BeDesk-Express

Introduction du support de Java 11 LTS en remplacement définitif de Java 9 et 10 sur l’ensemble des modules.

Il convient d’appliquer l’implémentation Rx à la génération des documents.

Quelques petites différences inévitables pourront apparaître.

Toutefois, la résolution des problèmes d’alignement et de césure seront éliminés.

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A NOTER:

La mise en forme des documents sera simplifiée et uniformisée. Certains paramètres n’ayant que très peu d’utilité, ceux-ci seront supprimés au profit d’une mise en forme plus cohérente même si l’utilisateur à introduit des paramètres qui ne sont pas idéaux.

1. Taille de la police des zones “Commentaires” et “Conditions” seront héritées directement du modèle de base et non plus fixés séparément.
   • Suppression de la taille et du choix de la police spécifique aux commentaires (c’est la même que celle du document).
2. Suppression de la taille de police moyenne dans les documents (il reste uniquement la “grande” et la “petite” taille).
3. Décalage minimum à partir de l’en-tête dans les paramètres de grille → Hauteur minimum du cartouche.
4. Nombre de positions du cartouche réduit. Il ne reste que ces 3 positions:
   1. Verticale
   2. Horizontale en haut.
   3. Horizontale en bas.
5. Tous les montants significatifs sont alignés à droite dans une colonne dont la largeur est uniformisée à 12% de la largeur de la zone d’impression.
6. La marge interne des cellules passe de 4pt à 3pt pour un meilleur usage de l’espace disponible.
7. Ajout de la prise en charge de la marge interne de l’en-tête et du pied de page.
8. “Sur-magination” → “Espace de séparation par rapport au corps” (du document).

Le niveau minimum de rétro-compatibilité est fixé à la version 18.0-250, c-à-d la première version certifiée du logiciel.

Les utilisateurs qui utilisent toujours une révision antérieures peuvent faire appel au support technique pour bénéficier d’un service de conversion et de certification des fichiers.

Le nouveau système de protection de macOS bloque par défaut les services d’accessibilité.

Pour en bénéficier, il faut absolument autoriser ces services pour l’application dan les préférences système / Sécurité / Accessibilité de macOS.

Il n’existe aucun moyen d’établir ce paramètre via le logiciel BeDesk lui-même.

Les services d’accessibilité concernés sont :

1. La classe Robot de Java.

(1) La classe Robot est utilisée par le service d’arrière plan “StayAwakeDaemon”. Ce service empêche l’ordinateur d’entrer en mode veuille par lui-même.

La mise en veille peut entraîner des problèmes dus au fait que certains utilisateurs laisse la session de leur logiciel ouverte de façon indéfinie. Cela bloque le système de sauvegarde de sécurité et empêche la maintenance des fichiers.

Demande d’utilisateur:

Le service achats souhaiterait pouvoir avoir les informations suivantes :
- le prix d’achat,
- la prix d’achat x les quantités en stock
- la quantité en stock
- le prix de vente
- le prix de vente x les quantités en stock.

Actuellement, les exports se font ainsi: c’est à dire sélection des “rapports”, “articles en stock”, “évaluer la valeur de vente du stock” puis “évaluer la valeur d’achats du stock”. Ensuite téléchargement en CSV/TXT, ouverture depuis Excel, et enfin rapprochement des fichiers avec une rechercheV. Cela est fastidieux, long, et source d’erreur.

Amélioration prise en compte : confirmée.
A planifier : voir ordre de priorité.

Réduction de la complexité de l’application en fusionnant les modules starter.* et bedesk.*

Le nouveau paquetage résultant est bedesk.starter.*.

Des optimisations importantes du générateur de documents peuvent être implémentées pour améliorer les performances de préparation et de rendu des documents.

Les optimisations sont plus particulièrement attendue en ce qui concerne la préparation des rapports longs (plusieurs milliers de lignes).

Il semble que certains utilisateurs saisissent des échéances sans montant par anticipation dans l’application “Échéancier fournisseurs”.

Normalement, il ne peuvent pas saisir un montant vide, alors leur astuce consiste à saisir un caractère d’espace.

Or, ce caractère d’espace ne peut pas être converti en nombre. Du coup, cela entraîne des erreurs internes qui peuvent amener l’application a devenir instable.

