une entreprise belge organise un séminaire en Pologne. La facture concernant le droit d’inscription devra théoriquement être établie conformément au droit polonais pour les participants étrangers et au droit belge pour les participants polonais !!

2. MENTIONS OBLIGATOIRES Une série de nouvelles mentions obligatoires uniformisées au niveau européen entrera en application. Il s’agit d’une énumération limitative de données devant figurer sur la facture. L’absence d’autres mentions qui seraient pourtant exigées par les administrations fiscales ne pourront conduire au rejet de la déduction ou à l’application d’amendes.

Exemple :

  • La mention « auto-liquidation » devra obligatoirement figurer lorsque le client est le redevable de la TVA.


 125 BeDesk 13CoreLégislation et normesCritiqueTrès hauteTous Ajout de la note "auto-liquidation" aux mentions légale ...Fermée8.0
100%
Description de la tâche

Extension de l’application de la directive de l’UE 2010/45/UE à tous les profils des pays appartenant à l’Union Européenne.

La mise en application de cette directive impose notamment l’ajout de la note «auto-liquidation» dans la mention légale de la TVA lorsque le principe de l’auto-liquidation de la TVA est applicable.

Dans certains pays, si cette note n’est pas présente sur les factures, l’émetteur de la facture risque une amende et le client qui reçoit la facture peut se voir refuser l’auto-liquidation de la TVA dans son pays.

De plus il est important de rappeler, qu’à compter du 1er janvier 2013, après l’entrée en vigueur de la directive 2010/45/UE, la TVA devient exigible lors de l’émission de la facture ou à l’expiration du délai visé à l’article 222 de cette directive si aucune facture n’a été émise avant cette date.

Cette directive est applicable dans toute l’Union.

 126 BeDesk 13CoreLégislation et normesCritiqueTrès hauteTous Ajout de la note "auto-liquidation" aux mentions légale ...Fermée8.0
100%
Description de la tâche

Extension de l’application de la directive de l’UE 2010/45/UE à tous les profils des pays appartenant à l’Union Européenne.

La mise en application de cette directive impose notamment l’ajout de la note «auto-liquidation» dans la mention légale de la TVA lorsque le principe de l’auto-liquidation de la TVA est applicable.

Dans certains pays, si cette note n’est pas présente sur les factures, l’émetteur de la facture risque une amende et le client qui reçoit la facture peut se voir refuser l’auto-liquidation de la TVA dans son pays.

De plus il est important de rappeler, qu’à compter du 1er janvier 2013, après l’entrée en vigueur de la directive 2010/45/UE, la TVA devient exigible lors de l’émission de la facture ou à l’expiration du délai visé à l’article 222 de cette directive si aucune facture n’a été émise avant cette date.

Cette directive est applicable dans toute l’Union.

 151 BeDesk 13CoreSuiviCritiqueTrès hauteTous Déploiement de la mise à jour 8.1 Fermée8.08.1
100%
Description de la tâche

Déploiement de la mise à jour 8.1.

 152 BeDesk 13CoreSpécificationCritiqueTrès hauteTous Obtention de la certification Microsoft pour Windows 8. Fermée8.08.2
100%
Description de la tâche

Test de certification du programme pour Windows 8.

 161 BeDesk 13CoreBugCritiqueTrès hauteTous Régression: Notes et commentaires ne peuvent plus être  ...Fermée8.2
100%
Description de la tâche

Il semble qu’une régression s’est introduite suite aux modifications apportées par la version 8.2.

Les zones de saisie des commentaires ainsi que des notes des documents n’entre pas en mode d’édition lorsqu’on double-clics dessus.

Il n’y a pas non plus de réaction sur le clique droit pour accéder à l’éditeur via le menu contextuel.


 186 BeDesk 12CoreBugCritiqueTrès hauteMac OS X 10.9 Problèmes de compatibilité avec Mac OS X 10.9 Fermée7.0
100%
Description de la tâche

Description

La version 7.x, c-à-d BeDesk 12, publiée en 2011 n’est absolument pas prévue pour fonctionner correctement sur Mac OS X 10.9 “Maverick”.

Il est cependant possible de mettre à jour le système OS X indépendamment du logiciel et finalement se retrouver avec un logiciel BeDesk 12 tournant sur Mac OS X 10.9.

Cependant, il apparaît que le fonctionnement du logiciel peut devenir instable et rencontrer des soucis aussi divers qu’aléatoires.


Comment résoudre le problème ?

L’utilisation de BeDesk 12 sur Mac OS X 10.9 n’est absolument pas fiable.

Pour éviter tout souci, il vous est vivement conseillé d’actualiser également votre logiciel BeDesk 2012 à l’aide de la maintenance 2013 pour utiliser une version adaptée du logiciel à la version de votre système d’exploitation OS X 10.9 “Maverick”.

Aucun problème lié directement ou indirectement à l’utilisation d’une version 7.x de BeDesk 12 sur Mac OS X 10.9 ne peut être résolue sans appliquer préalablement la maintenance majeure 2013. Cette maintenance est prévue pour adapter votre logiciel aux spécifications du nouveau système Mac OS X 10.9 “Maverick”.


Comment appliquer la maintenance majeure conseillée ?

Pour appliquer la maintenance 2013 à partir de BeDesk 12, il n’y a rien de plus simple. La procédure prend généralement moins de 15 minutes et ne présente aucun risque de perte de données.

  1. Allez d’abord sur http://www.bedesk-express.com/downloads.php pour télécharger et installer le nouveau logiciel BeDesk 13 (qui constitue la maintenance majeure de votre logiciel BeDesk 12). Le nouveau programme n’écrase pas la version précédente. L’installation de BeDesk 13 n’a donc aucun effet sur votre BeDesk 12 déjà présent sur votre ordinateur.
  2. Rendez-vous ensuite directement sur http://be13.bedesk-express.com/doku.php?id=importer_bedesk11 et suivez bien les instructions pour sauvegarder votre base de données 2012 et la restaurer dans le nouveau logiciel BeDesk 13. Vous travaillez donc avec une copie de vos données et non avec les données originales. Il n’y a donc absolument aucun risque de perte de vos précieuses données professionnelles.
  3. Enfin, allez sur http://www.bedesk-express.com/store.php?section=modules et sélectionnez un par un chaque module qui correspondent à votre licence. Cliquez sur le lien “Bénéficiez de -60%” puis servez-vous de vos codes d’activation 2012 pour profiter de l’offre de maintenance à un prix particulièrement réduit. Recommencez l’opération pour chaque code 2012 en votre possession.
  4. En quelques minutes, vous recevez vos nouveaux codes 2013 qui vous permettent d’activer votre nouveau logiciel.

Pour plus d’informations sur la maintenance majeure 2013, consultez la page http://www.bedesk-express.com/upgrade.php.

La validité de l’offre associée à la maintenance 2013 s’arrête le 23 décembre 2013. Après cette date, vous ne pourrez plus bénéficier d’aucune offre de maintenance. Cette offre avantage particulièrement les utilisateurs qui suivent fidèlement les avis du support technique pour maintenir leur outil de gestion professionnelle et l’utiliser dans de bonnes conditions.


Liste non exhaustive des problèmes qui peuvent être rencontrés :

Vous trouverez ci-dessous une liste non exhaustive des problèmes qui peuvent être rencontrés suite à l’utilisation du logiciel BeDesk 12 sur une version non supportée du système d’exploitation:

  • Difficultés pour le programme d’accéder aux ressources en ligne : Ces ressources sont biens accessibles sur nos serveurs. Nous ne limitons aucunement l’accès aux services nécessaires à l’utilisation des programmes dans les conditions prévues. Cependant, un logiciel utilisé en dehors de ces conditions peut rencontrer des soucis et être par conséquent défaillant. Ces défaillances peuvent toucher toutes les fonctionnalités du produit qui nécessitent une connexion internet. Cela inclut notamment la recherche de mise à jour, la validation des numéros de TVA, l’activation du programme, etc...
  • Failles de sécurité qui ouvrent la porte à certains logiciels malveillants : BeDesk 12 nécessite l’utilisation de Java 6 qui n’est plus supporté depuis le mois d’avril 2013. Depuis cette date, de nombreux malwares sont apparus spécialement pour infecter les ordinateurs qui utilisent encore cette version obsolète de Java. Comme plus aucun correctif n’est développé pour corriger les failles de Java 6, votre ordinateur devient vulnérable et aucune solution n’existe mis à part l’utilisation d’une version supportée de Java. En l’occurrence, BeDesk 13 utilise Java 7, la version actuelle parfaitement à jour et sûre.
  • Plantage au démarrage : Le logiciel BeDesk 12 semble démarrer lentement et se fige même à certains moments. Vous devez arrêter brutalement le programme et cela risque d’endommager gravement les fichiers de votre base de données.
  • Perte de données ou de paramètres de configuration : Au démarrage du programme, vous constatez que vos paramètres de configuration ont changés. Vous avez par exemple perdu la mise en page de vos documents, le logo ou l’image de fond est remplacée par un point d’interrogation [?], le programme est retourné en mode d’essais et vous demande d’activer à nouveau le produit, etc...
  • Etc...

Nous rappelons que cette liste n’est pas limitative. Il est possible que vous rencontriez d’autres soucis. Dans tous les cas, il est préférable de maintenir votre logiciel en suivant les conseils du support technique, plutôt que d’attendre de rencontrer un souci qui peut même avoir un impact irréversible sur votre activité et la validité de vos données.

 206 BeDesk 14CoreRégressionCritiqueTrès hauteTous Correction d'une régression dans la vérification des fo ...Fermée9.0
100%
Description de la tâche

Suite à la révision précédente, une régression a été constatée dans la vérification des formats de numérotation des documents.

Cette régression n’affectent que les formats ajoutés lors de la dernière révision.

Ce correctif corrige le problème.

 213 BeDesk 15CORELégislation et normesCritiqueTrès hauteTous Modification de la TVA au Luxembourg Fermée10.110.2
100%
Description de la tâche

Il est prévu un changement de TVA au Luxembourg soit pour l’automne 2014 ou pour le début de l’année 2015.

Ce changement sera pris en compte par le logiciel via une mise à jour gratuite.


Nous attendons d’en savoir plus pour établir un calendrier.

Changements prévus :

  • Le taux à 15% passe à 17%.
  • Le taux à 6% passe à 8%.
  • Le taux à 12% passe à 14%.

Par contre le taux super-réduit de 3% reste inchangé.


 216 BeDesk 14CoreGarde-fouCritiqueTrès hauteTous Garde-fou contre l'erreur : Le dossier de l'utilisateur ...Fermée9.0
100%
Description de la tâche

Notre support technique exclusif a obtenu des informations de la part d’un utilisateur (que nous saluons au passage : “Les Nettoyeurs”).

De là, nous pouvons dégager un garde-fou pour prémunir le logiciel contre l’erreur “Le dossier de l’utilisateur est protégé contre l’écriture”...


Le garde-fou est confirmé : Sévérité critique et priorité flash.


 224 BeDesk 14CoreGarde-fouCritiqueTrès hauteTous Garde-fou : Filtration des références d'articles pour l ...Fermée9.0
100%
Description de la tâche

Lorsqu’on importe une base de données BeDesk 12 dans BeDesk 14, et que l’utilisateur n’a pas respecté scrupuleusement les règles habituelles qui s’appliquent aux codes (usage d’espaces, de caractères minuscules, d’accents ou de ponctuation), les codes sont bien filtrés au niveau du gestionnaire de stock, mais pas au niveau des documents. Il s’en suit que les codes utilisés dans les documents peuvent ne plus correspondre à ceux utilisés dans le gestionnaire de stock.

Le garde-fou suggéré consisterait à filtrer également les références dans les documents en utilisant le même filtre que celui de la gestion du stock.


Le problème se manifeste entre autre parce que l’utilisateur n’a pas appliqué les maintenances intermédiaires entre sa version du logiciel et celle disponible maintenant.

Les spécifications considérées comme acquises dans la version actuelle ne sont pas respectées dans la version des fichiers importés. Il est donc nécessaire de définir le niveau de révision à partir de laquelle la filtration des références n’est plus nécessaire et appliquer cette filtration à toutes révisions antérieures (ceci pour éviter d’alourdir le chargement des fichiers au moment du démarrage du programme).


Le garde-fou a été implémenté. Il sera déployé lors de la prochaine mise à jour.


Quelques optimisations mineures ont aussi été ajoutées au passage. Ainsi, le filtrage des références est centralisé de manière à limiter le nombre d’appels successifs de la fonction de filtration.
 225 BeDesk 14CoreAméliorationCritiqueTrès hauteTous Meilleure gestion de l'allocation de mémoire vive au dé ...Fermée9.0
100%
Description de la tâche

Jusqu’à présent, le lanceur du programme BeDesk réservait systématiquement 512Mo de mémoire vive pour permettre l’utilisation du programme dans un espace de mémoire vive suffisant (en tenant compte des petites configurations sur lesquelles le programme pouvait être démarré).

Toutefois, ce garde-fou n’a plus de raison d’être car, même une configuration très légère comporte au minimum 1Go de mémoire vive.

L’allocation au démarrage peut donc être supprimée au profit d’une méthode directement déduite des capacités de l’ordinateur sur lequel le programme est démarré.

Les options pas défaut de Java 7 préconise une allocation maximum de 75% de la mémoire vive disponible. Toutefois, seulement un espace de 384Mo est réservé au départ. Si le programme nécessite plus de mémoire vive par la suite, celle-ci peut être allouée à condition de na pas dépasser 75% de la quantité de mémoire vive disponible.

Ce changement implique donc que le logiciel nécessite un ordinateur équipé d’au moins 1Go de RAM (ce qui est plus que largement le cas).

De plus, ce changement peut aussi être considéré comme une optimisation (moins de ressources allouées au départ et possibilité de requérir plus de mémoire au fur et à mesure de l’utilisation).


Cette optimisation pose plusieurs problèmes difficiles à résoudre dans l’immédiat sur Windows et Mac OS X.

En effet, par défaut c’est l’OpenJDK qui est installé sur Linux. L’option du lanceur Java « -server » est donc accessible sans souci.

Par contre, sur Windows et Mac OS X, c’est la JRE qui est installée et non le JDK. De ce fait, la mise en œuvre de cette optimisation nécessite l’ajout d’un Bundle du JRE associé au JDK des systèmes mentionnés.

Il convient donc de différer la mise en œuvre de cette optimisation à une révision ultérieure dans le but de ne pas bloquer la publication des mises à jour courantes et attendues.


Rectificatif : Seul la version Windows souffre du souci. En effet, la version de Java 7 installée sur Mac OS X est la version 64 bits. En réalité, seule la version 32 bits entraîne une limitation. Les versions de BeDesk pour OS X et Linux sont donc publiées avec l’option « -server » alors que la version pour Windows continue d’utiliser la réservation fixe : « -Xms256m -Xmx1024m » (augmenté toutefois à 1Go). Un correctif ultérieur rectifiera ce souci sur Windows uniquement.

 229 BeDesk 14CoreBugCritiqueTrès hauteTous Centrage des bordures horizontales et de la couleur de  ...Fermée9.0
100%
Description de la tâche

Lors des essais visant à corriger le problème  FS#228 , on s’est rendu compte d’un autre souci lié.

Ce problème concerne le positionnement, et plus précisément le centrage de la couleur de fond des cellules ainsi que le placement des bordures horizontales.

Selon tout apparence, le système sous-jacent ne fournit pas les mesures correctes du contenu des cellule lorsque celles-ci applique un centrage vertical du contenu.

Un patch a été ajouté et est actuellement en cours de tests.

 260 BeDesk 15CORESpécificationCritiqueTrès hauteTous Spécification de base ESMTP Fermée10.0
100%
Description de la tâche

A partir de BeDesk 15, la spécification de base pour le protocole de communication avec serveurs SMTP passe définitivement à l’ESMTP.

Cela signifie que BeDesk 15 pourra ne plus être compatible avec certains serveurs SMTP de conception très ancienne. La rétro-compatibilité n’a dès lors plus de raison d’être avec des systèmes aussi anciens (malgré le fait que nous conservons quelques garde-fous dans ce but). Nous adoptons l’ESMTP comme protocole de base.

 261 BeDesk 15UIBugCritiqueTrès hauteMac OS X Arrière plan des boîtes rétractables du TdB n'est pas d ...Fermée10.0
100%
Description de la tâche

Lorsqu’on n’applique pas une largeur cumulative de 100% de la largeur, la couleur de fond n’est pas dessinée sur le surface totale.

Par contre, si on applique une largeur cumulée de 100%, les cellules élargies “écrase” le contenu des cellules de taille fixe.

Ceci est un bug qui n’affecte que la version OS X. En outre, ce bug trouve son origine dans la bibliothèque javax.swing.text.html de Java 8 pour Mac OS X.

Il n’y a pas de bug à corriger dans le programme BeDesk lui-même. Par contre, on peut certainement trouver un “workaround”.


On peut penser par exemple à surcharger un painter pour forcer le dessin de la couleur de fond sur l’ensemble du composant tout en déchargeant celui-ci de cette tâche (fond transparent dans ce cas).


Touche également l’outil “Objectifs” et “Plafonds”.


 264 BeDesk 15CORESpécificationCritiqueTrès hauteMac OS X 10.7 Upstream : Incompatibilité avec Mac OS X 10.7 Fermée10.0
100%
Description de la tâche

BeDesk 15 utilise et intègre directement un paquet Java 8.

Or, Oracle (l’éditeur de Java) vient de retirer Mac OS X 10.7 de la liste des systèmes compatibles avec Java 8.

Ce changement est donc répercuté très logiquement en conséquence sur le paquet BeDesk 15 par “upstream”.

De ce fait, BeDesk 15 ne peut être compatible avec Mac OS X 10.7. Pour utiliser BeDesk 15, il faut disposer au minimum de Mac OS X 10.8.

Référence : http://docs.oracle.com/javase/8/docs/technotes/guides/install/mac_jdk.html


Le forgeur de paquet doit tenir compte de ce changement important.

 266 BeDesk 15WEBSite webCritiqueTrès hauteTous Déploiement de la maintenance  Fermée10.0
100%
Description de la tâche

Déployer la maintenance.

 269 BeDesk 15CORESpécificationCritiqueTrès hauteWindows Utilisation d'une signature EV (Extended Validation) po ...Fermée10.0
100%
Description de la tâche

Utilisation de la signature EV (Extended Validation) pour signer les fichiers d’installation pour Windows.

Cette signature EV élimine le message d’alerte du SmartScreen de Windows 8 et 8.1. Le paquet d’installation est donc directement prêt pour l’installation. Il ne suffit plus que de valider comme si on installait ce paquet sans l’avoir téléchargé d’internet.


Il s’agit d’une amélioration considérable pour faciliter la maintenance du programme sur Microsoft Windows.


Disponible immédiatement.

 273 BeDesk 15CORELégislation et normesCritiqueTrès hauteTous Application de la Directive 2008/8/CE – lieu des presta ...Fermée10.110.2
100%
Description de la tâche

La réglementation régissant ces services sera modifiée le 1er janvier 2015.

À partir du 1er janvier 2015, les services de télécommunications, de radiodiffusion et de télévision et les services électroniques seront toujours taxés dans le pays du client

  1. indépendamment du fait que le client soit une entreprise ou un particulier
  2. indépendamment du fait que le prestataire soit établi dans ou hors de l’UE
  • Pour une entreprise (personne assujettie à la TVA) = soit le pays où elle est immatriculée, soit le pays où elle a un établissement stable bénéficiaire du service.
  • Pour un particulier (personne non assujettie à la TVA) = le pays où il est établi, ou a son domicile ou sa résidence habituelle.

Références

 294 BeDesk 15DEPENDENCESBugCritiqueTrès hauteTous Bug: JDK-8060036 dans le paquet Java 8 update 45 Fermée10.310.4
100%
Description de la tâche

Il semblerait que certains utilisateurs expérimentent le bug JDK-8060036 du compilateur JIT du Java 8 (update 45).

Lien externe: https://bugs.openjdk.java.net/browse/JDK-8060036

Ce bug ne provient pas du logiciel BeDesk lui-même. Toutefois, BeDesk a besoin de Java pour fonctionner correctement.