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Une vérification supplémentaire lors de la conversion de la chaîne de caractères en nombre serait utile pour supprimer le cas où, après avoir supprimé tous les caractères non numériques, il ne reste rien.

Cela doit être effectué dans le module Compta.

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Une vérification supplémentaire du montant saisi devrait être effectuée dans l’application “Échéancier fournisseurs” pour valider la saisie.

Oracle ayant décidé de supprimer le paquetage JRE (on peut toutefois créer un Java Runtime à l’aide de jlink), il n’y a plus de paquetage redistribuable à partir de Java 11.

Oracle a également supprimé l’outil jpackage qui permet de créer des paquets exécutables pour les différents systèmes d’exploitation.

En outre, le JDK-11 de Oracle voit sa licence changer. L’usage du JDK dans le cadre d’une distribution commerciale ne put plus être réalisée sans paiement d’une licence spécifique chez Oracle.

Cependant, l’usage de l’OpenJDK reste gratuit y compris pour une redistribution commerciale. Il faut toutefois garder à l’esprit que l’OpenJDK est fourni sous licence GPL avec une “classpath exception”. On peut donc distribuer la version binaire non modifiée de l’OpenJDK dans le cadre d’une agrégation à condition de fournir la version non modifiée de l’OpenJDK et de l’utiliser sans mélange du code. En l’occurrence, l’OpenJDK peut être appelé via ligne de commande pour exécuter du code externe sans nécessiter de modification de l’oeuvre originale. Il faut toutefois faire mention de la licence de l’openJDK, s’assurer que l’application peut fonctionner avec un autre JDK (assurer l’indépendance du code) et signaler où l’utilisateur peut trouver le code source de l’OpenJDK.

Privé de JRE et de l’outil jpackage, il est nécessaire de générer l’application et le paquet d’installation par lignes de commande.

Rien n’interdit de repartir de composants existants et d’assurer le lancement correct de l’application.

Il est très facile d’inclure dans la distribution le paquet inchangé de l’OpenJDK original pour Windows.

L’appel de la machine virtuelle Java se faisant par simple ligne de commande, on respecte le contrat GPL.

Les liaisons bénéficient de l’exception du classpath associé au contrat.

Pour remplacer l’OpenJDK, il suffit de modifier la ligne de commande de l’appel ou de remplacer le contenu du sous dossier jdk-11 tout simplement. L’application BeDesk pouvant tout à fait fonctionner avec une autre JVM, l’indépendance est conservée. le paquet de l’OpenJDK est utilisé pour la facilité de l’utilisateur final et celui-ci conserve tous les droits de la licence originale de l’OpenJDK.

Au niveau de l’interface, la plupart des distributions linux appliquent un patch pour corriger les problèmes de rendu des caractères sous OpenJDK.

Elle consiste par exemple à lancer l’OpenJDK avec les paramètres suivants:

-Dawt.useSystemAAFontSettings=on
-Dswing.aatext=true
-Dsun.java2d.xrender=true

Il sera probablement nécessaire de valider cette option au niveau de la ligne de commande de lancement.

Cependant, en dépit de cela, on peut constater des défauts de rendu persistant lorsque les fonts sont redimensionnées ou qu’un scale est appliqué dans Graphics2D.

Pour contrer cela, le nouveau générateur de document Rx devrait faire la distinction entre l’export PDF, et les autres sortie. Appliquant le rendu via la transformation Glyphs → Shape, on transforme les caractères en vecteurs. Dans ce cas, le rendu est toujours correct. En excluant l’export PDF et en conservant le rendu drawString() uniquement pour cette sortie, on permet l’extraction du texte dans le PDF résultant.

La suppression de l’image de fond des document entraîne une exception.

Un enregistrement “tombstone” remplace la suppression qui produit l’exception en mode réplication.

Le problème est résolu.

Un utilisateur avait modifié le paramètre du code ISO de sont pays en remplaçant le code “FR” par “F”.

L’utilisation d’un paramètre ISO-3166-1 erroné débraille la reconnaissance des numéros de TVA des assujettis à la TVA du pays courant (celui du profil et du même coup de l’utilisateur).

Le logiciel est accompagné de 4 profils prédéfinis:

1. Belgique
2. France
3. Luxembourg
4. Suisse

Le code ISO ne devrait donc faire partie de l’ensemble suivant: BE, FR, LU ou CH.

Cependant, il était possible de personnaliser ce code si on modifie un profil pour correspondre à un autre pays.

La modification du code ISO ne change pas le calcul de la TVA sur les documents.

Il devrait donc être possible de mettre en place un garde-fou qui rattache le code ISO erroné à un des 4 pays supportés.

Attention!!! Il ne faut pas chercher à rectifier un code ISO s’il correspond à un code ISO correct.

NOTE

Le code ISO fournis par les profils initiaux ne peuvent plus être personnalisés depuis la version 18.0.

Si un code ISO a été modifié, cela ne peut se produire que suite à l’importation d’une ancienne base de données utilisées préalablement à partir d’une version antérieure du logiciel (avant janvier 2018).

On peut donc envisager la correction automatique de ce paramètre pour les éventuels utilisateurs qui auraient modifier ce paramètre AVANT de migrer vers la version 18.0 certifiée.

Garde-fou : ok.

Actualiser le contrat de licence en fonction du nouveau niveau de rétro-compatibilité : 18.0.250.

Actualisation du contrat de licence disponible sur le site web.

Suppression de nombreux warnings. Élimination de fonctions inutilisées et divers améliorations mineures.

Gestion et suivi des licences.

On peut rationaliser les ressources du nouveau module.

Ceci permet notamment de mieux utiliser les ressources communes.

Le code n’a plus besoin d’être dupliqué.

On peut supprimer une bonne partie du code “mort”.

56 Fichiers rationalisés.

La fusion des modules permet également de supprimer de nombreux warnings.

• BeDeskStarter UI : 76 warnings.

Fondamentalement, un modulo monétaire ne doit pas contenir plus de décimales que le montant.

Par exemple, en euros, on ne peut pas avoir un modulo de 0,001 alors que la plus petite pièce (le module) est le centime, donc 0,01.

En euros, le nombre de décimales des montants doit être de 2 et le modulo de 0,01. ceci est valable quelque soit le nombre de décimales dans les prix (qui peut être plus important que 2).

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Tous changement d’arrondi monétaire s’applique à l’ensemble des données de la base de données. On ne peut donc pas le rectifier après coup. Si on modifie ce paramètre, on peut modifier par voie de conséquence, les montants des totaux et fausser le journal d’audit.

Par contre, on peut s’assurer de la valeur du modulo au moment de la création de la base de données et avertir l’utilisateur de l’existence d’un paramètre erroné.

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Ajout de structures de liste qui facilitent la gestion des données par flux.

Si on réduit la hauteur de la fenêtre de l’application, la compression des intitulés des icônes de la barre verticale de gauche est décalée.

Non vérifié sur résolution normale.

Vérification nécessaire avec RETINA : Problème vérifié.

Le souci ne se manifeste que sur quelques pixels. Il semble que le calcul de la hauteur du texte ne répond pas correctement.

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Problème rectifié.

Demande d’utilisateur:

Quand un logiciel BEDESK (d’une société) est ouvert il est difficile de voir directement dans lequel je me trouve. J’aimerais pouvoir afficher un icône avec le logo de chaque société sur son logiciel et que ce logo soit présent sur la page d’accueil et les pages principales.

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Le placement d’une information supplémentaire pose toujours un certain nombre de problèmes.

Cependant, il suffit de faire apparaître le nom de la base de données dans la barre d’états en bas de la fenêtre principale pour fournir cette indication.

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Ok.

Il serait intéressant de disposer d’un rapport où apparaît la liste des paiements reçus et remboursés pour un client dans une période délimitée par 2 dates.

• Ajout de 2 nouveaux rapports où il est possible de sélectionner les paiements reçus/remboursés du client:
  1. Entre 2 dates.
  2. Sur l’ensemble des factures entre 2 dates.

Cette petite optimisation réduit le nombre de propriétés et de méthodes “inutiles” dans le composant de base PagePane.

PagePane est un panneau dans la page. Il est insécable. Il permet de d’effectuer le rendu d’un objet complexe tout en masquant ses détails lors de la préparation du document.