Messages d’erreur redondants relevés dans la console de sortie:

Exception in thread "AWT-EventQueue-0" java.lang.NullPointerException
	at javax.swing.text.GlyphView.getBreakSpot(GlyphView.java:799)
	at javax.swing.text.GlyphView.getBreakWeight(GlyphView.java:724)
	at javax.swing.text.html.InlineView.getBreakWeight(InlineView.java:150)
	at javax.swing.text.FlowView$LogicalView.getPreferredSpan(FlowView.java:733)
	at javax.swing.text.FlowView.calculateMinorAxisRequirements(FlowView.java:233)
	at javax.swing.text.ParagraphView.calculateMinorAxisRequirements(ParagraphView.java:717)
	at javax.swing.text.html.ParagraphView.calculateMinorAxisRequirements(ParagraphView.java:157)
	at javax.swing.text.BoxView.checkRequests(BoxView.java:935)
	at javax.swing.text.BoxView.getMinimumSpan(BoxView.java:568)
	at javax.swing.text.html.ParagraphView.getMinimumSpan(ParagraphView.java:270)
	at javax.swing.text.BoxView.calculateMinorAxisRequirements(BoxView.java:903)
	at javax.swing.text.html.BlockView.calculateMinorAxisRequirements(BlockView.java:146)
	at javax.swing.text.html.TableView$CellView.calculateMinorAxisRequirements(TableView.java:1786)
	at javax.swing.text.BoxView.checkRequests(BoxView.java:935)
	at javax.swing.text.BoxView.getMinimumSpan(BoxView.java:568)
	at javax.swing.text.html.BlockView.getMinimumSpan(BlockView.java:378)
	at javax.swing.text.html.TableView.checkSingleColumnCell(TableView.java:461)
	at javax.swing.text.html.TableView.calculateColumnRequirements(TableView.java:424)
	at javax.swing.text.html.TableView.calculateMinorAxisRequirements(TableView.java:546)
	at javax.swing.text.BoxView.checkRequests(BoxView.java:935)
	at javax.swing.text.BoxView.getMinimumSpan(BoxView.java:568)
	at javax.swing.text.BoxView.calculateMinorAxisRequirements(BoxView.java:903)
	at javax.swing.text.html.BlockView.calculateMinorAxisRequirements(BlockView.java:146)
	at javax.swing.text.BoxView.checkRequests(BoxView.java:935)
	at javax.swing.text.BoxView.getMinimumSpan(BoxView.java:568)
	at javax.swing.text.html.BlockView.getMinimumSpan(BlockView.java:378)
	at javax.swing.text.BoxView.calculateMinorAxisRequirements(BoxView.java:903)
	at javax.swing.text.html.BlockView.calculateMinorAxisRequirements(BlockView.java:146)
	at javax.swing.text.BoxView.checkRequests(BoxView.java:935)
	at javax.swing.text.BoxView.setSpanOnAxis(BoxView.java:343)
	at javax.swing.text.BoxView.layout(BoxView.java:708)
	at javax.swing.text.BoxView.setSize(BoxView.java:397)
	at javax.swing.plaf.basic.BasicTextUI$RootView.setSize(BasicTextUI.java:1722)
	at javax.swing.plaf.basic.BasicTextUI.getPreferredSize(BasicTextUI.java:912)
	at javax.swing.JComponent.getPreferredSize(JComponent.java:1662)
	at javax.swing.JEditorPane.getPreferredSize(JEditorPane.java:1332)
	at bedesk.ui.SmallAssist.b(Unknown Source)
	at bedesk.ui.SmallAssist$1.actionPerformed(Unknown Source)
	at javax.swing.Timer.fireActionPerformed(Timer.java:313)
	at javax.swing.Timer$DoPostEvent.run(Timer.java:245)
	at java.awt.event.InvocationEvent.dispatch(InvocationEvent.java:311)
	at java.awt.EventQueue.dispatchEventImpl(EventQueue.java:756)
	at java.awt.EventQueue.access$500(EventQueue.java:97)
	at java.awt.EventQueue$3.run(EventQueue.java:709)
	at java.awt.EventQueue$3.run(EventQueue.java:703)
	at java.security.AccessController.doPrivileged(Native Method)
	at java.security.ProtectionDomain$1.doIntersectionPrivilege(ProtectionDomain.java:75)
	at java.awt.EventQueue.dispatchEvent(EventQueue.java:726)
	at java.awt.EventDispatchThread.pumpOneEventForFilters(EventDispatchThread.java:201)
	at java.awt.EventDispatchThread.pumpEventsForFilter(EventDispatchThread.java:116)
	at java.awt.EventDispatchThread.pumpEventsForHierarchy(EventDispatchThread.java:105)
	at java.awt.EventDispatchThread.pumpEvents(EventDispatchThread.java:101)
	at java.awt.EventDispatchThread.pumpEvents(EventDispatchThread.java:93)
	at java.awt.EventDispatchThread.run(EventDispatchThread.java:82)

Concerne la méthode javax.swing.text.GlyphView.getBreakSpot dans le fichier GlyphView.java à la ligne 799...


Un workaround consiste à désactiver la compilation JIT pour cette méthode.

Pour cela, ajouter le paramètre suivant dans la commande de démarrage du Java:

-XX:CompileCommand=exclude,javax/swing/text/GlyphView,getBreakSpot

Nous sommes en contact avec quelques utilisateurs où nous supposons avoir détecter le problème et des tests sont en cours.


Le workaround fonctionne. Reste plus qu’à l’intégré dans la prochaine mise à jour.


 323 BeDesk 16COREPublicationCritiqueTrès hauteTous BeDesk Express 2016 ver:16.0 - rev:54 Fermée16.0
100%
Description de la tâche

Publication BeDesk version 16.0 - rev:54

 326 BeDesk 16COREPublicationCritiqueTrès hauteTous BeDesk Express 2016 ver:16.0 - rev:55 Fermée16.0
100%
Description de la tâche

Publication BeDesk version 16.0 - rev:55

 362 BeDesk 16CORESuiviCritiqueTrès hauteTous BeDesk Express 2016 ver:16.0 - rev:62 Fermée16.0
100%
Description de la tâche

Mise à jour ‘Flash’ : BeDesk 16, version 16.0 - révision 62.

 363 BeDesk 16CORERégressionCritiqueTrès hauteTous Régression: problème de connexion sur smtp.gmail.com su ...Fermée16.0
100%
Description de la tâche

Nous constatons que le garde-fou de protection destiné à résoudre le problème découvert sur la plate-forme OVH et ajouté dans le révision 62 provoque des soucis pour ceux qui utilisent GMail.

On étudie le problème pour essayer de mieux comprendre ce qui se passe exactement.


De nombreux essais ont permis de déterminer comment contourner le problème tout en conservant la compatibilité entre les plate-formes.

Les modifications apportées devraient permettre l’utilisation plus large tout en éliminant un plus grand nombre de causes de soucis.

 364 BeDesk 16CORESuiviCritiqueTrès hauteTous BeDesk Express 2016 ver:16.0 - rev:63 Fermée16.0
100%
Description de la tâche

BeDesk Express 2016 ver:16.0 - rev:63

 369 BeDesk 16COREBugCritiqueTrès hauteTous Perte de focus lors de l'édition au clavier dans le tab ...Fermée16.016.1
100%
Description de la tâche

On constate la perte de focus lors de l’édition au clavier des cellules dans le tableau des articles du gestionnaire de stock.


Solution de contournement : double-cliquer pour pouvoir reprendre la saisie.


Le souci est due à l’application du dernier champ de la dernière ligne testée à l’ensemble de la colonne.

Généralement, la colonne de la dernière ligne est vide et cela ne pose pas de souci car l’édition est autorisée. Cependant, si le contenu arrive en bas du tableau, c’est l’état de la dernière cellule testée qui fait foi.


Nous avons donc déprécié la méthode interne isEditable() par isCellEditable(table, row, col).

Le souci affecte donc toutes les révisions antérieures. Ce correctif est très important.

 371 BeDesk 16COREBugCritiqueTrès hauteTous Correctif du moteur de base de donnée : vidange des Spa ...Fermée16.016.1
100%
Description de la tâche

Le moteur de base de données BeDesk utilise des tableaux dynamique en mémoire vive. Pour s’assurer que l’utilisation de la mémoire soit progressive en fonction de la quantité de données réelle, on utilise SparseArray.

Ce correctif évite des erreurs internes lorsqu’un SparseArray est vidé puis réutilisé.

Ce correctif élimine donc des causes d’erreurs internes que l’on peut connaître sur toutes les versions précédentes à partir de la version 9.0.

Toutefois, la vidange d’un SparseArray est très rare et ne se produit que dans quelques cas particuliers. Le souci n’a pas été signalé par des utilisateurs. Cependant, il a été détecté avec l’implémentation de la gestion dynamique des tableaux de l’interface utilisateur.

Ce correctif renforce donc la stabilité générale du programme.

 375 BeDesk 16COREAméliorationCritiqueTrès hauteTous Suppression des options de gestion de la mémoire statiq ...Fermée16.016.1
100%
Description de la tâche

Avec la gestion dynamique des tableaux de détails et d’articles, on peut supprimer les options de gestion statique de la mémoire.

Outre cela, ce changement constitue une véritable amélioration.

En effet, les paramètres de configuration supprimés étaient jugés critiques depuis longtemps.

Tout changement nécessitaient le redémarrage du programme pour pouvoir être appliqué.

De plus, si l’utilisateur établissait des limites trop importantes (par inadvertance ou par erreur), des mauvaises valeurs pouvaient empêcher le programme de démarrer correctement, vois même pas du tout.


Avec cette amélioration, le logiciel est plus stable et présente moins de risques pour l’utilisateur distrait.

De plus, cela signifie aussi qu’il n’y a plus de limites à la longueur des documents.

Enfin, si un utilisateur souhaite réaliser un document contenant 1000 ou 10000 articles, il n’est plus nécessaire d’adapter la configuration du logiciel. La taille est adaptée au niveau du document pour chaque mode TVA individuellement et non plus au niveau de l’ensemble des documents de la base de données.

Ce dernier point implique également une économie de mémoire qui peut être considérable en fonction des situation.

 383 BeDesk 16COREGarde-fouCritiqueTrès hauteTous Garde-fou : Protection contre l'ouverture de plusieurs  ...Fermée16.016.1
100%
Description de la tâche

Il arrive parfois que certains utilisateurs signalent la désactivation intempestive de leur accès. Parfois, on constate également des pertes de données ou l’apparition non expliquées de fichiers endommagés dans les bases de données de certains utilisateurs.