Mise ne œuvre de tables sous la forme de bandes d’impression avec contenu caché.

En réduisant la complexité des documents racines, on peut améliorer nettement les performances.

A la base les documents à imprimer sont des fichiers du type HTML (plus précisément eHTML).

Jusqu’à présent, on utilisait les tables, à l’aide des balises : <TABLE>, <TR>, <TD>, </TD>, </TR> et </TABLE>.

Il était nécessaire de parcourir toute la structure pour déterminer l’emplacement des lignes de séparation et du contenu des tables.

On peut utiliser des bandes d’impression qui vont chercher elles-même les données des cellules à imprimer dans un cache.

Cela réduit considérablement le temps de parcours des longues structures eHTML.

Pour cela, on implémente les objets RX à l’aide d’un nouveau View : RxView.

Cellule de texte multi-lignes.

Liste des rapports optimisés à l’aide du générateur Rx:

1. (4) Chiffres d’affaires / Journal de vente : Ok.
2. (4) Liste ventilée des montants HTVA : Ok.
3. (4) Liste ventilée des montants HTVA avec chiffres fiscaux : ok.
4. (4) Liste ventilée par pays MOSS : Ok.
5. (4) Liste ventilée des montants fiscaux : ok.
6. (1) Liste des factures impayées : ok.
7. (1) Liste des facture / CA client : ok.
8. (1) Export / Liste de tous les contacts : ok.
9. (24) Liste de clients facturés au cours d’une période et pour un régime TVA : ok.
10. (4) Récapitulatif des factures/notes de crédit avec coordonnées des clients : ok.
11. (2) A commander en fonction du minimum en stock et avec ou sans prise en compte des unités à recevoir : ok.
12. (2) A commander en fonction du minimum en stock et des devis acceptés (avec ou sans prise ne compte des unités à recevoir) : ok.
13. (2) A commander en fonction du minimum en stock et des commandes acceptées (avec ou sans prise ne compte des unités à recevoir) : ok.
14. (1) CA du client ventilé par article : ok.
15. (1) Clients ayant acquis un article entre 2 dates (avec la liste des documents concernés) : ok.
16. (1) Bons de commande en attente d’acceptation : ok.
17. (54) Bons divers entre dates et par périodes (mensuelles, trimestrielles et annuelles) : ok.
18. (1) Clients en retard de paiement : ok.
19. (1) Clients débiteurs : ok.
20. (1) Liste de prix des articles : ok.
21. (1) Valeur du stock à la vente : ok.
22. (1) Valeur du stock à l’achat : ok.
23. (1) Stock théorique (reliquat clients, reliquat fournisseurs) : ok.
24. (1) État du stock “à recevoir” : ok.
25. (1) Liste des paiements reçus entre 2 dates : ok.
26. (1) Liste des paiements reçus sur les factures entre 2 dates : ok.
27. (2) Carnet de commande (complet et pour un client donné) : ok.
28. (1) Contrôle paiements reçus entre deux dates : ok.
29. (1) Contrôle trimestriel avec listes des clients facturés : ok.
30. (2) Liste des factures impayées avec ou sans date limite : ok.
31. (1) Liste des paiements reçus (avec solde restant dû et coordonnées du client) : ok.
32. (1) Export des articles du document en cours : ok.
33. (1) Estimation de la marge bénéficiaire net sur un document : ok.
34. (1) Récapitulatif de dossier : ok.
35. (1) Fiche de contact : ok.
36. (1) Estimation de la marge bénéficiaire entre 2 dates sur base des prix d’achat des articles : ok.
37. (3) Gestion du parrainage : ok.

Liste des rapports rationalisés:

1. (4) Articles facturés au cours d’une période.
2. (4) Articles livrés au cours d’un période.
3. (1) Articles en attente de livraison.
4. (1) Articles d’achats effectifs en attente.
5. (1) Articles d’achats effectifs en attente d’un fournisseur.
6. (1) Commandes d’achats effectives d’un fournisseur.
7. (1) Commandes d’achats effectives (encours) d’un fournisseur.

Inclusion de tableau imbriqué:

- (2) SEPA.
- (2) RIB.

Si l’utilisateur saisi une chaîne de caractères où il s’y trouve des caractères non numériques, le parser du module Compta les supprime pour ne tenir compte que des caractères significatifs.