Les recherches du support technique ainsi que l’analyse anonymisée de l’utilisation de l’application fait apparaître une cause possible : l’ouverture simultanée de plusieurs instances du moteur de bases de données sur une même base de données.

Le logiciel est normalement protégé contre cela via le système d’exploitation de l’ordinateur, particulièrement sur Mac OS X. Cependant, il est assez facile de contourner cette protection (il suffit de faire une copie de l’application pour la démarrer une nouvelle plusieurs fois).

La concurrence au niveau des modifications des fichiers peut avoir des effets indésirables allant du simple écrasement de données à la destruction complète de la base de données.

Il est donc nécessaire d’ajouter un garde-fou supplémentaire qui bloque le démarrage de nouvelles instances du programme lorsqu’il est déjà ouvert sur une base de données.


On peut pour cela reprendre la même méthode de verrouillage que ce que nous utilisons déjà pour garantir la synchronisation.

Pour éviter un blocage définitif, il faut aussi ajouter un TTL. De cette manière, si le programme venait à s’arrêter d’une façon inopinée, lorsque le TTL serait écoulé, on pourrait à nouveau ouvrir la base de données. Cela signifie que le verrou doit être renouvelé périodiquement. S’il n’a plus été renouvelé après un délai donné, c’est que l’application a été arrêtée. On peut donc l’écraser et reprendre.


On utilise un Shutdown Hook pour s’assurer au mieux de l’élimination du verrou. Ainsi, lorsqu’on quitte le programme ou qu’il se ferme normalement, le verrou est toujours supprimé.

Si le programme plante ou rencontre un problème tel qu’il doit être arrêter brutalement, le verrou à une durée de vie (TTL) de 5 minutes. Ainsi, si on relance le programme après 10 minutes d’attente, il doit être possible de redémarrer.

 384 BeDesk 16CORERégressionCritiqueTrès hauteTous L'insertion d'une référence dans le tableau de détails  ...Fermée16.1
100%
Description de la tâche

Régression:

Une régression a été signalée dans la révision 72.

Lorsqu’on insère une référence dans la colonne “REF” des détails d’un document, le logiciel ne recherche pas l’article.


Problème confirmé.

Toutefois, il ne se produit uniquement que sur la dernière ligne du tableau.

Si on insère des lignes entre de manière à ne plus éditer la toute dernière ligne du tableau, les références sont traitées correctement.

Idem si on édite d’abord la colonne “Date” avant la colonne “Ref” (et ce même si on est sur la dernière ligne).


Une mise à jour ‘Flash’ doit être réalisée d’urgence.


Correctif disponible.

 385 BeDesk 16CORESuiviCritiqueTrès hauteTous BeDesk Express 2016 ver:16.1 - rev:74 Fermée16.1
100%
Description de la tâche

Mise à jour ‘Flash’ :

 390 BeDesk 16COREGarde-fouCritiqueTrès hauteTous Garde-fou : Protection contre l'arrêt de l'application  ...Fermée16.1
100%
Description de la tâche

Protection contre l’arrêt de l’application par l’utilisateur en cours de démarrage.

On a constater via le “Proactive Customer Care” que certains utilisateurs fermait parfois aussitôt leur application tout juste après l’avoir démarrée.

Ceci est fortement déconseillé car l’application se ferme effectivement alors que le moteur de bases de données est toujours en train de charger les données en mémoire vive. La fermeture force alors de déchargement du moteur alors que la procédure initiale n’est pas encore terminée.


Le garde-fou consisterait donc à interdire la fermeture de la fenêtre de l’application tant que la procédure de démarrage du moteur de bases de données n’est pas terminé.


Implémenté.

Tests en cours.


 426 BeDesk 16COREBugCritiqueTrès hauteTous Lors de la réutilisation du port 587 avec STARTTLS, la  ...Fermée16.2
100%
Description de la tâche

Lors de la réutilisation du port 587 avec le protocole STARTTLS pour l’envoi de mail, la connexion est établie en SSL.

Ceci ne se produit pas lors du premier envoi, mais lors du deuxième, lorsque le port est réutilisé.

Au lieu de démarrer la connexion non cryptée, puis de passer en mode crypté avec STARTTLS, la nouvelle connexion passe directement en SSL.

On obtient alors le message suivant:

javax.net.ssl.SSLException: Unrecognized SSL message, plaintext connection?
	at sun.security.ssl.InputRecord.handleUnknownRecord(InputRecord.java:710)
	at sun.security.ssl.InputRecord.read(InputRecord.java:527)
	at sun.security.ssl.SSLSocketImpl.readRecord(SSLSocketImpl.java:973)
	at sun.security.ssl.SSLSocketImpl.performInitialHandshake(SSLSocketImpl.java:1375)
	at sun.security.ssl.SSLSocketImpl.startHandshake(SSLSocketImpl.java:1403)
	at sun.security.ssl.SSLSocketImpl.startHandshake(SSLSocketImpl.java:1387)

Voici un échantillon du journal:

     > SMTP->Response:[220 xxxxx ESMTP xxxxx Network Relay Mail Servers; Wed, 4 May 2016 10:16:49 +0200]
     > SMTP->Send:[EHLO xxxxx]
     > SMTP->Response:[250-xxxxx Hello xxxxx [xx.xx.xx.xx], pleased to meet you]
     > SMTP->Response:[250-ENHANCEDSTATUSCODES]
     > SMTP->Response:[250-PIPELINING]
     > SMTP->Response:[250-8BITMIME]
     > SMTP->Response:[250-SIZE]
     > SMTP->Response:[250-DSN]
     > SMTP->Response:[250-AUTH LOGIN PLAIN]
     > SMTP->Response:[250-STARTTLS]
     > SMTP->Response:[250-DELIVERBY]
     > SMTP->Response:[250 HELP]
     > SMTP->Send:[NOOP]
     > SMTP->Response:[250 2.0.0 OK]
     > SMTP->Send:[STARTTLS]
     > SMTP->Response:[220 2.0.0 Ready to start TLS]
     > UPGRADE TO TSL SOCKET:[xx.xx.xx.xx:587]
     > Secure-SMTP->Send:[EHLO xxxxx]
     > Secure-SMTP->Response:[250-xxxxx Hello xxxxx [xx.xx.xx.xx], pleased to meet you]
     > Secure-SMTP->Response:[250-ENHANCEDSTATUSCODES]
     > Secure-SMTP->Response:[250-PIPELINING]
     > Secure-SMTP->Response:[250-8BITMIME]
     > Secure-SMTP->Response:[250-SIZE]
     > Secure-SMTP->Response:[250-DSN]
     > Secure-SMTP->Response:[250-AUTH LOGIN PLAIN]
     > Secure-SMTP->Response:[250-DELIVERBY]
     > Secure-SMTP->Response:[250 HELP]
     > Secure-SMTP->Send:[NOOP]
     > Secure-SMTP->Response:[250 2.0.0 OK]
     > USE AUTH LOGIN...
     > Secure-SMTP->Send:[AUTH LOGIN]
     > Secure-SMTP->Response:[334 xxxxx]
     > Secure-SMTP->Send:[xxxxx]
     > Secure-SMTP->Response:[334 xxxxx]
     > Secure-SMTP->Send:[xxxxx]
     > Secure-SMTP->Response:[235 2.0.0 OK Authenticated]
     > Secure-SMTP->Send:[MAIL FROM: <xxx@xxx.xx>]
     > Secure-SMTP->Response:[250 2.1.0 <xxx@xxx.xx>... Sender ok]
     > Secure-SMTP->Send:[RCPT TO: <xxx@xxx.xx>]
     > Secure-SMTP->Response:[250 2.1.5 <xxx@xxx.xx>... Recipient ok]
     > Secure-SMTP->Send:[RCPT TO: <xxx@xxx.xx>]
     > Secure-SMTP->Response:[250 2.1.5 <xxxx@xxx.xx>... Recipient ok]
     > Secure-SMTP->Send:[DATA]
     > Secure-SMTP->Response:[354 Enter mail, end with "." on a line by itself]
     > Secure-SMTP->Send:[.]
     > Secure-SMTP->Response:[250 2.0.0 xxxxx Message accepted for delivery]
     > USE SSL SOCKET:[xxxxx:587]
     > ERREUR> TRANSMISSION EMAIL IMPOSSIBLE...
javax.net.ssl.SSLException: Unrecognized SSL message, plaintext connection?

Le deuxième envoi ne devrait pas commencer directement avec SSL.


Ce problème affecte aussi toutes les révisions de la version 16.1 : C-à-d, les révisions 80, 74 et 72, avec l’ajout du support STARTTLS.


Par défaut, la connexion était du type “KeepAlive” pour de meilleures performances. Cependant, comme la couche STARTTLS s’ajoute sur une connexion en clair, il faut fermer et réinitialiser complètement la connexion avant de pouvoir envoyer un autre message.


 427 BeDesk 16COREBugCritiqueTrès hauteWindows (32 bits) Le composant Java 8 rev 92 ne démarre pas sur Windows 3 ...Fermée16.2
100%
Description de la tâche

Le composant Java 8 rev 92 inclus avec le paquetage BeDesk 16.2 rev:86 ne démarre pas sur Windows 32 bits.

Problème confirmé sur Windows Vista 32 bits.

Confirmé également sur Windows 10 32 bits.

Aucun souci à signalé sur la version 34 bits.


Si on essaye de démarrer le programme à partir de la console MSDOS, on obtient effectivement:

jre1.8.0_92\java.exe n'est pas compatible avec la version de Windows actuellement exécutée.
Vérifiez dans les informations système de votre ordinateur si une version x86 (32 bits) ou
x64 (64 bits) du programme est requise, puis contactez l'éditeur de logiciel.

RÉSOLUTION DU PROBLÈME

Pour résoudre le problème, il faut ABSOLUMENT désinstaller l’application, avant de la réinstaller proprement à partir du site officiel.

Sans quoi, un message apparaît pour signaler un fichier DLL manquant.

 428 BeDesk 16CORESuiviCritiqueTrès hauteTous BeDesk Express 2016 ver:16.2 - rev:87 Fermée16.2
100%
Description de la tâche

Mise à jour ‘flash’ BeDesk Express 2016 ver:16.2 - rev:87

 429 BeDesk 16CORESpécificationCritiqueTrès hauteMac OS X Fournir un installateur pour le paquet Mac OS X Fermée16.216.3
100%
Description de la tâche

Le support technique signale un nombre plus élevé que d’habitude de soucis lors de la mise à jour du programme sur Mac OS X.