Cependant, dans la cas où aucun caractère numérique n’est saisi, la con,version à lieu sur une chaîne vide.

Donc après élimination des caractères non numériques, il faut tester si la chaîne est vide ou non. Si elle est vide, elle correspond à 0,00.

Lorsqu’on utilise l’outil d’importation TXT/CSV (TSV) pour mettre à jour les prix des articles déjà présents dans la base de données, les prix apparaissent changés à l’écran. Par contre, après redémarrage, les anciens prix réapparaissent.

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Il y a un problème dans l’outil d’importation. Celui-ci effectue bien la mise à jour des prix dans le cache des articles en mémoire, mais les modifications ne sont pas reportées dans la base de données sur le disque.

Pour minimiser le nombre de transaction, chaque articles en cache est comparé avec le LogView correspondant du serveur KLDB local. Si l’enregistrement en cache est différent, l’enregistrement modifié est enregistré.

Le souci provient du fait que dans l’outil d’importation, les enregistrements du cache sont modifiés sur place sans être préalablement dupliqués (conformément aux spécifications KLDB).

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Duplication ajoutée.

Test ok : problème résolu.

Le worker est un daemon. De ce fait, si on ferme l’application, les tâches en attente d’exécution du worker peuvent ne pas être exécutées.

En ajoutant une boîte de progression relative à l’ensemble des tâches en attente, on force la vidange des tâches avant de permettre la fermeture de l’application.

Améliorations du client ESMTP intégré:

• Amélioration de la boucle I/O: Correctif RFC-2821 (4.2.1 Reply Code Severities and Theory).
• Compatibilité avec les services PROXY SMTP: Adaptations requises suite à la maintenance du service OVH SMTP PROXY du 30/10/2018 (http://travaux.ovh.net/?do=details&id=34821).

Amélioration de la boucle I/O du client ESMTP intégré au logiciel.

Cette amélioration consiste notamment à mieux conformer le client à la norme RFC-2821 (4.2.1 Reply Code Severities and Theory).

Adaptations du client ESMTP intégré au logiciel pour assurer une meilleure compatibilité avec les services de PROXY SMTP

Des adaptations sont notamment requises suite à la maintenance du service de messagerie d’OVH qui utilise un SMTP PROXY.

Voir la maintenance OVH du 30/10/2018 (http://travaux.ovh.net/?do=details&id=34821).

L’openJDK est disponible en version binaire exécutable directement pour Linux, Windows et macOS.

L’application peut être simplement appelée par une ligne de commande.

Aucune modification de l’openJDK original n’est nécessaire.

Considérer la création des paquetages de déploiement pour:

• Linux :
• Windows :
• macOS :

Le nouveau générateur Rx permet de distinguer la sortie.

Si celle-ci est destinée à l’export PDF, le rendu du texte permet son extraction via une visionneuse ou un lecteur PDF.

Nous utilisons notamment le logiciel Adobe Acrobat Pro DC comme outil de référence: https://acrobat.adobe.com/fr/fr/acrobat.html.

Dans certaines situations, le contenu de la boite de progression semble sautiller ou clignoter.

Cela provient de l’envoi de l’instruction de rafraîchissement du contenu plus fréquent que la durée du rafraîchissement lui-même. La précédente instruction étant alors abandonnée pour relancer la suivante. On peut alors voir un sautillement ou un clignotement du contenu de la boite.

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En découplant le rafraîchissement de l’envoi de nouvelles instructions de rafraîchissement, on peut exécuter uniquement l’instruction en cours et ignorer les nouvelles instructions jusqu’à ce que la précédente soit effectivement terminée.

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Correctif : ok.

Lorsqu’un document est envoyé par mail à un client via courrier d’accompagnement, la case “envoyé” ne se coche pas.

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Confirmé.

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Correctif implémenté.

Tests nécessaire...

Remplacement du caractère de substitution ‘*’ utilisé jusqu’à présent dans les requêtes de rapports pour accepter toutes les références correspondantes par ‘%’.

De plus, conformément aux spécification de l’opérateur LIKE du langage SQL, le caractère ‘?’ permet d’accepter un caractère de substitution quelconque.

La version 18 réalise déjà un point de restauration avec écrasement en cas où la session est désactivée. Dans ce cas, toute tentative d’altération des fichier est réduite à néant par écrasement au démarrage suivant. Cette option est un des moyens utilisés pour permettre de répondre aux exigences légales sur l’inaltérabilité des fichiers.

Cependant, dans sa forme actuelle, cette fonctionnalité ne permet pas d’auto-récupération de la session active en cas de fichiers corrompus. Il faut passer par la récupération à distance ou par le support lorsque la dernière sauvegarde à distance contient une capture des fichiers corrompus.

Une solution consisterait à conserver un certain nombre de points de restauration. Lorsqu’il y a un souci, le programme pourrait redémarrer en supprimant le dernier point de restauration et récupérer les fichiers à partir du précédent. Ce retour en arrière serait de toute façon compensé par la resynchronisation des enregistrements manquants via le service de réplication, de sorte qu’à la fin de la procédure, on disposerait des fichiers corrects sans aucune donnée perdue.

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Un point de restauration correspondant à la précédente session est conservé.

Si la session est corrompue, la précédente est restaurée avant la fermeture de l’application pour permettre l’auto-réparation.

Les icônes des pays n’apparaissent pas dans le menu MOSS lors de l’édition de clients.

Certains rapports ne fournissent que le numéro des clients et fournisseurs.

Il serait utile d’ajouter les coordonnées complètes autant que cela soit possible.

Il est bien évident qu’il faut tenir compte de l’espace disponible et de l’agencement des tableaux.

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Cela s’applique également aux données exportées. Il n’y a pas de difficulté particulière à masquer une partie des données. Par contre, la nécessité de générer 2 ou 3 états successifs pour les combiner par un logiciel tiers peut représenter une difficulté pour les utilisateurs.

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Fort bien, mais aucun exemple concret n’a été fourni par les utilisateurs à l’origine de cette suggestion.

Il n’est pas judicieux de surcharger tous les rapports existants des coordonnées des clients. il faut tenir compte du but du rapport en question.

Ainsi, en conclusion, il y a 2 points importants à considérer avant d’envisager l’ajout de coordonnées des clients sur un rapport:

1. De nombreux rapports existent déjà avec les coordonnées des clients.
2. Avec la mise à jour Rx, plusieurs rapports ont déjà bénéficier de l’ajout des coordonnées des clients.
3. L’utilisateur connaît-il bien l’ensemble des 160 rapports pré-existants? Sa demande ne consiste t-elle pas à demander la création d’un doublon d’un rapport qui existe déjà mais qu’il ne connaît pas?

Cette tâche peut être suspendue ou terminée dans l’état actuel des choses.

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Finalisée sur l’état “implémentation partielle”. On pourra éventuellement ouvrir une tâche dédiée ultérieurement.

Réduction significative du nombre de notifications:

• Réduction du nombre de notifications par e-mail : Déjà fait.
• Réduction du nombre de notifications sur le logiciel : Analyse.

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On pourrait éventuellement remplacer les boîtes d’alerte au démarrage du logiciel par un widget sur le tableau de bord.

Ce widget ouvrirait un panneau indiquant le nombre de jours restants pour chaque licence.

Dès lors que la date d’échéance d’un module approche de son terme, le widget changerait de couleur pour passer du vert au rouge par exemple. En cliquant sur le widget, l’utilisateur pourrait ouvrir directement une page web du site BeDesk-Express.com pour effectuer son paiement ou gérer ses contrats.

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Cela implique d’augmenter la fréquence de vérification des licences. Un daemon pourrait être affecté à cette tâche. Périodiquement, pendant la session, il effectuerait un check-up des licences. Ainsi, si l’utilisateur prolonge un contrat alors que la session est ouverte, la répercussion de ce changement ne nécessiterait plus le redémarrage du logiciel.

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Un panneau Widget pourrait être ajouté pour fournir les fonctions requises à la gestion des contrats du poste. Un bouton de rafraîchissement pour forcer l’actualisation de l’état des contrats au niveau du logiciel. Un autre bouton pour se connecter au compte client et prolonger le contrat en question.

Cette idée est intéressante!...