Un billet de wiki a déjà été publié pour permettre aux utilisateurs qui rencontrent le problème de pouvoir rétablir une installation propre et fiable. Cependant, il semble que les solutions proposées ne donne pas de bons résultats dans tous les cas.

Il peut y avoir 2 causes à cela:

  1. L’utilisateur ne suit pas bien la procédure indiquée et, par conséquent, on obtient pas le résultat escompté.
  2. Il y a un souci au niveau de la gestion des certificats sur OS X (via Gatekeeper). Ce qui conduit le système Mac OS X a déclaré “endommagé” un programme qui ne l’est pas et qui est en outre parfaitement bien signé.

Considérons d'abord la cas où le Gatekeeper est défaillant :

Dans le cas n°2, il semble que le problème a été confirmé il y a déjà quelques temps par Apple, mais qu’il n’y a pas de solutions pour l’instant, mis à part l’abaissement du niveau de sécurité du système.

Voir par exemple à ce sujet :

Ainsi, selon la documentation, il suffit d’abaisser le niveau des options de sécurité pour que le programme soit disant “endommagé” ne le soit plus et se démarre sans souci.

Pour vérifier cela, on peut (temporairement) ouvrir les “Paramètres Système” de OS X, à la rubrique “Sécurité et vie privée”. Sous l’encadre “Autoriser les applications téléchargées à partir de”, sélectionner “N’importe où”.

Cette opération désactive la vérification des certificats par le Gatekeeper.

Si l’application n’est plus considérée comme “endommagée”, le problème se situe au niveau de la gestion des certificats des développeurs reconnus sur le Mac. Pour résoudre ce problème, il faut suivre une procédure pour redémarrer l’App Store et recharger les certificats. Et, bien sûr, revenir au niveau de sécurité par défaut (”Applications téléchargées de l’App Store et des développeurs reconnus”).

Dans le cas d'une manipulation erronée de la par de l'utilisateur :

Pour cela, il n’y a qu’une solution : Fournir un installateur automatique qui suffit de démarrer pour qu’il réalise lui-même la mise à niveau sans demander l’intervention de l’utilisateur.

Dans des versions antérieures, nous avions ce type d’installateurs. Cependant, les changements réalisés sur OS X par Apple ainsi que l’abandon par Apple du support Java natif, nous ont obligé à abandonner l’installateur pour revenir à l’installation classique par glisser/déposer. S’il fallait faire un choix, c’était à l’époque la moins mauvaise solution.

Aujourd’hui, Apple a considérablement révisé ses outils de développement et il est possible de créer un installateur ‘sans chi-chi’ qui se résume uniquement à installer ou à mettre à niveau (par écrasement) un programme. C’est la méthode utilisée par l’application “App Store”.

Il serait donc tout à fait judicieux de proposer à présent un paquet d’installation comprenant un installateur et non plus directement l’application à glisser/déposer dans le dossier Application.


Problème Gatekeeper confirmé!...

Solution de contournement proposée par le support:

1. Ouvrez les “Paramètres Système” de votre Mac.
2. Puis allez sur “Sécurité et vie privée”.
3. Là, cochez “N’importe où” dans l’encadre “Applications téléchargée à partir de:”.
4. Appliquez puis redémarrez le Mac.
5. Ouvrez le programme BeDesk (il devrait démarrer sans problème cette fois).

Si le point n°5 fonctionne, retournez dans les paramètres système pour remonter le niveau de sécurité des programmes à téléchargé à partie de “App Store et développeurs reconnus”.

Redémarrez à nouveau votre Mac et le programme devrait rester actif.


Création d'un paquet PKG signé

Le but est d’écarter toutes les sources d’erreurs qui peuvent provenir de l’utilisateur et de fournir une méthode qui ne requière pratiquement plus aucune intervention de la part de l’utilisateur.

On ne sait pas si cela solutionnera aussi le problème du Gatekeeper en même temps, mais cette méthode de déploiement doit de toute manière être mise en place en vue du futur BeDesk 17.

Ce changement sera accompagné d’un saut de version mineure pour assurer la passage vers une sous-version supérieure.



 432 BeDesk 16CORESuiviCritiqueTrès hauteTous BeDesk Express 2016 ver:16.3 - rev:88 Fermée16.216.3
100%
Description de la tâche

BeDesk Express 2016 ver:16.3 - rev:88

 439 BeDesk 16COREPaquet de transitionCritiqueTrès hauteTous Correctif de la Méthode de chargement des fichiers exéc ...Fermée16.316.4
100%
Description de la tâche

Le BeDeskLauncher est le module de chargement des fichiers exécutables de l’application.

Suite à des mises à jour réalisées au niveau du Java 8 en prévision du futur Java 9, il est nécessaire de revoir la méthode de chargement des fichiers exécutables du programme BeDesk.

Ceci est fait avec ce correctif.

A défaut de disposer de ce correctif, l’application peut ne pas fonctionner correctement, voir même ne pas démarrer du tout.


Réouverture suite à  FS#440  - Nécessité de redémarrer le BeDeskLauncher après le premier déploiement ou la mise à jour des modules.


Il est nécessaire de redémarrer le BeDeskLauncher après le déploiement des fichiers exécutables.

Sinon, l’environnement Java ne peut pas prendre en compte l’ensemble des modules déployés.

Cela est d’autant plus important si on souhaite lancer le programme sous Java 9 qui introduit la composition sous la forme de modules.


A ces fins, il est nécessaire de développer les fonctions supplémentaires suivantes au niveau du BeDeskLauncher:

  1. Un composeur de ligne de commande capable de générer une nouvelle ligne de commande conforme à la ligne de commande utilisée pour le lancement initial du programme. Cf.  FS#445  - Composer de ligne de commande de redémarrage (BeDeskLauncher).
  2. Des THREADS de redirection pour maintenir les sorties “console” dans la console courante à partir du nouveau processus correspondant au programme redémarré. Cf.  FS#442  - Redirection des sorties “console” à partir du programme BeDeskLauncher (après redémarrage).
  3. La commande de redémarrage dépend du système d’exploitation. Celle-ci doit donc être forgée en conséquence. Cf.  FS#445  - Composer de ligne de commande de redémarrage (BeDeskLauncher)
 452 BeDesk 16CORESpécificationCritiqueTrès hauteMac OS X Nouveau bundle nécessaire pour l'application sous Mac O ...Fermée16.316.4
100%
Description de la tâche

Suite à la nécessité de redémarrer automatiquement l’application pour finaliser le déploiement des mises à jour, il est devenu indispensable de créer un nouveau bundle de l’application pour Mac OS X.

Pour cela, nous utiliserons dorénavant l’outil javapackager fourni par Oracle.

Nous espérons que ce changement permettra de réduire considérablement les soucis assez fréquemment rencontrés avec l’installateur de PKG d’Apple.

 457 BeDesk 16COREMise à jourCritiqueTrès hauteTous BeDesk Express 2016 ver:16.4 - rev:92 Fermée16.316.4
100%
Description de la tâche

BeDesk Express 2016 ver:16.4 - rev:92

 689 BeDesk-ExpressCoreBugCritiqueTrès hauteTous N'importe pas automatiquement une base de données BeDes ...Fermée16.4 (fork)17.0
100%
Description de la tâche

Après mise à jour de OS X, BeDesk 15 ne fonctionne plus.

Si on installe BeDesk 16, celui-ci détecte qu’une anomalie est présente sur la base de données BeDesk 15 et ne l’importe pas automatiquement.


Contournement du problème :

Restaurer manuellement le dernier fichier de sauvegarde que vous aurez réalisé avant la mise à jours de Mac OS X (en l’occurrence Sierra).

Complications :

Si l’utilisateur n’a pas effectué de sauvegarde de sécurité récente avant la mise à jour, et comme le BeDesk 15 ne démarre plus, il n’est plus possible de créer un fichier de sauvegarde à restaurer dans Bedesk 16.

Il fallait faire la mise à jour BeDesk 15 → BeDesk 16 avant de passer à Sierra.


Problème résolu dans BeDesk Express v 17.0

 708 BeDesk-ExpressApplicationGarde-fouCritiqueTrès hauteTous Vérifier le format des noms de base de données avant im ...Fermée16.4 (fork)17.0
100%
Description de la tâche

Certains utilisateurs accèdent aux fichiers de travail sur le disque dur via l’explorateur de fichier ou un autre logiciel et modifie les noms des bases de données.

Cela entraîne de nombreux problèmes.

Pour éliminer ces problème, il faut vérifier les noms de base de données avant restauration, avant importation et même avant d’ajouter les bases de données dans la liste proposée par la BeDesk-Starter.

 710 BeDesk-ExpressApplicationBugCritiqueTrès hauteTous Problème de création des numéros de dossier des nouveau ...Fermée17.0
100%
Description de la tâche

Problème de création des numéros de dossier des nouveau documents:

Lorsqu’on crée un nouveau document, il prend le numéro de dossier du dernier document précédent.

Problème!...


Confirmé.


Correctif via l’ajout d’un garde-fou (pre-store).

 728 BeDesk-ExpressBase de donnéesBugCritiqueTrès hauteTous Mise à jour upstream KeylistDB : Correctif OpenDDN (err ...Fermée17.0
100%
Description de la tâche

Mise à jour upstream KeylistDB : Correctif OpenDDN (erreur de déduplication).

 735 BeDesk-ExpressApplicationBugCritiqueTrès hauteTous Ouverture de rapports sans aperçu visible Fermée17.017.1
100%
Description de la tâche

Ouverture de rapports sans aperçu visible.

Lorsqu’on ouvre l’outil “Rapports” la vue apparaît sans aperçu du rapport visible. On observe le fond gris uniquement (pas même de roulette de progression).

Toutefois, si on lance une impression, le rapport est bien imprimé.


Le souci se situe probablement dans la pile de tâches du rendu pour afficher l’aperçu.


NOTE : LORSQU’ON MODIFIE LA TAILLE DE LA FENÊTRE, L’APERÇU APPARAÎT.

L’aperçu est donc bien généré en arrière plan, même s’il n’apparaît pas.