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Conformément aux statistiques proactives sur la plateforme, il est nécessaire de commencer à prévenir les utilisateurs 2 mois à l’avance.

En effet, de nombreux utilisateurs n’ouvre leur logiciel qu’une fois par mois, voir même une fois tous les 2 mois. On peut ignorer ceux qui n’ouvrent leur logiciel qu’une fois par trimestre. Le nombre de ces utilisateurs est très faible.

Par contre, beaucoup d’artisans et d’entrepreneurs n’effectue la facturation qu’une fois par mois, voir même une fois tous les mois et demi (d’où la prévention de 2 mois).

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Que risquent les utilisateurs qui n’ouvrent leur logiciel que peu fréquemment ?

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S’apercevoir de la désactivation de leur logiciel lors de l’ouverture de session. Ils devront par conséquent effectuer tout le processus d’achat et d’activation pour reprendre l’utilisation.

L’expérience montre que dans ce cas, de nombreux utilisateurs ont essayé pendant des semaines d’ajouter ou de modifier les données sans que cela ne puisse s’enregistrer via le service de réplication. Ceci a nécessité de nombreuses interventions du support gratuit. D’où la prévention.

Rappelons que si un contrat arrive à son terme, le logiciel revient en mode d’essais avec les limites dépassées. Cela signifie qu’il n’est plus possible d’ajouter des documents, mais que l’on peut encore les consulter et les modifier (exemple changer l’état “imprimé” pour l’imprimer).

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En vertu du contrat de licence, le mode d’essais dépassé ne permet que la consultation. Aucune modification ne devrait être autorisée. Ainsi, si lors de la désactivation, un document n’était pas imprimé, une fois passé en mode d’essais (avec limites dépassées), l’impression peut tout à fait être inutilisable.

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On peut donc envisager de durcir le contrôle du mode d’essais et se basé en partie sur ce verrouillage (hors limites) pour bloquer toutes modification des documents.

Si la limite d’utilisation en mode d’essais est dépassée, le verrouillage des modifications peut également s’étendre aux contacts et au stock. Sans aucune licence active, ces fonctionnalités peuvent aussi être limitées.

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Remplacement du composant DocIndex par DocList avec la gestion de flux.

Refactorisation des composants d’objets du genre xFacture en xDoc de manière à généraliser les API.

Les objets du style xFacture sont nommé ainsi depuis la version 1.0 et il est temps de changer ce style de noms en quelque chose de plus général car il ne s’agit pas nécessairement de factures, mais de tous types de document. xDoc est donc un nom plus approprié.

Gestion interne des listes de clients sous la forme de flux.

Remplacement de:

1. Classe DocIndex –> DocList.
2. Classe CltIndex –> ClientList.

Suppression de:

1. Classe Compressor : supprimée.
2. Classe CycleGlassButon : supprimée.
3. Classe GlassPanel : supprimée.
4. Classe GotoPanel : supprimée.
5. Classe GlassButton : supprimée.
6. Classe GlassButtonGroup : supprimée.
7. Classe TitledGlassPanel : supprimée.
8. Classe IdGenerator : supprimée.
9. Classe ImageDocCache : supprimée.
10. Classe MyAntialiasEditorPane : supprimée.
11. Classe MyBorderPane : supprimée.
12. Classe MyCardLayout : supprimée.
13. Classe MyImageFilter : supprimée.
14. Classe MyImageFilterUtils : supprimée.
15. Classe MyTxtCsvFilter : supprimée.
16. Classe MyTxtCsvFilterUtils : supprimée.
17. Classe OvalLabel : supprimée.
18. Classe PctFlowlayout : supprimée.
19. Classe QRecString : supprimée.
20. Classe ShinyButton : Supprimée.
21. Classe ShinyPanel : supprimée.
22. Classe Translucylabel : supprimée.
23. Classe ToolsPopupMenu : supprimée.

Une bonne prise ne compte des opérations de gestion courante permet de réduire un peu le nombre d’opérations enregistrées dans la piste d’audit.

En effet, si une opération est du type “Gestion courante”, elle n’a aucun intérêt en cas de contrôle. Il peut s’agir par exemple d’une opération qui ne modifie pas l’état ni le contenu d’une facture. Il peut par exemple s’agir du placement d’un signet.