Le problème se situe bien dans la pile de tâches de rafraîchissement de l’affichage lors de la création de l’aperçu.

Cette procédure est assez complexe et la dernière phase doit absolument être bloquante afin d’attendre la fin du rendu d’arrière plan.


Corrections réalisées...

Tests nécessaires.


 750 BeDesk-ExpressCoreBugCritiqueTrès hauteTous Effet de bord : Référence non dupliquée lors de la mise ...Fermée17.017.1
100%
Description de la tâche

Lorsqu’on met à jour l’inventaire à partir d’une facture par exemple, la référence des articles n’est pas dupliquée.

Ceci entraîne un effet de bord indirect difficile à repérer car la mise à jour est basée sur la présence ou non de la modification d’une des valeurs de l’enregistrement. Utilisant malheureusement la même référence, l’article est comparé à lui-même. Il apparaît donc actualisé dans l’interface du logiciel, mais la modification (basée sur le différentiel) n’est pas réalisée. La modification n’est donc pas enregistrée. On peut donc constater que la valeur du stock initial est restituée lors du démarrage suivant.


Pour rectifier ce problème, une nouvelle référence doit être créée de manière à dupliquer le contenu de l’article pour pouvoir le comparer ses valeurs précédentes et établir un différentiel.


Ce souci touche aussi la mise à jour des quantités à recevoir (bons de commande d’achat et de réception).


Urgent!...

 
 760 BeDesk-ExpressApplicationSuiviCritiqueTrès hauteTous FRANCE : Conformité lois des finances 2018 Fermée17.018.0
100%
Description de la tâche

L’administration a commenté l’obligation pour les assujettis à la TVA en France qui enregistrent les règlements de leurs clients au moyen d’un logiciel de comptabilité ou de gestion ou d’un système de caisse, d’utiliser à partir du 1er janvier 2018, des logiciels ou des systèmes satisfaisant à des conditions d’inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d’archivage des données.


MISE A JOUR : Novembre 2017

1. Qu'est-ce qu'un logiciel ou système de caisse ?

Éléments de réponse: Un logiciel ou un système de caisse est un système informatisé dans lequel un assujetti enregistre les livraisons de biens et les prestations de services ne donnant pas lieu à facturation au sens du BOI-TVA DECLA-30-20-10. Autrement dit, un logiciel ou un système de caisse est un système informatisé dans lequel un assujetti enregistre les opérations effectuées avec ses clients non assujettis.

Ainsi, les logiciels ou systèmes de caisse dans lesquels sont enregistrées les opérations effectuées avec des clients assujettis à la TVA (clients professionnels) ne relèvent pas du champ d’application du dispositif.

En revanche, ceux dans lesquels sont enregistrées les opérations effectuées avec des clients qui ne sont pas assujettis à la TVA (clients particuliers) relèvent du champ d’application du dispositif.

De la même façon, ceux dans lesquels sont enregistrées à la fois les opérations effectuées avec des clients assujettis à la TVA (clients professionnels) et des non assujettis (clients particuliers) relèvent du champ d’application du dispositif.

Il convient de ne pas tenir compte de la qualification du logiciel (de caisse, comptable ou de gestion) en question, mais de retenir sa fonctionnalité de caisse. Ainsi, un logiciel de gestion qui permet l’enregistrement des opérations de ventes ou de prestations de services qui concernent les non assujettis à la TVA (clients particuliers) doit être considéré comme un logiciel ou un système de caisse visé par le dispositif.

2. Tous les logiciels de gestion commerciale incluant une fonctionnalité de caisse enregistreuse/d'encaissement sont-ils toujours à certifier par leurs éditeurs pour le 1er janvier 2018 ?

Éléments de réponse:

Depuis le 15 juin 2017, seuls les logiciels et systèmes de caisse sont concernés par la mesure, principaux vecteurs des fraudes constatées à la TVA.

Concernant les logiciels multi fonctions (comptabilité/gestion/caisse), seules les fonctions caisse enregistreuse/encaissement, et non l’ensemble du logiciel, devront être certifiées.

Partie II – Éclairage sur les aspects techniques

I Référentiel technique

18. Existe-t-il un référentiel officiel de mise en conformité des logiciels et systèmes de caisse?

Éléments de réponse: La loi instaure une obligation de résultat concernant la conformité des logiciels (respect des quatre conditions de la loi : inaltérabilité, sécurisation, conservation, archivage) et non de moyen: elle ne définit pas de cahier des charges, ni de solution technique, contrairement à d’autres dispositifs fiscaux.

L’élaboration de référentiels est donc du ressort des seuls acteurs privés.

II Condition d'inaltérabilité

19. Pour respecter la condition d’inaltérabilité, l'intégrité des données enregistrées doit être garantie dans le temps par tout procédé technique fiable. Des procédés autres que le scellement et le chaînage pourront être proposés par les éditeurs. Comment apprécier la garantie d’inaltérabilité exigée ?

Éléments de réponse:

L’administration fiscale n’impose aucune solution technique (empreinte électronique, chaînage des opérations...), dès lors qu’aucune norme fiscale a été prévue par le législateur.

Concernant les systèmes de caisse, la garantie d’inaltérabilité peut être obtenue par plusieurs techniques permettant d’une part d’empêcher l’accès de l’utilisateur à des fonctionnalités de modification des données validées et d’autre part de détecter tout accès/modification des données de règlement. Toute modification ou correction doit être détectable.

Le certificat est associé à la capacité de pouvoir démontrer que les données de règlement n’ont pas été modifiées depuis leur enregistrement initial et doit fournir un système de preuve en ce sens.

20. Qu’entend-on par « données permettant d’assurer la traçabilité des données de transaction » ?

Éléments de réponse:

Le logiciel de caisse doit enregistrer toutes les données d’origine relatives à la transaction de règlements (notes et tickets de caisse).

Les données initialement validées devant rester inaltérables, si des corrections sont ultérieurement apportées à des opérations de règlements, ces corrections (modifications ou annulations) s’effectuent par l’enregistrement de nouvelles opérations de «plus» et de «moins» et non par modification directe des données d’origine enregistrées.

Ces opérations de correction donnent également lieu à enregistrement et leur inaltérabilité doit également être garantie.

Techniquement, la solution doit garantir l’inaltérabilité de toutes les données élémentaires (enregistrement initial et correction(s)) et fournir une fonctionnalité de suivi des modifications.

21. Qu’entend-on par « rendre inaltérables les données » ?

Éléments de réponse:

Pour les systèmes de caisse, la condition d’inaltérabilité des enregistrements de règlement (quantité, montant, TVA, mode de règlement...) s’obtient par plusieurs moyens techniques garantissant:

  • Une inaltérabilité logique de haut niveau, en privant l’utilisateur de toute fonctionnalité du logiciel lui permettant de modifier les données élémentaires de règlement. Ce moyen s’assortit d’une solution technique permettant de détecter et démontrer que l’utilisateur n’a pas contourné cette impossibilité fonctionnelle intégrée au logiciel de l’éditeur.
  • Une inaltérabilité de bas niveau qui garantit l’intégrité des données enregistrées sur le disque sous forme de fichier ou de base de données. L’accès à une donnée élémentaire par un homme de l’art ne pouvant jamais être empêché, cette inaltérabilité est garantie par la preuve que la donnée élémentaire n’a pas été modifiée depuis son enregistrement (empreinte numérique à clé privée, chaînage...).
22. Qu’entend-on par les données d’origine « enregistrées initialement » ? À partir de quel moment doit-on les rendre inaltérables ?

Éléments de réponse:

Les données de l’opération doivent être inaltérables de la prise de commande jusqu’à l’enregistrement du règlement.

Cette inaltérabilité est garantie par:

  • L’absence de fonctionnalité logicielle permettant une modification/suppression de la transaction et la preuve que ce système n’a pas été contourné.
  • Une preuve numérique permettant de détecter si la donnée élémentaire a été modifiée depuis son enregistrement.

III Condition de sécurisation

23. Qu’entend-on par «sécurisation» des données ? En quoi cette notion se différencie des trois autres (inaltérabilité, conservation, archivage) et quels sont les critères à respecter pour garantir la «sécurisation» des données? Doit-on le comprendre comme la faculté d’un assujetti de pouvoir justifier qui peut accéder aux données, qui a accédé aux données sur une période définie, et d’un suivi de ces accès?

Éléments de réponse:

La condition de sécurisation des données a fait l’objet de précisions dans la doctrine administrative à laquelle il convient de se reporter : BOI-TVA-DECLA-30-10-30 § 130 à 150. La condition de sécurisation ne vise pas à limiter les droits d’accès au logiciel ou système de caisse mais à assurer que les enregistrements des encaissements réalisés par toute personne qui accède au logiciel ou système soient tracés, de même que les éventuelles modifications apportées à ces enregistrements initiaux.

En cas d’emploi d’une fonction «école» ou «test», le § 150 de la doctrine administrative précitée prévoit par ailleurs l’identification de l’opérateur sous la responsabilité duquel le personnel en formation enregistre les données.

La sécurisation des données vise à s’assurer que les données enregistrées ne peuvent plus être modifiables, sans traces. Il ne s’agit pas seulement de protéger les données contre les modifications par des tiers, ce qui constitue un délit en application des articles 323-1 à 323-3 du code pénal, mais aussi contre des modifications non tracées effectuées par le propriétaire et détenteur des données lui-même.

IV Conditions de conservation et d'archivage

24. Quelle est la différence entre conservation et archivage des données ?

Éléments de réponse: Il convient de distinguer la condition de conservation des données de la condition d’archivage des données.

La conservation des données détaillées de transaction doivent être conservées «en ligne» dans le système de caisse. Ces données peuvent faire l’objet de purge, ce qui consiste à les sortir du système de caisse et à les stocker dans un support externe d’archivage (clé USB, disque optique ou disque dur externe).

L’ensemble des données doivent être conservées (dans le système de caisse) et archivées (sur support externe et leur inaltérabilité et leur traçabilité doivent être garanties pendant six ans. Elles doivent être archivées au moins une fois à la fin de chaque exercice comptable au moyen d’un processus obligatoirement prévu par le logiciel. Elles sont toujours archivées avant un processus de
purge.

Comme précisé par le BOI-TVA-DECLA-30-10-30 (§ 160 et suivants), pour chaque clôture (selon le cas journalière, mensuelle et/ou annuelle ou par exercice), toutes les données doivent être conservées: «cette obligation de conservation porte sur toutes les données enregistrées ligne par ligne, ainsi que pour les systèmes de caisse, sur les données cumulatives et récapitulatives calculées par le système» (cumul du grand total de la période et total perpétuel).

La condition d’archivage a, quant à elle, pour «objet de figer les données et de donner date certaine aux documents archivés». Pour plus de précisions, se reporter au BOI-TVA-DECLA-30-10-30-20160803 § 220 et suivants.

S’agissant du cas de changement de matériel ou de logiciel, il est rappelé que le délai général de conservation de six ans, mentionné au premier alinéa de l’article L. 102B du livre des procédures fiscales, s’applique aux livres, registres, documents ou pièces auxquels l’administration a accès pour procéder au contrôle des déclarations et des comptabilités des contribuables astreints à tenir et à
présenter des documents comptables.

25. Quelles sont les données de caisses à conserver et doit-on le faire tous les jours ou tous les mois? Uniquement le Z ou le détail?

Éléments de réponse:

Toutes les données élémentaires doivent être conservées par le logiciel ou le système de caisse et non pas seulement le Z. Un assujetti qui ne conserve que les Z ne respecte pas les obligations de conservation prévues à l’article L. 102-B du livre des procédures fiscales. Cette définition répond à la nécessité légale de justifier les résultats produits par un système informatisé avec les données élémentaires ayant servi à leur élaboration, prises en compte dès leur origine, et non par des données agrégées résultant de traitements automatisés. Les données de détail d’une transaction de règlement comprennent le numéro du ticket, la date (heure-minute-seconde), le numéro de la caisse, le total TTC, les totaux HT par taux de TVA, le détail des articles ou prestations (libellé, quantité, prix unitaire, total HT de la ligne, taux de TVA associé) et les traces de modifications et corrections apportées.

Ainsi, avant la purge des données élémentaires conservées dans le système de caisse, l’ensemble des données précitées et enregistrées depuis la dernière opération d’archivage doivent être conservées. Après la purge, opération d’archivage qui a pour objet de transférer les données conservées vers un support externe, seuls les totaux de contrôles produits par les procédures de clôtures (soit les grands totaux journaliers, mensuels, annuels et de l’exercice et le total perpétuel) doivent être conservés dans le logiciel de caisse et continuer d’être protégés par la garantie d’inaltérabilité. Les données de traçabilité de la procédure de purge/archivage doivent être conservées.

26. Faut-il conserver les données directement dans le logiciel ou dans un système d’archivage ?

Éléments de réponse:

L’inaltérabilité des données permet de garantir que les enregistrements de règlement ne sont plus modifiés ou n’ont pas été modifiés après leur validation.

Les garanties de conservation et d’archivage permettent de garantir que ces données inaltérables restent durablement accessibles dans le cadre d’un contrôle pendant le délai légal de contrôle.

Pour les logiciels de caisse, on distingue la conservation des données « en ligne » dans le système de caisse, de l’archivage des données sur un support externe.

Les données conservées (en ligne dans le logiciel de caisse) doivent faire l’objet de clôtures journalières, mensuelles et annuelles (ou par exercice). Les données sont archivées au moins une fois à la fin de chaque exercice comptable au moyen d’un processus obligatoirement prévu par le logiciel. Elles sont toujours archivées avant un processus de purge. Les données de détail de règlement sont enregistrées sur un support externe et effacées de la sauvegarde « en ligne » présente dans le logiciel de caisse. En revanche, les totaux de contrôles produits par les procédures de clôtures doivent être conservés dans le logiciel de caisse et continuer d’être protégés par la garantie d’inaltérabilité. La solution logicielle doit permettre de maintenir la traçabilité des procédures d’archivage et de garantir l’inaltérabilité des données archivées.

27. Qu’est-ce qu’un «support physique externe sécurisé» ?

Éléments de réponse: Il est possible de citer comme support physique externe: une clé USB, un disque optique ou un disque dur externe. Ce support physique externe doit être sécurisé. Aucune solution technique n’est imposée pour assurer cette sécurisation.

Le support physique externe sécurisé n’est exigé qu’en présence de purges, tel que l’indique le § 250 du BOI-TVA-DECLA-30-10-30: Au-delà de la périodicité choisie et au maximum annuelle ou par exercice, le logiciel ou le système peut prévoir une procédure de purge des données de règlement.

Avant la mise en œuvre de cette procédure de purge, le logiciel ou le système doit garantir la production d’une archive complète des données de règlement (données d’origine et éventuelles modifications), avec la date de l’opération de règlement (année – mois – jour), sur un support physique externe sécurisé.

La décision de purger les données est liée à la nécessité de libérer de l’espace sur le disque dur.

L’archivage des données est donc dans ce cas logiquement réalisé en dehors du système de caisse. La sécurisation du support d’archivage doit permettre de garantir l’intégrité des données archivées et leur disponibilité en cas de contrôle.

La disponibilité des données doit être effective en cas de contrôle. Les éditeurs doivent prévoir des procédures d’archivage obligatoires pour les utilisateurs. Pour plus de sécurité plusieurs supports de stockage différents pour une même archive peuvent être proposés comme le prévoit la norme Z 42 013. Les utilisateurs ont en effet l’obligation de conserver les données archivées pendant six ans.

L’obligation d’archivage prévue par le certificat ne doit pas être confondue avec une solution de sauvegarde des données présentes dans le système de caisse. Ces sauvegardes sont entendues comme une copie des données toujours présentes sur la caisse. Les sauvegardes permettent la reprise technique des données en cas de panne de la caisse et constituent une solution, parmi d’autres, de sécurisation des données justificatives de règlement.

28. Qu’entend-on par « grand total de la période et le total perpétuel » ?

Éléments de réponse:

Le § 170 du BOI-TVA-DECLA-30-10-30 précise que: «Pour chaque clôture -journalière, mensuelle et annuelle (ou par exercice)- des données cumulatives et récapitulatives, intègres et inaltérables, doivent être calculées par le système de caisse».

On entend par «cumul du grand total de la période» le cumul de chiffre d’affaires décompté depuis l’ouverture de la période comptable en cours.

On entend par «total perpétuel» le cumul de chiffre d’affaires décompté depuis le début de l’utilisation du système.

Le Total perpétuel est en effet un compteur qui cumule le chiffre d’affaires total enregistré depuis le début de l’utilisation du système et ne se remettant jamais à zéro. Il n’est pas lié à une période contrairement au Grand Total qui lui est le compteur qui cumule le chiffre d’affaires total pour la période comptable.

En cas de changement de matériel ou de logiciel, tous les compteurs repartent de zéro. Les compteurs de l’ancien matériel ou logiciel doivent être archivés et sécurisés.

Dans le cas d’un simple changement de version d’un logiciel tous les compteurs doivent continuer à être incrémentés sans être remis à zéro.

29. Quelles sont les attentes pour la clôture mensuelle obligatoire dans un système de caisse par rapport à la clôture journalière ?

Éléments de réponse:

Des précisions ont été apportées sur ce point aux § n° 160 et suivants du BOI-TVA-DECLA-30-10-30.

Pour les systèmes de caisse, l’obligation de clôture est: journalière, mensuelle et annuelle (ou par exercice).

La doctrine administrative précise par ailleurs que: «Pour chaque clôture -journalière, mensuelle et annuelle (ou par exercice)- des données cumulatives et récapitulatives, intègres et inaltérables, doivent être calculées par le système de caisse».

Parmi ces données figurent le grand total pour la période comptable, le total période et le total perpétuel.

Toutes les données enregistrées doivent être conservées. «Cette obligation de conservation porte sur toutes les données enregistrées ligne par ligne, ainsi que pour les systèmes de caisse, sur les données cumulatives et récapitulatives calculées par le système».

La clôture mensuelle permet aussi la totalisation du chiffre d’affaires ventilé par taux de TVA.

30. Comment peut-on sur un système de caisse répondre à l’exigence de périodicité de clôture au minimum annuelle si on procède à des clôtures journalières et mensuelles ?

Éléments de réponse: La doctrine administrative prévoit que la clôture doit intervenir à l’issue d’une période au minimum annuelle (ou par exercice si celui-ci n’est pas calé sur l’année civile). Pour les systèmes de caisse, il faut en plus une clôture journalière et mensuelle. Ensuite, le § 220 du BOI-TVA-DECLA-30-10-30 prévoit la possibilité d’archiver les données selon une périodicité choisie qui est au maximum annuelle
ou par exercice.

S’agissant de la condition de conservation des données, il est précisé pour les systèmes de caisse, aux §160 et 170 de la doctrine précitée, que ces systèmes doivent prévoir obligatoirement une clôture journalière, une clôture mensuelle et une clôture annuelle (ou par exercice lorsque l’exercice n’est pas calé sur l’année civile). Pour les systèmes de caisse, ces trois échéances de clôtures sont cumulatives et impératives.

S’agissant du respect de la condition d’archivage, il est prévu que les systèmes de caisse comme les logiciels de comptabilité ou de gestion doivent permettre d’archiver les données enregistrées selon une périodicité au maximum annuelle ou par exercice. Cette périodicité est donc la même que la périodicité annuelle ou par exercice prévue pour le respect de la condition de conservation.

V Partage des responsabilités

31. Définition de «l’éditeur» :

Éléments de réponse: On entend par « éditeur » du logiciel ou du système de caisse la personne qui détient le code source du logiciel ou système et qui a la maîtrise de la modification des paramètres de ce produit.

Une attestation délivrée par un éditeur engage sa responsabilité sous réserve que les dispositifs techniques garantissant sécurisation, inaltérabilité, conservation et archivage ne sont pas modifiés.

Logiciel standard d’un éditeur fourni sous forme d’un exécutable et de ses bibliothèques logicielles non modifiables et dont un éventuel paramétrage ne concerne pas les fonctions assurant la sécurisation, l’inaltérabilité, la conservation et l’archivage. L’éditeur de ce logiciel est soumis à une obligation de sécurisation justifiée par un certificat délivré par un organisme accrédité ou une attestation établie par l’éditeur lui-même.

35. Les archives doivent être lues aisément par l’administration en cas de contrôle: quels sont les moyens considérés comme aisés par l’administration pour lire les données ? En cas de cryptage des archives quels sont les outils de décryptage acceptés?

Éléments de réponse:

Les archives doivent pouvoir être lues aisément par l’administration. Aucun format d’archive n’est toutefois imposé. De la même manière, en cas de cryptage de l’archive, aucun format de cryptage n’est imposé. Les archives seront dans ce cas considérées comme pouvant être aisément lues par l’administration (les données numériques par exemple apparaissant en clair et non sous forme codée), dès lors qu’en cas de contrôle, l’assujetti à la TVA concerné présentera à l’administration des archives décryptées.

A titre d’exemple, les formats de fichiers de type TXT ou CSV peuvent être utilisés pour l’archivage (cf. BOI-BIC-DECLA-30-10-20-40 § 550).

II Attestation

42. L'attestation individuelle de l'éditeur doit-elle respecter un certain formalisme?

Éléments de réponse:

L’attestation doit être individuelle, c’est-à-dire délivrée nominativement à l’assujetti à la TVA qui la produit.

L’attestation doit être établie par l’éditeur du logiciel ou du système de caisse ou par son représentant légal lorsqu’il s’agit d’une société.

Elle doit explicitement mentionner que le logiciel ou le système de caisse respecte les conditions d’inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d’archivage des données. Elle doit indiquer précisément:

  1. le nom et les références de ce logiciel (y compris la version du logiciel concernée et le numéro de licence quand il existe une licence) ou de ce système;
  2. la date d’acquisition du logiciel ou système par l’assujetti à la TVA.

L’attestation peut être délivrée sur un support physique ou de manière dématérialisée (par exemple, par téléchargement en ligne d’une attestation à compléter par l’assujetti pour y mentionner notamment son identité complète). Pour plus de précision, il convient de se reporter à la doctrine administrative.

L’attestation doit être conforme au modèle fourni en BOI-LETTRE-000242.

44. Que faire si mon éditeur de logiciel ne m'a pas encore envoyé d'attestation?

Éléments de réponse:

La loi n’impose pas aux éditeurs cette délivrance spontanée.

Si l’éditeur n’adresse pas d’attestation à l’utilisateur, il appartient à ce dernier de la lui réclamer.

Des consignes seront données aux agents de l’administration fiscale pour prendre en compte les circonstances particulières si l’assujetti apporte la preuve des diligences qu’il a faites pour obtenir cette attestation.

47. L'attestation de mon éditeur peut-elle être limitée dans le temps?

Éléments de réponse:

Le renouvellement de l’attestation est fondé sur les notions d’évolutions mineures ou majeures du logiciel, et non sur une durée calendaire. Dans les faits, l’attestation n’a pas à être renouvelée annuellement, mais elle le sera en fonction des changements mineurs ou majeurs apportées au logiciel.

Il est admis que l’attestation demeure valable pour attester du respect des conditions d’inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d’archivage des données par les versions mineures ultérieures du logiciel ou système (cf. I-C-1 § 340 du BOI-TVA-DECLA-30-10-30 pour la définition d’une version majeure et d’une version mineure) :

Dans le cas où les fonctionnalités techniques du certificat ne sont pas modifiées par une nouvelle version du logiciel, on parlera d’une version mineure ne faisant pas naître une nouvelle obligation de certification.

Dans le cas où la modification du logiciel est telle que les fonctionnalités techniques assurant la sécurisation, l’inaltérabilité, la sauvegarde et l’archivage des données sont altérées, on parlera d’une version majeure qui doit faire l’objet d’une nouvelle certification.
Toute nouvelle version majeure du logiciel ou système doit donner lieu à l’établissement d’une nouvelle attestation visant expressément cette version

MISE A JOUR : Communiqué de presse du 15 juin 2017

Suite au communiqué de presse du cabinet du ministère du 15 juin 2017 (http://proxy-pubminefi.diffusion.finances.gouv.fr/pub/document/18/22503.pdf), seuls les logiciels de caisse seraient à présent concernés.

Etant donné que BeDesk fait partie des logiciels de gestion et non de caisse, l’obligation de mise en conformité dont il est question dans ce ticket ne serait donc plus avérée.

Cependant, tant que la loi n’est pas effectivement révisée, nous continuerons de mettre en application les points ci-dessous à toutes fins utiles.

Un gros travail a déjà été effectué et, considérant que cela améliore également d’une certaine manière la qualité du logiciel, nous le finirons.



MISE A JOUR : FAQ l'administration publiée le 28 juillet 2017

Question n°1

Qu’est-ce qu’un logiciel ou système de caisse ?

Un logiciel ou un système de caisse est un système informatisé dans lequel un assujetti enregistre les livraisons de biens et les prestations de services ne donnant pas lieu à facturation au sens du BOI-TVA DECLA-30-20-10.

NOTES

Ceci exclut de-facto le logiciel BeDesk car il s’agit d’un logiciel de facturation et non de caisse.


Question n°2

Tous les logiciels de gestion commerciale incluant une fonctionnalité de caisse enregistreuse/d’encaissement sont-ils toujours à certifier par leurs éditeurs pour le 1er janvier 2018 ?

Depuis le 15 juin 2017, seuls les logiciels et systèmes de caisse sont concernés par la mesure, principaux vecteurs des fraudes constatées à la TVA.
Concernant les logiciels multi fonctions (comptabilité/gestion/caisse), seules les fonctions caisse enregistreuse/encaissement, et non l’ensemble du logiciel, devront être certifiées.

NOTES

La note “fonctions caisse enregistreuse/encaissement” est quelque peu ambigüe.

En effet, le suivi de l’apurement des factures pourrait-il être considéré comme une “fonction d’encaissement” ?



CHAMP D'APPLICATION DE LA LOI PAR RAPPORT À NOTRE LOGICIEL

Ce qui ne concerne pas BeDesk-Express :

  • BeDesk-Express n’est pas un logiciel de caisse :
    • On ne réalise pas de ticket de caisse avec BeDesk-Express.
    • BeDesk-Express ne peut pas être connecté à un dispositif de caisse, à un terminal de paiement ou à un quelconque autre système de paiement, pour le piloter ou en extraire les informations.
      • Si l’activité de l’utilisateur nécessite l’usage d’un tel dispositif, celui-ci doit en acquérir un indépendamment de BeDesk-Express.
        • Un avertissement clair doit être placé bien en vue à ce sujet dans le contrat de licence.
  • BeDesk-Express n’est pas un logiciel de comptabilité :
    • On ne réalise pas la comptabilité de l’entreprise avec BeDesk-Express.
      • Un avertissement clair doit être placé bien en vue à ce sujet dans le contrat de licence.
    • BeDesk peut cependant fournir une partie des informations sources (de pré-comptabilité) qui permettent de réaliser la comptabilité proprement dite, par un expert-comptable ou éventuellement à l’aide d’un logiciel tiers conçu à cet effet par un autre éditeur.
  • BeDesk-Express ne gère ni les moyens de paiements ni l’apurement des comptes :
    • L’apurement des comptes est du ressort de la comptabilité et/ou du logiciel de comptabilité. Ce que BeDesk-Express n’est pas et ne fait pas.
    • La gestion des moyens de paiements peut être réalisée via un système de caisse, un logiciel de comptabilité ou un système de liaison bancaire. BeDesk-Express ne dispose pas d’un système de liaison bancaire permettant par exemple de faire le rapprochement entre une opération bancaire et un encaissement.
      • Il est toutefois possible d’indiquer dans BeDesk-Express des montants d’acomptes reçus à titre “indicatif” dans l’unique but d’assurer un suivi plus facile et de relancer éventuellement les mauvais payeurs. Cette fonctionnalité n’est pas conçue pour remplacer la gestion comptable des apurements ni un système de caisse certifié.
        • Un avertissement clair doit être placé bien en vue à ce sujet, y compris dans le contrat de licence.

Ce qui concerne BeDesk-Express :

  • BeDesk-Express permet de créer et de gérer des factures (de vente et d’avoir) :
    • Celles-ci doivent être (et sont déjà) conservées indéfiniment dans la base de données.
      • Une clôture est cependant nécessaire pour figer définitivement et irrévocablement les documents (c-à-d, «archiver») à la fin de l’exercice ou à une durée maximum d’un an.
    • On ne peut supprimer aucun document dans BeDesk-Express (ceci n’a jamais été possible via l’interface du logiciel).
      • Cependant, la loi stipule que les fichiers (et donc leur contenu) doivent être inaltérables. Il faut donc mettre ne place un ou plusieurs dispositifs techniques qui détectent et signalent toute modification des fichiers en dehors du logiciel BeDesk-Express lui-même.
    • Toutes les opérations réalisées avec le logiciel doivent être tracées :
      • La notion de traçabilité est très importante car elle permet de fournir un justificatif des opérations réalisées.
        • Dans le cas de BeDesk-Express, elles comprennent l’ensemble des données qui concourent à la réalisation d’une vente et d’un encaissement:
          • Il faut donc établir un historique chronologique inaltérable, sécurisé et par ajouts uniquement des évènements suivants:
            1. Création d’un document avec l’enregistrement d’un horodatage, des états (payé, imprimé, etc..) et des montants totaux HT, TTC et acomptes reçus.
            2. Modification d’un document avec l’enregistrement d’un horodatage et autres informations de traçage ci-dessus.
            3. Impression du document (idem).
            4. Envoi du document par e-mail (idem).
            5. Impression d’une lettre de relance (idem).
            6. Clôture du document (idem).
          • De plus, l’enregistrement à titre “indicatif” des
          • Certains évènements pouvant nécessiter une explication ou un justificatif, l’utilisateur devrait pouvoir commenter les évènements sans toutefois pouvoir en modifier la nature, le contenu et l’ordre chronologique. Bien entendu, aucune suppression ne devrait en outre être possible (seulement ajouter de nouveaux évènements supplémentaires à la fin de l’historique).
          • Bien que l’enregistrement des paiements reçus dans BeDesk-Express soit exclusivement «indicatif» de manière à assurer le suivi plus facile des documents en souffrance et de relancer éventuellement les clients, il convient de modifier la méthode de saisie des acomptes. Il devient nécessaire de remplacer le tableau des versions précédentes par un journal chronologique où on ne peut qu’ajouter de nouvelles entrées par «PLUS» et «MOINS». L’enregistrement des évènements de ce journal doit respecter les mêmes règles d’inaltérabilité, de sécurité, de conservation et d’archivage que les points précédents.
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